Dimanche 1er août 2010
Quinze jours sans compétition dû au mois de juillet où le nombre de courses est plutôt limité. C'est avec une bonne envie que je me retrouve sur cette compétition qui se déroule juste à côté de chez moi. Avec Bernard, nous nous sommes donnés rendez-vous à 8h30 afin d'effectuer un échauffement tranquille. J'ai le dossard 77 et Bernard le 71. La course débute à 10 heures. Avant la course je suis assez confiant, car pendant le mois de juillet, j'ai avalé les kilomètres pendant l'entraînement. Mon meilleur temps sur la distance cette année est de 43'26''. Mon objectif est de me rapprocher des 42'.
Dès le panneau de ce km 5 franchi, je me retrouve dans la première côte de la course que j'ai faite au premier tour. Je double deux coureurs et je mène un petit groupe de coureurs jusqu'au sommet. La relance en haut est un peu plus dur qu'au premier tour. Je laisse repasser deux coureurs que j'avais doublé dans la côte mais j'arrive quand même à rester dans leur sillage. Ma vitesse s'accélère bien et je passe à nouveau au premier ravitaillement dont je ne préoccupe pas comme lors du premier tour.
Je passe au km 7 en 28' tout rond. Et je continue à maintenir mon rythme jusqu'au km 8 où j'aperçois à nouveau la plus dure difficulté pour le deuxième passage. Le faux plat est bien passé, la petite descente me permet de bien me mettre en rythme pour le début de la vraie montée. J'avale cette côte comme si elle était quasiment plate car pendant toute la grimpette j'ai accéléré vivement en compagnie d'un autre coureur avec qui on a "ramassé" plein de concurrents qui peinaient dans la difficulté.
En haut je me fais passer par deux coureurs qui font aussitôt un trou devant moi. mais je serre les dents et au passage du km 9 je ne suis qu'à une dizaine de mètres d'eux. On fait un petit tour du vieux Torcy avant d'entrer dans l'enceinte du stade du Frémoy. On contourne la piste par un chemin qui longe cette dernière. A 300 mètres de l'arrivée, je produis une première accélération qui me permet de repasser devant les deux coureurs qui m'avaient doublé un peu plus tôt. Puis à 100 mètres de l'arrivée où on rejoint la piste d'athlétisme, je donne tout ce qu'il me reste en doublant un dernier coureur et je franchis la ligne d'arrivée avant de me retrouver par terre, fatigué, mais très satisfait d'avoir réussi à conserver un bon niveau. Je suis surpris de ma performance.
1 commentaire:
Merci pour les infos, ça me donne une idée du parcours (avec photos super) !
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