21èmes Foulées Etampoises (91)

Dimanche 22 février 2015


C'est la troisième fois que je viens participer aux Foulées Etampoises et la dernière en date était en 2012 avec un chrono final de 43'20''. C'est une course bien relevée car même en faisant un bon chrono, on est classé très loin au général. Ce matin, il fait très beau même s'il fait tout de même très froid. Le ciel est tout bleu. Pas la moindre trace de nuage ! J'arrive à la Salle des Fêtes d'Etampes vers 8 heures 45. Ma course est prévue à 10 heures, après celle des enfants. Le départ de la course du 10 km sera donné en même temps que celui du 5 km. Ça promet donc quelques bousculades !


A la Salle des Fêtes, je récupère mon dossard, le numéro 451, puis je retire le cadeau qui est attribué à chaque participant : une très jolie tasse dotée de sa cuillère. Je retrouve Philippe Carlier qui est du club d'Andrésy, et que je connais depuis plusieurs années. L'an dernier je devais participer à la course que son club organise sans finalement pouvoir y aller, mais cette année elle fait bien parti de mon calendrier. Donc à tous rendez-vous le 29 novembre à Andrésy pour un joli 10 km voire un semi-marathon ! Sur la course d'aujourd'hui, j'ai vu sur le listing d'inscription qu'il y aura également Sophie Hinsinger de mon club de Marne-et-Gondoire Athlétisme. Après un échauffement beaucoup trop court, je me dirige vers la ligne de départ.




Le départ est placé Boulevard Berchère juste à l'angle de la Rue Saint-Fiacre. Et comme prévu c'est le bouchon dans le sas de départ. J'arrive un peu tard et je ne suis pas en mesure de bien me placer. J'attends une petite dizaine de minutes. L'avantage d'être serré, c'est qu'on ressent bien la chaleur augmenter au fil des minutes. Je cherche Philippe des yeux, mais je n'arrive pas à le trouver au début. Puis je le vois bien mieux placé que moi, mais je ne pourrais pas le rejoindre d'ici le départ car on est serré comme des sardines.



A 10 heures le départ est donné. Je n'arrive pas à me lancer car c'est bien bouché. Il faut slalomer et éviter les pieds des coureurs qui nous précèdent pour ne pas nous retrouver au sol. J'arrive à un rond-point et on continue tout droit. On longe la petite Rivière des Prés. C'est bucolique comme coin. J'arrive enfin à me dépêtrer des nombreux coureurs et je commence à faire une énorme erreur de débutant. Enfin je ne m'en rends pas compte sur le coup. J'accélère pour reprendre le retard pris depuis le début de la course. Je prends la foulée d'un coureur qui remonte très vite.



Après le premier kilomètre de course, nous arrivons face à la Villa Bressault appelée autrefois ''Moulin de l'Hospice''. Nous tournons sur notre gauche Rue de Bressault pour faire une sorte de boucle. C'est toujours plat et je continue à remonter des coureurs en étant toujours dans le sillage du coureur qui me précède. Puis nous prenons la seconde rue sur la droite et au bout, ça monte pendant quelques mètres tout en tournant sur la gauche. Il y a une bonne relance à faire et ensuite ça va mieux. Encore au bout, nous tournons sur notre droite. La route est vraiment défoncée. Il faut faire attention où mettre les pieds. Je passe sous le pont de la Nationale 20 puis la route s'élève un petit peu. Je suis dans le quartier de l'Eglise Saint-Martin où il a plusieurs passages pavés. Le premier est très court, mais le second est bien plus long. Et c'est à cet endroit que je me rends compte de mon erreur de débutant. J'ai fait un effort trop important pour revenir rapidement et je suis en train de le payer cash. Et comme ça fait plusieurs semaines que je n'arrive plus à m'entraîner alors je sais que je ne serai pas en mesure d'inverser la tendance. Philippe, que je pensais être devant moi, me double et je n'essaye même pas de le suivre (sauf de loin, très loin, très très loin !!!). 


Maintenant la chaussée est beaucoup plus agréable. Le revêtement parait neuf. Deux cent mètres après le passage du km 3, je tourne sur ma droite pour me retrouver devant la Villa Bressault et je reprends la longue ligne droite en direction de la ligne de départ. On finit par la franchir en sens inverse et je continue encore tout droit jusqu'à la prochaine rue à droite qu'on prend. On va tout droit puis c'est un enchaînement de changements de direction.





On tourne encore à droite avec devant nous une entrée sur le parking du centre commercial Carrefour, mais au lieu d'y pénétrer, on tourne encore sur la droite puis au bout à gauche pour prendre un chemin parallèle à la rue de la ligne de départ. On croise les coureurs placés derrière nous. Puis on contourne la caserne des Sapeurs Pompiers et je me retrouve sur la longue ligne droite qui va me ramener une fois de plus vers la Villa Bressault.




J'y arrive après avoir franchi le km 6. Je regarde vite fait mon GPS et je dois accélérer car je suis parti pour faire 43'30''-43'45''. Donc progressivement je hausse le rythme, histoire de faire un chrono pas trop pourri. Je crois que je m'étais endormi sur mon faux rythme car en allant plus vite, je ne me sens pas plus mal. Je remonte quelques coureurs. Je passe sous la Nationale 20. Il ne reste plus que 3 kilomètres de course. Puis juste avant les passages pavés, je me fais doubler par Sophie Hinsinger, alors que je la croyais plus loin devant moi. On s'échange quelques mots d'encouragement. Je poursuis tranquillement et me revoilà à côté de la Villa Bressault. Cette ligne droite le long de la Rivière des Prés est vraiment interminable.




Je passe le premier rond-point de la course mais en sens inverse, puis quelques centaines de mètres plus loin je franchis la ligne de départ également en sens inverse. Au bout nous tournons à droite et une nouvelle fois à droite. J'aperçois le parking du centre commercial Carrefour et cette fois-ci, au lieu de tourner à droite, on va tout droit. Je pénètre dans le parking et je m'écarte car un coureur veut me doubler. Je le laisse passer et me place juste dans sa foulée. Il accélère un peu mais je sais que j'en ai largement sous le pied pour mieux finir que lui. Dans le dernier virage, je fais l'intérieur et c'est parti pour remonter un coureur, un second, un troisième et un quatrième puis je franchis la ligne d'arrivée 141ème/532 en 41'34''.





Bon, ce n'est pas bien fameux, mais j'ai tout de même bien limité les dégâts sur les 4 derniers kilomètres de la course. Je m'aide d'une barrière pour récupérer un peu et un coureur vient me voir. Il me parle de mon blog qu'il suit régulièrement. Il s'agit de Laurent du club des Foulées de Saint-Germain. Il est venu ici en récupération après son semi-marathon de Barcelone de la semaine passée. Mais pour une récup, il a terminé en 38'03'' !!! Très sympa, on se retrouvera prochainement sur le 10 km d'Aubergenville.




Je restitue ma puce chronométrique et je passe au ravitaillement final où je prends une petite bouteille d'eau et du chocolat. Je n'arrive pas à retrouver Philippe qui a réussi à atteindre son objectif qui était de faire moins de 40'. Il en a terminé en 39'47''. En ce qui concerne Sophie, elle termine quelques secondes devant moi à la 136ème place en 41'12''.



Je vais changer mon haut et je pars faire ma récupération sur un peu plus de 4 kilomètres en effectuant une bonne partie de la boucle de la course. Quand je passe à côté de l'Eglise Saint-Martin, je me rends bien compte pourquoi elle est surnommée la ''Tour Penchée''. Son clocher est incliné de 1,12 mètre par rapport au reste de l'église ! Le point positif de la journée est le fait que je n'ai pas vraiment souffert des tendons d'achille. C'est déjà ça ! 



Puis une fois terminé, je vais à la Salle des Fêtes pour assister à la cérémonie des remises de récompenses. Sophie Hinsinger de mon club de MEGA termine 1ère V1F et monte donc sur le podium !




Je ne m'attarde pas trop et je quitte Etampes pour regagner la Seine-et-Marne. Maintenant que ça redevient possible, je vais me remettre correctement à l'entraînement !

31èmes Foulées Charentonnaises (94)

Dimanche 15 février 2015


Une de mes courses préférées du début de chaque année ! En effet, c'est une distance pas très courante sur les courses, même si j'en ai fait une de cette distance la semaine passée dans le département du Cher, mais ce 15 kilomètres est un mixte de parcours urbain et nature. Un vrai plaisir ! J'en suis déjà à 6 participations et cette année sera donc ma septième. Je ne vais pas avoir un objectif élevé, loin de là, car cette semaine je n'ai pu aller qu'une seule fois à l'entraînement, suite à une petite entorse de la cheville occasionnée lors de ma dernière course à Vierzon. Alala les bobos !!!


Au programme de la matinée, plusieurs courses mais surtout deux vont nous intéresser. Mon fils Lucas va ouvrir le bal en participant à la course enfants à 9 heures 15, longue de 2200 mètres et ma course va la clôturer avec le départ du 15 kilomètres à 10 heures 30. Cette année, cette course sera le support du Championnat Départemental du Val de Marne du 15 kilomètres. Donc ça attire du monde, notamment les excellents coureurs du 94. A l'origine, nous ne devions être que deux de mon club de MEGA, moi et  Franck BORDERON. Mais à force d'en parler, nous serons finalement 10 du club. En plus de nous deux, il y a également (par ordre alphabétique) Michel BACH, Sylvie CADIERNO, Lilian CROIZIER, Eric DIEULE, Cyril FAIVRE, Jean-Robert GROSHENRY, Nathalie JADOT et Jean-Emmanuel PEOU. Sans oublier mes amis Bernard LEFEVRE (ASPTT NICE) et Franck GUILLOTEAU.


Je me suis stationné à proximité du Gymnase Nelson Paillou et je vais récupérer mon dossard ainsi que celui de Lucas. J'ai le numéro 135 et on nous offre un bonnet en guise de souvenir de la course. Un micro a été tendu à Franck Guilloteau et il en a profité pour nous faire l'honneur de quelques mots même s'il n'est plus speaker (à notre grand regret !). Puis je retourne à la voiture pour préparer la tenue de Lucas et je prépare ensuite la mienne pendant qu'il s'échauffe. Ça fait plusieurs semaines qu'il n'a pas couru mais il quand même tenu à courir ici. Pendant que je me prépare, je croise un ami, Damien MORIN, qui après une longue coupure, revient sur les courses. Il ne va pas prendre part au 15 km, mais au 5 km qu'il terminera 14ème/270 en 18'00''. Une excellente surprise également, la venue de Jean-Luc Piquemal, venu spécialement nous faire un coucou, lui qui est malheureusement éloigné des courses à cause d'un genou très douloureux ! Je retrouve également Nicolas JAECK qui a quitté notre club pour celui du PAAC et qui est en pleine préparation marathon.

COURSE DU 2200 M :


Puis nous allons vers la Rue de Paris où le départ de la course des enfants est placé. Il y a une cinquantaine d'enfants derrière cette ligne de départ. Cette première course est réservée aux minimes et benjamins garçons et filles.




Après quelques minutes d'attente, le coup de pistolet du starter libère les enfants. Ils partent tout droit sur cette Rue de Paris qui est extrêmement large. Les premiers sont partis vraiment très vite et comme prévu, Lucas a déjà un peu de mal sur ce début de course. Il n'est pas en mesure de partir vite.




Puis, après plusieurs centaines de mètres, ils tournent sur leur première rue à droite pour finir par déboucher sur l'entrée du Bois de Vincennes. Ils quittent les rues de la ville pour emprunter les chemins goudronnés du Bois. Le parcours est roulant. Ils font une grosse boucle qui contourne le Vélodrome de La Cipale.



Puis ils atterrissent sur l'Avenue de Gravelle. Lucas est à la dérive complète mais il ne veut pas arrêter et veut mettre un point d'honneur à en terminer. Puis au niveau de l'entrée du vélodrome, les enfants tournent sur leur gauche dans un virage serré, afin de prendre la dernière ligne droite Avenue Anatole France.




Habituellement, Lucas lance toujours un sprint pour finir comme une flèche. Mais là, il se limite à le lancer et se résout à terminer tranquillement car il comprend rapidement qu'il ne pourra pas revenir sur les enfants devant lui. Il termine 38ème/45 en 10'49''.


Il passe au ravitaillement final après s'être vu offert une médaille et quelques petits cadeaux. Puis nous retournons à la voiture afin qu'il puisse se changer et troquer sa tenue de coureur contre celle de photographe pour la course du 15 km.

COURSE DU 10 KM :




Pendant que Franck GUILLOTEAU se prépare à sa voiture, nous allons nous échauffer dans les rues de Charenton-le-Pont. La cheville est raide et les tendons picotent mais ça va. Nous courons un peu plus de 3 kilomètres. De la pluie était annoncée par les météorologues mais finalement, le temps a l'air de bien vouloir se maintenir et de plus la température n'est pas trop froide avec seulement un léger vent sur certains endroits du parcours.




Franck et Lilian ont réussi à se placer dans le sas élite. Moi je me suis placé dans le sas normal avec Jean-Robert, dit ''JR''. Jean-Emmanuel, dit ''JEP'' a prévu de servir de locomotive à Cyril. Le speaker de la course annonce la présence de 2000 coureurs présents sur ce 15 kilomètres. Ça fait pas mal de monde mais l'avantage est que la Rue de Paris est vraiment très large, donc je pense qu'il n'y aura pas de grosses bousculades d'ici le virage sur la droite qui aura lieu 600 mètres après le départ.
 



Après le départ des handisports, c'est à notre tour de partir suite au coup de pistolet. Comme prévu, les coureurs prennent la totalité de la chaussée et il n'y a donc pas besoin de slalomer pour trouver sa place et son rythme. Franck, Lilian et Eric sont partis devant. Moi je suis parti beaucoup plus raisonnablement que d'habitude et je suis aux côtés de JEP, qui pour le moment n'a pas trouvé Cyril qui était censé lui emboîter le pas. Nous allons donc tout droit, on discute avec quelques coureurs, on se sert même la main pour se dire bonjour, signe que je ne suis pas parti vite. Et on prend la troisième rue sur la droite. 100 mètres plus loin, on pénètre sur les allées bitumées du Bois de Vincennes.



Je passe au km 1 et JEP s'est laissé glissé en arrière, espérant que Cyril revienne rapidement sur lui. Pour le moment, je suis bien cadencé et ne ressens aucune réelle gêne. On se trouve pendant plusieurs dizaines de mètres sur un terrain un peu plus souple puis on revient sur du dur.






On longe le lac Daumesnil et au lieu de continuer de le longer comme lors des deux tours suivants, au niveau du ravitaillement on va légèrement sur la droite pour prendre la Route Dom Pérignon, toujours dans le Bois de Vincennes.








On va tout droit jusqu'à ce qu'on quitte ce Bois et on traverse l'Avenue de Gravelle afin d'arriver à la Rue de Paris. Mais contrairement au départ de la course qui était donné sur cette artère, nous la prenons dans le sens opposé. Nous passons, un peu plus loin, sous l'arche de départ de la course et ensuite nous allons tourner sur notre première route à droite pour entamer la première grande boucle, car la petite est terminée.



Un second virage à droite et je suis sur la plus longue ligne droite de la course. Pratiquement 1000 mètres ! Cette route surplombe le réseau de chemin de fer. Je me souviens que lors de mes précédentes participations, c'était l'endroit que j'aimais le moins car à chaque fois il y avait du vent de face. Mais cette année, le vent est nul ! Mais ça parait quand même long par ici. Puis au bout, la route tourne d'elle même deux fois sur sa droite, ce qui nous fait revenir un peu en arrière sur une route parallèle à la précédente. Au bout, nous tournons à gauche en faisant attention à cette petite zone de pavés mouillés. J'arrive maintenant sur la Rue de Paris que je prends à gauche, puis aussitôt un virage à droite qui va nous amener à l'entrée du Bois de Vincennes.







J'y pénètre par la Route de Reuilly et ''enfin'', Cyril revient sur moi et bien évidemment je ne suis pas capable de le suivre car nous n'avons pas le même niveau et franchement je suis trop limité avec le tendon qui s'est réveillé depuis deux-trois kilomètres. J'en suis au 5ème km et ça va pas trop mal pour le moment. On va jusqu'au passage plus souple. Sur cette grande boucle, au niveau du ravitaillement on ne va pas légèrement sur la droite comme lors de la petite, mais on continue tout droit. C'est très long, c'est très large, c'est en légère courbe sur le droite, puis une fois au niveau de l'Avenue de Saint-Maurice, on tourne deux fois sur la droite pour rester dans le Bois de Vincennes. A un moment on croise les coureurs qui sont classés devant nous car pendant une centaine de mètres, la chaussée est divisée en deux pour courir dans les deux sens. J'entends quelqu'un m'encourager dans mon dos. C'est Kévin, du club du PAAC, qui est en pleine préparation marathon et qui participe également à la course. Habituellement il est loin devant moi. On papote un peu, on se serre la main et on continue notre course.







On tourne une première fois sur la gauche dans un virage bien serré qui provoque une relance difficile, puis un second encore à gauche et je termine par me retrouver sur la partie où la chaussée est divisée en deux. Ce coup-ci, je croise les coureurs qui sont placés derrière moi. J'entends encore des encouragements qui me sont adressés.











Ce coup-ci, il s'agit de Franck Guilloteau, qui a l'air de se sentir bien ! Je continue tout droit et je finis par sortir du Bois de Vincennes en tournant à droite Avenue de Gravelle. On la prend pendant 500 mètres, puis virage serré sur la gauche pour trouver l'Avenue Anatole France où on passe à côté de l'arche d'arrivée à la hauteur du Gymnase Nelson Paillou.





C'est parti pour mon dernier tour. Il sera quasiment identique au précédent sauf le début car nous prenons la Rue de Paris dans le même sens qu'au départ. Et au lieu de passer sous l'arche de départ, nous tournons à gauche pour nous diriger vers la longue route qui surplombe le réseau de chemin de fer. J'ai remonté quelques coureurs. J'ai un peu mal, mais en fait je ne suis pas à la dérive, ça ne va pas trop mal. J'arrive à me relancer quand on me double, même si je perds un peu pied un peu plus tard. Mais ça me fait tout de même gagner quelques secondes. Puis après que la route ait tourné deux fois sur sa droite, je me trouve sur la rue parallèle à la précédente. Au bout, juste avant de tourner à gauche, un coureur, Pathé LO, revient sur moi et semble me connaître car il m'encourage par mon prénom. Il me dit de m'accrocher et c'est ce que je fais.











On entre dans le Bois de Vincennes et je reste calé derrière lui. Ça m'a permis de me relancer sans à-coup et quand il commençait à me lâcher vers le km 11, il a légèrement ralenti, ce qui m'a permis de refaire la jonction. Une fois la partie souple passée, on se retrouve vers le ravitaillement et je décide de prendre le relais car je me sens beaucoup mieux. A son tour il se cale derrière moi. On va en direction de la Route de Saint-Maurice.













A un moment je me retourne et je me rends compte qu'il était quelques mètres derrière moi. Je ralentis à mon tour pour l'attendre, mais il ne revient pas alors après m'être retourné plusieurs fois, je décide de reprendre mon allure. Sur la chaussée divisée en deux, je croise JEP et quand c'est à mon tour de me trouver à sa place, un coureur du PAAC m'encourage. Au bout j'arrive sur l'Avenue de Gravelle, puis après les 500 mètres, je prends le virage serré sur la gauche pour prendre l'Avenue Anatole France pour la dernière droite avec l'arche d'arrivée en point de mire.



Franck BORDERON (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 13ème/1953 en 52'05'' (5ème V1M).



Lilian CROIZIER (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 38ème/1953 en 54'27'' (12ème V1M).


Eric DIEULE (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 47ème/1953 en 55'05'' (15ème V1M).



Jean-Emmanuel PEOU (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 131ème/1953 en 59'07'' (47ème V1M).



Cyril FAIVRE (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 156ème/1953 en 1h00'08'' (78ème SEM).




Jeff BACQUET (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 250ème/1953 en 1h03'26'' (91ème V1M).



Nathalie JADOT (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 330ème/1953 en 1h05'00'' (8ème V1F) et Jean-Robert GROSHENRY (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 338ème/1953 en 1h05'09'' (46ème V2M).


Franck GUILLOTEAU (non licencié) termine 677ème/1953 en 1h12'04'' (18ème V3M).


Bernard LEFEVRE (ASPTT NICE), termine 815ème/1953 en 1h14'14'' (28ème V3M).

Sylvie CADIERNO (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 1207ème/1953 en 1h20'19'' (30ème V2F).


Michel BACH (MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME) termine 1724ème/1953 en 1h32'11'' (62ème V3M).




Les deux coureurs du PAAC, Nicolas JAECK et Kévin GUILLOT, terminent respectivement 77ème/1953 en 56'50'' (41ème SEM) et 135ème/1953 en 59'24'' (59ème SEM). En ce qui concerne le coureur qui m'a bien aidé à me relancer, Pathé LO, il termine quelques secondes derrière moi en 1h03'46''.



Une fois la ligne d'arrivée franchie, je restitue ma puce de chronométrage et avant de passer au ravitaillement final, je discute un peu avec Kévin puis je retrouve Pathe pour le remercier. C'est un coureur fort sympathique ! Je retrouve ensuite Nathalie et JR au ravitaillement, mais je ne traîne pas trop car j'ai peur d'attraper froid. Alors je retourne à la voiture pour changer mon haut et mettre du sec.



Puis c'est parti pour une séance légère de récupération en compagnie de Franck B. et de JEP. On longe le très beau lac Daumesnil. Finalement le temps se sera maintenu tout au long de la matinée. C'était vraiment agréable. Ma septième édition de ces foulées charentonnaises ne sera pas ma dernière. Vivement l'année prochaine pour la 8ème !



On se rend ensuite dans le Gymnase Nelson Paillou pour aller aux résultats de la course. Je retrouve Franck Guilloteau qui est satisfait de sa course. On risque de se retrouver le mois prochain sur une prochaine course, tant mieux ! Bernard a eu le temps de prendre sa douche en nous attendant. C'est le moment de la cérémonie des récompenses et ensuite nous quittons Charenton ! Et un grand merci à mon fils Lucas et à Jean-Luc pour les photos !!!