20ème Course des Sapins à Saulieu (21)

Dimanche 29 novembre 2015


Avec l'accumulation des annulations de courses en région Parisienne, je dois trouver des solutions de replis. Et pourquoi pas un petit week-end dans le Morvan que je ne connais pas ! Le choix est donc fait avec une course qui tient plus du cross que de la course nature avec des grimpettes longues et boueuses à Saulieu. Il s'agit d'une petite ville située dans le département de la Côte-d'Or en Bourgogne. Merci à Gilles Troplent, du club du PAAC pour le conseil de faire un détour au Relais de Bernard Loiseau qui est situé à Saulieu. Le menu n'est pas donné du tout mais bon...



Parlons un peu course maintenant. Elle est gratuite pour tout le monde. Aussi bien pour les courses enfants que pour la grande course. Au programme 6 courses, dont les 4 premières sont réservées aux enfants à partir de 13 heures. La cinquième est longue de 2800 mètres et la sixième, la course phare, est celle à laquelle je vais participer. Elle est longue de 8,3 kilomètres et son départ est prévu à 14h35.




Nous arrivons au Stade Omnisports de Saulieu vers 13h15. Direction aussitôt le gymnase pour m'inscrire. Je récupère le dossard numéro 417 ainsi qu'un bon pour récupérer un sapin de Noël. Nous ressortons ensuite de ce gymnase pour nous rendre sur le carré d'herbe qui se situe juste à côté où une file de coureurs déjà inscrits font la queue pour récupérer leur sapin. J'en fais de même et ça va vite. C'est très appréciable ce joli cadeau qui remplace les habituels tee-shirts offerts. C'est quand même un sapin d'1,50 mètre de haut !




Je repère les escaliers qu'on va devoir emprunter à quatre reprises. Ça va il n'y a pas trop de marches, mais ça marque le début de la partie difficile du parcours. La course va être composée d'un tour complet de piste, puis un petit tour et trois grands tours, avec un passage à chaque fois sur la piste du stade. En ce qui concerne l'équipement, je vais opter pour les chaussures de trail car il y a une partie bitumée quand on se retrouve tout en haut de la ville. Je vois pas mal de coureurs avec des chaussures de cross au pied. Ils risquent d'être un peu en galère sur le bitume, mais sur toutes les autres portions, ils auront une meilleure accroche au sol que moi.






Je me prépare à la voiture. Je suis malade, je dois aller m'isoler un peu. Ce n'est pas la grande forme mais ce n'est pas grave, je vais faire en sorte que ça aille pas trop mal quand même. Une fois enfin prêt je vais courir 3 kilomètres dans des côtes puis sur la pelouse du stade. Le vent est assez fort et la pluie tombe de temps en temps. Mais il fait moins froid que les jours derniers. J'ai testé la descente sinueuse dans la boue et même avec des chaussures de trail, les virages sont difficiles à prendre sans tomber. Et en plus, lors de ce test, j'allais lentement, alors ça risque d'être compliqué en course !







Maintenant il va être l'heure de prendre le départ. Nous sommes plus de 300 coureurs derrière la ligne de départ qui est située au niveau des poteaux de but de rugby. Le vent redouble de force à ce moment là. Vite, vite, laissez nous partir pour nous réchauffer ! Le coup de pistolet du starter se fait entendre. Je pars moyennement vite et je me rends surtout très rapidement compte que je suis dans un jour sans. Dans cette première ligne droite sur la pelouse du stade, je me mets sur le côté du peloton pour ne pas être gêné ni gêner les autres. Quand on arrive presque au niveau des autres poteaux de rugby, nous tournons à droite pour arriver sur la piste d'athlétisme qui est en terre.


Puis, après un tour complet de cette piste en terre avec de très nombreuses flaques d'eau et de boue, nous longeons maintenant cette piste sur l'extérieur sur l'herbe glissante en direction des terrains de tennis. Dans ce sens, le vent est assez fort de face. Puis une fois les cours de tennis passés, je tourne sur la droite dans un virage très glissant. Et maintenant j'ai l'escalier en point de mire. Je finis par y arriver et ça casse vraiment le rythme ces marches. Une fois en haut, je tourne sur la droite. Je suis sur un chemin à flanc de colline. Dans un premier temps ça descend un peu, histoire de reprendre son souffle, puis ça monte et surtout ça glisse énormément.


Et le passage des coureurs lors des courses précédentes a rendu le sol encore plus boueux. Plus ça monte et plus c'est pentu. J'arrive en haut sur le Chemin de Bellevue qui est en bitume. Ça descend un peu et au bout d'une cinquantaine de mètres, nous quittons déjà le bitume pour prendre la descente périlleuse dans la boue et avec les virages serrés. Dès que je quitte le bitume pour tourner à droite, c'est comme si on descendait dans un fossé. On tourne aussitôt encore à droite et il faut avoir les appuis solides pour ne pas allez tout droit. Il y a énormément de boue. Virage à gauche, suivi d'un fossé à franchir, puis encore virage à droite et aussitôt à gauche en ne se ratant pas, sinon on termine dans les arbres. Un dernier fossé à franchir suivi d'un dernier virage à droite et je suis enfin en bas. Pas de tout repos !


Je traverse ensuite le skate parc. Il est suivi d'une grosse bosse à descendre pour me retrouver sur un terrain de foot annexe. Je tourne deux fois sur ma gauche en faisant toujours attention à ne pas glisser et je me retrouve sur la piste d'athlétisme avec un passage obligé dans une énorme flaque de boue. Je passe sous la tonnelle qui servira à accueillir les arrivants à la fin de la course. J'en ai terminé avec la petite boucle, mais je pars pour trois grandes boucles. Et dire que je ne me sens déjà pas bien du tout ! Je poursuis sur cette piste bien humide.


Je me trouve dans le virage et quand j'en sors, je sors également de la piste pour retrouver la partie herbeuse qui la longe en direction des cours de tennis. Le vent de face est toujours présent. J'essaye de me protéger comme je le peux mais ça ne va pas fort. Je tourne à droite. J'ai pris un peu large dans ce virage à cause du terrain boueux. Il y a énormément de spectateurs de chaque côté du chemin qui nous mène au pied de l'escalier. Je baisse la tête en franchissant les marches et une fois en haut, je tourne à gauche et je profite de la légère descente pour souffler.


Et ça remonte aussitôt. Je trouve que ça glisse encore plus dans cette montée que lors du premier tour. Je ne sais pas si c'est parce que le terrain se dégrade de plus en plus ou si c'est l'accumulation de boue sous les chaussures, mais ça glisse. J'arrive en haut et au lieu de tourner à droite comme lors de la petite boucle, je tourne à gauche sur le Chemin de Bellevue. Ça continue de monter mais je suis sur du bitume. Le terrain pentu se transforme en long faux-plat montant. Je suis juste devant une coureuse du club d'Auxerre qui m'a rejoint. Je vais mieux maintenant et je peux rester juste devant elle pendant la suite de la montée. Au bout, nous tournons à droite Rue des Anciens d'Afrique du Nord. Ça continue à monter sur une cinquantaine de mètres, puis un peu de plat et on retrouve le Chemin de Bellevue en sens inverse et donc en descente. Un peu avant d'arriver au niveau où on va quitter le bitume pour plonger dans la descente périlleuse, je dis à la fille qui me suit de passer devant moi, pour que je ne la gêne pas dans la descente au cas où je chute. Elle passe donc devant et entame la descente. Finalement nous arrivons en bas dans de bonnes conditions.




Nous traversons le skate parc puis descendons le petit talus suivi des deux virages serrés sur la gauche qui nous conduisent sur la piste d'athlétisme. Je repasse devant elle juste après l'énorme flaque d'eau boueuse, puis nous passons sous la tonnelle. Je me sens quand même mieux depuis la moitié de cette grande boucle que je viens de terminer. D'ailleurs ma foulée s'en ressent, je suis plus aérien qu'au début où je me battais pour avancer sur le plat.



Dans le virage de la piste d'athlétisme, nous revenons sur plusieurs coureurs. Je me cale juste derrière eux et j'attends de sortir de la piste pour passer devant toujours juste devant la fille d'Auxerre. Le vent est encore et toujours de face à cet endroit du circuit, mais ça tourne beaucoup mieux pour moi. Je prends bien le virage à droite après les cours de tennis et je me retrouve dans la montée des escaliers après avoir doublé encore d'autres coureurs. En haut, je tourne à droite.


Nous doublons quelques retardataires maintenant. Je pioche dans la montée car je glisse quand même pas mal. Une fois en haut, nous tournons à gauche Chemin de Bellevue mais je n'arrive pas à relancer la machine. La fille d'Auxerre passe et me dit de m'accrocher. C'est bien gentil de sa part mais je n'y arrive pas. Il me faut un peu de temps pour me reprendre dans la suite de cette montée. Quand je tourne à droite Rue des Anciens d'Afrique du Nord, ça va mieux. Je croise les coureurs dans la descente. Je me retrouve dans la partie difficile de la descente dans la boue. Je double pas mal de retardataires, ce qui m'empêche de choisir la bonne trajectoire, mais ça va bien. Je suis en bas.



Je continue à me créer un chemin à travers les retardataires. On voit bien la différence entre les coureurs que je double et qui descendent le petit talus tout doucement, pendant que les coureurs étant dans le même tour que moi n'en font qu'une bouchée. Je prends les deux virages sur ma gauche et débouche sur la piste détrempée. Je vois quelques coureurs à qui je vais prendre un tour, faire un petit détour pour éviter la ''mare'' mais moi je continue tout droit. Je passe sous la tonnelle et c'est le début du dernier tour.



Dans le virage de la piste, je dois faire un peu de slalom pour me frayer un chemin. C'est pareil juste au moment où je dois quitter la piste. Puis c'est beaucoup plus tranquille pour moi. Le virage des tennis est un peu moins performant pour moi sur ce dernier tour. Je veux le prendre un peu plus serré, mais c'est glissant et je me retrouve finalement un peu déporté vers l'extérieur. Mais tant qu'il n'y a pas de chute, tout va bien. C'est ma dernière montée de marches. Tant mieux !


J'échange quelques mots avec un coureur sympa et je continue à doubler de très nombreux coureurs à qui je prends un tour dans la montée glissante. Plus que quelques mètres et je débouche sur le Chemin de Bellevue. Virage à gauche pour poursuivre sur la partie en faux-plat montant. De tout en haut, il suffit de regarder sur la gauche pour avoir une vue totale sur la commune de Saulieu. Je tourne à droite et je commence ensuite à descendre jusqu'au chemin de terre. Je suis à quelques mètres d'un coureur et quand j'essaye de me rapprocher de lui pour le doubler, je n'y arrive pas car je suis gêné par des retardataires. J'attends de passer le skate parc et c'est dans la descente du talus que j'accélère. Un peu trop car je me retrouve complètement déporté vers l'extérieur. Mais je poursuis mon effort et le passe. Je n'ai plus qu'à tourner deux fois sur la gauche et c'est la dernière ligne droite sur la boue de la piste d'athlétisme. Je franchis la ligne d'arrivée 71ème/311 en 34'11''.






On nous fait passer par un chemin entre des barrières, pour nous canaliser jusqu'à ce qu'on rende notre dossard. Ça fait du bien quand ça s'arrête ! Ce n'est pas tellement un terrain pour moi, mais j'ai quand même bien aimé cette course. C'était très sportif et malgré que le début de ma course ait été assez calamiteuse, ma moyenne n'est pas trop mauvaise.





Je retourne à la voiture me changer. Merci pour les photos et les encouragements. Une fois sec et propre, nous retournons au gymnase au chaud en attente de l'officialisation des résultats qui sera suivie de la remise des récompenses. Puis il est l'heure pour nous de quitter la Côte-d'Or. C'était ma première course dans ce département. Ça fait maintenant le 28ème département différent où je fais une course ! Une fois à la maison, montage du sapin et demain matin, décoration !

Trail La Pontoise à Pont-Sainte-Maxence (60)

Samedi 21 novembre 2015


A la base je devais aller courir le 10 km de Drancy demain matin avec de nombreux coureurs de mon club. Une course qui nous plaît bien et où on va tous les ans. Mais les derniers événements avec les attentats de la semaine passée, en ont décidé autrement. En effet, la quasi totalité des courses en Île-de-France a été annulée. Donc, comme je ne voulais pas faire une semaine sans course, je me suis penché sur les calendriers des différents départements et j'ai trouvé un trail qui se court dans l'Oise à Pont-Sainte-Maxence et qui s'appelle La Pontoise. Je vais devoir me limiter au trail court car je travaille avant et je risquais de ne pas arriver à l'heure pour la course précédente.



Quand j'arrive sur Pont-Sainte-Maxence, il fait super froid, il pleut et il y a beaucoup de vent. Ça promet pour la course ! Je me gare juste à côté du Complexe Sportive Georges Decroze. Tant mieux, car quand est debout depuis 3 heures du matin, c'est difficile de braver le froid. Je vais récupérer mon dossard dans ce gymnase. Je connaissais par avance mon numéro de dossard, puisque j'étais inscrit par internet et le numéro était aussitôt attribué. J'ai le numéro 40. Je reçois en cadeau-souvenir, un tee-shirt technique de la course. Puis je retourne à la voiture pour me préparer.


Habituellement, je reste à côté de ma voiture pour me préparer, mais là il fait tellement froid que je me suis mis bien au chaud à l'intérieur. Je vais mettre mon maillot de club avec les manches longues. Une fois le dossard épinglé sur mon maillot et la puce de chronométrage fixée sur mes chaussures de trail, je pars faire mon échauffement. Au début, sur le premier kilomètre, c'est très douloureux pour les tendons d'Achille avec mes chaussures de trail. Puis je m'y habitue et ça va mieux. Je retourne dans le gymnase pour voir l'échauffement collectif, puis on en sort pour nous rendre derrière la ligne de départ.


Il fait déjà nuit noire alors qu'il n'est que 17h30. Nous sommes prêts à partir. La ligne de départ est située juste à côté du gymnase, Rue Théophile Richard. Le signal est donné par le starter et c'est parti. La première partie de la course va se courir en ville. On tourne aussitôt à gauche puis à droite Rue du Stade. Je me place dans les premiers et ma place oscille entre la seconde et la troisième place. Nous tournons encore à droite Rue du Professeur Ramon. Le vent de face se fait bien ressentir à cet endroit. Le premier se détache et je passe ensuite à la quatrième place. On continue tout droit, puis ça tourne à gauche et aussitôt à droite pour longer l'Oise. Un peu plus loin, nous tournons sur la droite avec un faux-plat montant qui coupe le rythme. Mais ce n'est rien par rapport à ce qui nous attend, car je commence à ''grimper'' le Chemin de Calipet. C'est très raide mais nous restons pour le moment sur bitume. Ça devient de plus en plus pentu. Nous longeons le cimetière et nous quittons ensuite le bitume pour la boue. Je passe à la sixième place et nous sommes presque à l'arrêt.



Je laisse le petit groupe partir pour éviter de me brûler les ailes. C'est volontaire et j'espère bien revenir plus tard. Le Chemin de Calipet paraît interminable. Il va nous mener tout en haut de la Montagne de Calipet. Mais je n'y suis pas encore. Je suis toujours dans la montée. Il y a quelques virages, le terrain est très gras, glissant et détrempé. Quand ça monte un peu moins fort, je reviens petit à petit sur un coureur et je finis par le doubler. Me voilà à la cinquième place. Je reviens rapidement sur un autre coureur. Je reste derrière lui jusqu'à la fin de l'ascension car malgré nos lampes frontales, les pièges sont très nombreux au sol et je n'arrive pas à trouver l'ouverture pour doubler sans risquer la chute.



Une fois enfin au sommet de la Montagne de Calipet, on doit faire un tour du plateau. Je me décale à côté du coureur que je suivais depuis quelques temps. On échange quelques mots, tout en restant super concentré pour ne pas mettre les pieds n'importe où, puis je passe devant. Je fais petit à petit un écart avec lui. Je suis maintenant quatrième. Je vois les deux coureurs qui me précèdent avec un beau petit écart encore. Je tourne sur la gauche dans un virage à angle droit. J'ai du mal à garder ma trajectoire car ça glisse beaucoup. Je reviens progressivement sur le coureur qui me devance. On tourne encore à gauche à travers les arbres. Je me décale sur la droite et j'accélère pour doubler le coureur. Je poursuis mon effort pour faire immédiatement un écart. Je suis en troisième position. Le second est vraiment très loin et inaccessible pour moi. Donc le but sera de préserver ma place sur le podium. Je suis sur un chemin herbeux avec d'énormes trous d'eau et de boue. J'essaye de conserver ma vitesse pour continuer à faire un trou.


Je quitte le plateau de la Montagne de Calipet en commençant à descendre. C'est vraiment ''casse-gueule''. Bien pire que l'ascension. Les petits virages sont traîtres. Ça glisse énormément. Quand c'est un peu plus droit, je me retourne pour jauger de mon avance. J'ai une dizaine de secondes d'avance sur mon poursuivant. Je vais maintenant tenter de conserver cet écart pour ne pas me mettre dans le rouge et en garder sous le pied au cas ou. J'évite de justesse une branche qui se présente juste devant mon visage. Je slalome toujours dans la boue entre les arbres. Puis j'arrive dans un virage à droite très délicat, car très serré et au pied d'une grande descente. Je fais attention au quad qui est stationné dans ce virage, puis je récupère le Chemin de Calipet. Mais cette fois-ci dans la partie descendante. C'est moins dur que dans l'autre sens car c'était vraiment raide. Je quitte la boue en retrouvant le bitume le long du cimetière. Virage serré à gauche. Au bout je croise un signaleur et je lui demande ma position pour être sûr. Il me confirme que je suis bien troisième. Virage à gauche et aussitôt à droite. La rue descend. Un peu plus loin, je me retourne. Le coureur n'est pas bien loin, mai ça devrait aller. Je continue tout droit pendant quelques centaines de mètres, puis l'arche d'arrivée se profile quand je tourne à droite Rue Théophile Richard. Je franchis la ligne d'arrivée 3ème en 21'14''.


Je termine à 8 secondes de la seconde place et je conserve 12 secondes d'avance sur mon poursuivant. Je restitue ma puce de chronométrage avec beaucoup de difficulté car le bénévole n'arrive pas à me l'enlever. Puis je rentre dans le gymnase où un ravitaillement est dressé. Je retrouve les deux premiers de la course. Je retourne ensuite à la voiture pour changer mon haut afin de ne pas attraper froid.





Retour ensuite dans le gymnase pour la remise des récompenses. Je suis récompensé deux fois. En effet, je reçois une coupe pour ma troisième place au scratch. Puis quelques minutes plus tard, je reçois un trophée récompensant le vainqueur en catégorie V1M (Vétéran 1 Masculin) ou plutôt devrais-je dire en catégorie M1M (Master 1 Masculin).




Je fais ensuite la connaissance avec Damien Fievet, du club de Meaux, qui a fait le trail long. Il prend une excellente cinquième place au scratch et une troisième place en catégorie M1M. Il se fait tard, je dois reprendre la route car je travaille demain matin. Ça fait du bien au moral de gagner quelques chose mine de rien !