La Petite Nemourienne (77)

Vendredi 28 septembre 2018


L'an dernier, j'avais participé à la première édition de la Petite Nemourienne et ça m'avait vraiment bien plu. Une course courte de 6 kilomètres qui se court sur deux boucles identiques dans le cœur de la jolie ville de Nemours. Rien de tel pour débuter un week-end avec une première course à moins de 30 kilomètres de chez moi. Dimanche, je vais participer également au 10 kilomètres de Thomery, version trail avec de jolies côtes, dont une pavée, ce qui ne va pas être le cas ce vendredi soir à Nemours, car beaucoup plus roulant. Thomery est encore plus proche de chez moi car à peine à plus de dix kilomètres. L'an passé, une énorme averse était venue nous accueillir à Nemours, même si pendant la course ça s'était calmé.


La seule distance proposée est donc un six kilomètres avec départ prévu à 19 heures. L'organisation est assurée par la commune de Nemours. Le départ, l'arrivée, ainsi que le ''village'' de la course seront implantés sur le parking de la Mairie. Lors de la première édition, ça avait attiré pas mal de coureurs, une vraie fête de la course à pied, même si l'horaire peut paraître inhabituel. Moi, tant que ce n'est pas en début ou en milieu d'après-midi, ça me convient, même si ma préférence est largement au matin ou alors quand il fait nuit noire. Oui, je suis bizarre ! Enfin, un plaisir de participer aux deux courses de ce week-end à côté de chez moi.


Ce matin, je bossais donc normalement le réveil sonne à 3 heures, mais une petite ''panne'' m'a laissé une heure de plus au lit. Pas bien pour le boulot ! J'ai essayé de me reposer un peu cet après-midi afin de ne pas être trop fatigué ce soir. J'ai quitté la maison vers 17h30 pour arriver une demi-heure plus tard. Je trouve une place de stationnement sur le Quai Victor Hugo, juste à côté de l'arche de départ et d'arrivée. Il était impossible d'être plus prêt. C'est parfait ! Il suffit de franchir le joli pont qui enjambe un des bras du Loing pour arriver sur la place de la mairie où le village de la course est implanté.






Je me rends au stand du retrait des dossards. C'est rapide pour se les voir délivrer. Ce soir, je suis donc titulaire du dossard numéro 46. Un débardeur jaune de la ''Petite Nemourienne'' nous est offert. Je fais un petit tour sur ce ''village'' avant de retourner à la voiture afin de préparer mes affaires de course à pied, notamment en épinglant ce dossard sur mon débardeur du club du Pontault AAC. C'est ensuite parti pour un peu moins de trois kilomètres d'échauffement sur le parcours de la course.





C'est un peu au dernier moment que je vais me glisser sous l'arche de départ située sur la Rue Mirabeau. Nous sommes environ 200 coureurs prêts à nous élancer. C'est Lahcène Hiane qui est au micro ce soir. Le compte à rebours est lancé. Il devance le coup de feu. Nous partons très vite sur cette rue pendant 200 mètres jusqu'à ce qu'on arrive à la boucle qu'on va devoir couvrir à deux reprises avant de revenir sur les 200 mètres de la Rue Mirabeau pour l'arrivée. Mais, pour le moment, nous quittons la Rue Mirabeau pour tourner à droite Rue Gauthier 1er. Nous changeons de rue à deux autres reprises tout en continuant tout droit dans ce cœur de ville. Ça devient la Rue Samson puis la Place Dupont de Nemours. Des coureurs nous doublent à toute vitesse, mais dans la dernière partie de la Place Dupont de Nemours, un faux-plat montant bien marqué à raison d'eux en les obligeant à ralentir. J'en redouble d'ailleurs un. Une fois en haut, on tourne légèrement sur la droite puis la gauche afin de nous retrouver sur les Quais du canal du Loing. Le vent est de face mais pour le moment, il y a du monde donc on peut relativement facilement se cacher.


Le Chemin de Halage passe sous le pont de la Rue de Paris pour remonter de l'autre côté. A cet endroit, le vent de face est beaucoup plus présent et comme je remontais des places, je me retrouve maintenant avec un écart devant moi. Les derniers coureurs que j'ai doublés se sont placés juste dans ma foulée pour tenter de se protéger de ce fort vent. Au bout, je quitte le Canal du Loing et son Chemin de Halage, pour tourner à droite sur la Rue Thiers. C'est plus facile sur ce bitume alors que le chemin précédant était couvert de petits cailloux. 200 mètres plus loin, nous quittons temporairement cette rue, en tournant à droite sur la Rue Berthier. J'avance bien pour le moment. Je souffle un peu, pour récupérer de mes deux premiers kilomètres rapides.


Virage à gauche Rue Paul Jozon et encore à gauche Rue Anthéaulme afin de retrouver au bout la Rue Thiers qu'on reprend en tournant à droite. Une fois au bout, nous tournons à droite et aussitôt à gauche Rue du Docteur Dumée avant de traverser la Rue de Paris pour continuer en face dans une rue bien commerçante. Puis, j'arrive au km 3, quand je laisse sur ma droite la Rue Mirabeau qu'on prendra à la fin du tour suivant. Je viens d'ailleurs de l'entamer. Je finis par retrouver le bon faux-plat montant de la Place Dupont de Nemours. Il passe bien, même si un coureur de Montargis me double assez rapidement. Mais une fois en haut, je reviens dans sa foulée. C'est un peu plus loin sur le Chemin de Halage que je le repasse.



Passage sous le pont de la Rue de Paris et de l'autre côté, j'ai l'impression que le vent de face est encore plus marqué qu'au tour précédant, mais je pense que la fatigue commençant à venir, ne doit pas être étrangère à cette difficulté. Un coureur en jaune est lâché par le groupe qui nous précède. Je reviens petit à petit sur lui. Je vais réussir à faire la jonction tout à la fin de ce Chemin de Halage. Sur la Rue Thiers, ça va bien, mais sur celle qui suit en tournant à droite, le coureur en jaune me repasse rapidement ainsi qu'un coureur vêtu de rouge, suivis de la première féminine et d'un coureur qui reste avec elle. Je fais un effort sur la Rue Anthéaulme pour me caler dans la foulée du coureur en rouge, ce qui me permet de repasser une fois de plus celui en jaune. Un petit groupe de 4 coureurs avec celui en rouge, la première féminine et son accompagnateur ainsi que moi, s'est formé. On va rester ainsi jusqu'à ce qu'on quitte la boucle en tournant à droite Rue Mirabeau où tout le monde me lâche et même le coureur de Montargis est revenu de l'arrière en me déposant. Mais je me reprends rapidement pour finir bien. Je reprends celui en rouge avant de franchir la ligne d'arrivée 26ème/169 en 24'12''.


Je pense qu'avec un vent moins gênant sur tout le Chemin de Halage, j'aurais pu passer sous les 24 minutes. Mais, je suis tout de même content de ce que j'ai fait. On nous remet une jolie médaille souvenir de la course. Je passe au ravitaillement final pour y prendre un gobelet de jus d'orange. Retour ensuite à la voiture pour changer le haut avant d'aller faire ma récupération à faible vitesse. Ça fait beaucoup de bien.






Je retourne au ''village'' de la course où les résultats sont déjà affichés. Un excellent groupe de musiciens-chanteurs, nous offrent leur talent qui subjugue bon nombre de coureurs, bénévoles et accompagnateurs. Ils chantent vraiment bien. Je quitte ensuite Nemours pour rentrer à la maison. Prochaine course après-demain sur le trail de Thomery (77), la Thomeryonne.

La Féréopontaine (77)

Dimanche 23 septembre 2018


Sous le nom barbare de la ''Féréopontaine'', se cache une course organisée intégralement dans la Base de Loisirs de Saint-Fargeau-Ponthierry. Alors pourquoi ce nom de ''Féréopontaine'' ? Tout simplement car il s'agit du nom des habitants de cette commune de plus de 14 000 âmes située dans le Parc du Gâtinais en Seine-et-Marne, à 8 kilomètres à l'ouest de Melun, en bordure de Seine. Au moins géographiquement on y voit plus clair. Malgré ma longue blessure de début d'année, ça va être tout de même ma 30ème course de l'année. Les sensations reviennent progressivement. Et c'est tant mieux. J'ai déjà participé à cette course en 2010 avec Sophie mais c'était sous un tout autre format que celui proposé cette année. En effet, il s'agissait d'un 15 kilomètres nature où on partait loin dans les champs.


L'édition 2018 va se courir en intégralité dans la Base de Loisirs de Saint-Fargeau-Ponthierry. Trois tours identiques pour un total de 10 kilomètres. Mais pas que ! Car hormis ce 10 kilomètres auquel je vais participé, un 6 kilomètres féminin est également prévu. Un petit mot relativement complet sur le programme proposé aux coureurs :
- 9h00 : 10 km.
- 11h00 : 6 km féminin ouvert aux hommes munis d'un accessoire féminin.
Aussi bien sur le 10 que sur le 6 kilomètres, chaque inscription rapportera un euro à l'Association Française des Sclérosés en Plaques (AFSEP) et un autre euro à l'Association Française sur la Sclérose Latérale Amyotrophique (AFSLA).



Ce matin, le réveil sonne à sept heures, mais on s'offre quelques minutes supplémentaires au lit. Une fois prêts, nous partons en direction de la Base de Loisirs de Saint-Fargeau-Ponthierry où la course va donc se dérouler. Le temps est à la pluie mais la température n'est pas si basse que ça, car les 19 degrés sont tout de même affichés. Une demi-heure de route est nécessaire afin d'y arriver. C'est quand même pratique quand le lieu d'une course n'est pas si éloignée que ça de la maison. Lorsque nous arrivons, on peut lire sur des affichages que la circulation automobile sera totalement fermée dans l'enceinte de la base de loisirs entre 8h30 et 13h00. Nous la traversons totalement pour nous stationner derrière les cours de tennis couverts. Au début, on a tous un peu de mal à trouver ces emplacements de stationnements.



Nous sommes maintenant juste à côté de l'arche d'arrivée ainsi que de l'entrée de ce grand hangar couvrant les terrains de tennis. Lorsque j'arrive dans le hall, il est déjà 8h20, sachant que la course va débuter à 9 heures. Mais la remise des dossards n'a toujours pas débuté. C'est un peu en tâtonnant que l'organisation finit par débuter les inscriptions et le remise de ces dossards. Un peu aidé par les chronométreurs dont Mick, un copain de mon club du Pontault AAC. Je vais porter le dossard numéro 673. On nous offre un tee-shirt technique blanc de la Féréopontaine. Retour à la voiture pour me préparer. Nous sommes garés à côté de Jean-Marie, du club du LCBA. On papote tout au long de notre préparation.






L'organisateur nous fait un petit briefing. Puis, il ne reste que quelques minutes avant le départ, je me lance alors dans un échauffement court. Ensuite, lorsque le speaker nous demande de nous rapprocher de la ligne de départ décalée de l'arche d'arrivée, car placée le long du hangar, ce dernier change d'avis en nous octroyant une dizaine de minutes supplémentaire suite aux atermoiements de la remise des dossards. Une fois cet échauffement terminé, je discute un peu avec Mick derrière la ligne de départ.






Nous sommes sous les ordres du starter. Il nous explique qu'il est possible que le pistolet fasse ''clic'' et non ''pannn''. Mais, après le décompte, le ''pannn'' a gagné sur le ''clic''. Nous partons tout droit sur ce très large chemin de terre. Comme j'étais sur la partie gauche, je me décale petit à petit vers la droite afin de me placer correctement pour le virage qui vient sur la droite. Nous y arrivons. Une bonne ligne droite sur du bitume nous permet de bien nous lancer. Devant, le coureur du club de Ponthierry a pris les commandes, suivi de quelques mètres par Jean-Marie François du club du LCBA. 300 mètres plus loin, nous quittons ce bitume en tournant à gauche sur un chemin de terre et d'herbe qui contourne le petit étang permettant la pratique du téléski-nautique. Il faut faire attention aux racines et ce n'est pas non plus tout plat. Nous quittons ce chemin lorsque nous arrivons à la hauteur du portail donnant accès à la Base de Loisirs. Il est maintenant fermé car la circulation y est momentanément interdite. Virage à droite où nous retrouvons un peu de bitume en direction du petit port de plaisance. A cet endroit, nous pénétrons sur un parking où le sol est jonché d'énormes cailloux. Pas top pour poser correctement les pieds. Sur ce parking, nous faisons une sorte de grand ''S'' avec deux virages hyper serrés à 180 degrés. En effet, une fois au bout du parking, nous tournons sur la gauche à 180 degrés, puis quelques dizaines de mètres plus loin, nous faisons la même chose sur la droite. Ça permet de jauger des écarts avec les coureurs devant et derrière. Je pénètre maintenant sur un chemin de terre ombragé relativement étroit. Traversée d'un pont pas plus large qu'un mètre. Un peu plus loin, une bénévole nous indique qu'il faut grimper une bosse avant de redescendre tout en restant en sous-bois. Le sol est maintenant en dévers sur la gauche. Nous longeons la Seine qui est sur notre gauche même si elle est plutôt cachée par les arbres et la végétation.





Nous finissons par sortir de ce chemin en sous-bois avec une petite bosse sur la droite à gravir en direction de l'arche d'arrivée qui nous tend les bras. Je suis derrière trois coureurs du même club de Balard Arcueil. Mais quand je me trouve à sa proximité, le parcours la longe avant de tourner à gauche puis à droite afin de continuer jusqu'au bout de cette Base. Me voilà dans grand carré d'herbe que nous contournons. Au bout, le parcours tourne à droite avec une petite bosse qui nous amène dans une sorte de ''single'' où nous longeons un étang. C'est bien étroit et les racines sont bien plus marquées ici. Il suffit de rester vigilant pour ne pas avoir de mauvaises surprises. Après quelques virages, c'est la sortie du ''single'' et nous finissons par tourner à droite comme si nous voulions aller vers la ligne de départ qui est juste devant moi. 










Mais, nous tournons à gauche pour faire une petite boucle avant de revenir ici-même et entamer le second tour. Mais auparavant, je suis dans cette petite boucle. Au début c'est plat, mais ça finit par grimper un peu. Lorsqu'on arrive au virage à droite, on pense que ça peut être la fin de la montée, mais ça continue encore quelques dizaines de mètres. Ensuite, virage à gauche, puis à droite avec droit devant l'arche d'arrivée. Mais juste avant d'y arriver, nous tournons à droite, le long du ravitaillement final. Ça descend un peu et c'est parti pour la seconde boucle.






En bas, il faut faire attention, car on croise les coureurs qui sont derrière moi et qui eux viennent de ma gauche pour aller à droite afin d'entamer leur petite boucle, alors que moi je dois tourner sur ma droite. Il faut être attentif de ne pas se percuter, mais tout se passe très bien. Nous sommes sur la ligne droite en bitume. J'avais terminé la première boucle à la 9ème place, mais un coureur vêtu d'un tee-shirt vert est juste dans ma foulée. Il va y rester jusqu'à ce qu'on quitte cette route en tournant à gauche pour prendre le chemin de terre le long de l'étang au téléski-nautique. Il m'a doublé et fait un petit écart. Je suis donc à la 10ème position pour le moment. Au bout, nous retrouvons un peu de bitume qui nous conduit sur le parking du petit port de plaisance et de ces deux virages à 180 degrés qui nous obligent à faire un bel effort de relance. Je peux voir que j'ai à peu près le même écart qu'au tour précédent, sur le 11ème de la course. Pratique ces virages à 180 ! Passage sur le petit pont, puis grimpette de la petite bosse avant d'arriver sur la partie en dévers. J'ai une vingtaine de mètres de retard sur le coureur en vert qui n'a plus l'air de creuser l'écart sur moi.










Me revoilà dans la bosse qui va me conduire le long de l'arche d'arrivée. En plus de mon fils, j'entends Mick m'encourager. Je contourne ensuite le grand carré vert avant de me retrouver dans le ''single''. J'ai pris un petit point de repaire pour le dernier tour, vis-à-vis du coureur derrière moi, mais pour le moment, mon avance est assez conséquente. D'ailleurs, inconsciemment je lève un peu le pied. Le parcours n'est pas si facile que ça avec pas mal de relances, et un sol qui est énormément nature et non route. Je sors de ce long ''single'' derrière le hangar des tennis.





Virage à droite pour entamer la petite boucle. Les deux premiers ont eux déjà entamé l'ultime tour, avec le coureur de Ponthierry qui a fait un écart sur Jean-Marie. Je grimpe la petite bosse avec le virage à droite et une fois en haut, je relance un peu mon rythme même si je vais simplement gérer jusqu'à la fin pour conserver cette 10ème place que j'ai depuis l'issue de la deuxième boucle.





La partie descendante permet de bien se relancer, juste avant de faire bien attention aux coureurs qu'on croise. Je suis pour la dernière fois sur la ligne droite bitumée. Sachant que mon avance est assez confortable, je ne me mets pas du tout dans le rouge. Je quitte cette ligne droite en tournant à gauche pour prendre le petit chemin qui longe le petit étang. J'arrive à la grille de l'entrée de la Base de Loisirs, puis direction le petit port de plaisance. J'attendais mon arrivée sur le parking pour jauger du nouvel écart avec le coureur derrière moi. J'ai perdu quelques mètres, mais l'avance reste bien importante. Je poursuis donc sur ce tempo. Passage sur le petit pont, montée de la petite bosse, puis traversée de la partie en dévers.





J'arrive sur la bosse qui va longer l'arche d'arrivée. Mick me dit d'aller plus vite, mais non, ça me convient, j'y vais pépère ! Je double la dernière de la course au niveau du grand carré herbeux. Je l'encourage. Elle n'est pas vraiment seule car le cycliste qui sert de lanterne rouge, l'accompagne. Juste avant d'entrer dans le ''single'', je me retourne pour constater que le coureur derrière moi n'a grappiller qu'une dizaine de mètres. Je traverse donc toute cette partie en ''single'' en me préoccupant uniquement à la présence des très nombreuses racines. J'en sors une fois derrière le hangar des tennis.





J'entame la petite boucle pour la dernière fois, mais je ne vais pas la faire entièrement. En effet, je grimpe la petite bosse, avant de tourner à droite pour continuer à la monter. Virage à gauche, puis aussitôt à droite sur du plat. L'arche d'arrivée est pile au bout face à moi. Je termine tranquillement. Donc, au lieu de tourner à droite comme lors des deux fois précédentes pour passer à côté du ravitaillement final, je continue tout droit pour les vingt derniers mètres de la course. Je finis par passer sous l'arche d'arrivée 10ème en 44'13''.





Mick récupère un morceau détachable du dossard pour classer les coureurs. Même si j'ai assuré tranquillement sur la moitié de la course, j'avais quand même les jambes bien lourdes après cette semaine où j'ai beaucoup couru. Et il faut aussi noter que le parcours est assez exigeant mais super agréable. En fait j'ai beaucoup aimé.





Je passe au ravitaillement final pour prendre un gobelet de jus d'orange, puis un second de coca, accompagnés d'un quartier d'orange et de deux petits carrés de chocolat au lait. Je ne m'attarde pas trop sur cette zone d'arrivée car avec la pluie, le fort vent et la sueur, je commence déjà à avoir froid. Retour donc à la voiture pour me changer.







Je reviens ensuite sur cette zone d'arrivée où le classement est déjà affiché. En attendant les récompenses, nous restons avec Mick. Puis c'est déjà le moment des podiums. Les trois premiers au scratch hommes et femmes sont récompensés d'une coupe, puis c'est au tour des différentes catégories. Moi, je monte sur la seconde marche du podium master 1. C'est cool, ça fait toujours plaisir. Pour les catégories, seul le premier repart avec une coupe. Les seconds et troisièmes sont récompensés d'une médaille. A 11 heures, le 6 kilomètres va s'élancer, mais nous partons quelques minutes avant, direction la Base de Loisirs de Bois le Roi pour y pique-niquer et passer une partie de l'après-midi au skate-park ! Prochaines courses … la semaine prochaine, samedi et dimanche !