35ème Classique Internationale Marseille-Cassis (13)

Dimanche 27 octobre 2013



Nous y voilà au rendez-vous incontournable annuel. Autant je n'ai absolument pas envie de rater les 6 Jours du Toulois au premier semestre de chaque année qu'il en est de même pour le Marseille-Cassis de chaque dernier dimanche d'octobre. Inscrite au calendrier de la Fédération Internationale d'Athlétisme et classée dans le Top 50 des courses mondiales, la Classique Internationale Marseille-Cassis, qui en est cette année à sa 35ème édition, est médaille d'argent de l'IAAF des courses hors stade 2013. Excusez du peu !!! D'ailleurs les passionnés se bousculent au portillon pour participer à cet événement car le début des inscriptions se fait sur internet le 1er mars à minuit, et cette année le record a été battu, car les inscriptions ont été closes moins d'une heure après, les 15 000 dossards ayant été vendus.


Mais c'est surtout une aventure humaine pour beaucoup de gens qui prennent part à cette course devant un endroit mythique pour les Marseillais et les très nombreux supporters de l'Olympique de Marseille, même si hier l'OM a perdu 2-3 face à Reims, car ce départ est donné Boulevard Michelet face au Stade Vélodrome. La route commence dès le premier kilomètre à s'élever dans des proportions assez cool, mais n'arrête pas de s'accentuer jusqu'au Col de la Gineste, 10 km plus loin. Puis une descente entrecoupée du plateau de Carpiagne et quelques petites montées, nous amène les pieds dans l'eau sur le Port de Cassis et même sur la plage et dans la Méditerranée. Un bonheur et un régal pour les yeux quand on découvre après chaque lacet le merveilleux spectacle du paysage provençal.






Voilà le décor de planté si je puis me permettre ! Le retrait des dossards s'effectue comme tous les ans, le vendredi et le samedi précédant la course, au Parc Chanot, juste à côté du Stade Vélodrome en plein travaux de couverture par un toit. Cette année c'est au Palais Phocéen du Parc Chanot que le Village Expo de la course a été installé. Une petite nouveauté de dernière minute a vu le jour car un sas -1h40 a été décidé sous réserve de la présentation d'un justificatif de résultat datant de moins d'un an. Avant de quitter la région parisienne, j'ai juste eu le temps de l'imprimer.




J'ai récupéré mon dossard, le numéro 1311 et ensuite j'ai du faire une seconde file d'attente pour valider ma position en sas -1h40. Malheureusement, Bernard qui m'accompagne tous les ans n'a pas cette chance. On fait un tour dans le Village Expo où de jolies courses sont présentées. Nelson Monfort, le célèbre commentateur et intervieweur sportif est également présent pour présenter et dédicacer son nouveau livre ''Sport, mes héros et légendes''.


Ce matin le réveil a sonner à 5h30 mais merci au passage à l'heure d'hiver cette nuit, ce qui a tout de même permis de dormir une heure supplémentaire. Un peu de marche pour récupérer un des très nombreux car mis à la disposition des coureurs de Marseille-Cassis pour nous amener à proximité du Stade Vélodrome. Encore un peu de marche à nouveau pour trouver les camions-vestiaires où on dépose le sac mis à disposition par l'organisation pour se faire rapatrier à Cassis et récupérer dès notre course achevée, nos affaires de rechange.



J'ai retrouvé Bernard qui est très visible avec son maillot tout jaune. Monsieur a quitté son débardeur de club de l'ASPTT Nice !!! Il a l'air plus en forme aujourd'hui que lors de notre petite sortie en courant d'hier en fin d'après-midi au Parc Borély à Marseille. On devait également retrouver Ghizlane mais son train pris à La Ciotat est en retard. Une fois nos affaires aux camions-vestiaires, nous nous dirigeons vers les sas de départ. Bernard tente de négocier pour accéder au sas des -1h40 en vain.



A 8 heures nous sommes dans nos sas respectifs. L'avantage du mien c'est que nous ne sommes pas nombreux et on peut s'échauffer ou même marcher lors de cette longue attente jusqu'au départ qui sera donné à 9h30 très précise. Plus le départ avance, plus on s'approche des sas élites. Sur le podium de départ, Nelson Monfort s'adresse à nous avec un grand sens de l'humour en nous disant qu'il n'allait pas s'éterniser avec un speech car ses collègues audiovisuels le surnomment ''Melson Moinfort'' ! Il fait très bon ce matin alors que des averses étaient prévues par la météo. Il fait même chaud, il y a déjà 22 degrés à 9 heures. Medhi Baala, notre spécialiste national du 800 et du 1500m, qui était présent l'an dernier sur le podium départ et avait annoncé qu'il ne prendrait jamais part à cette course de fous, a changé d'avis et portera le dossard 13. Il ne sera pas seul sur cette course parmi les coureurs de piste de niveau mondial car Marc Raquil, champion du monde du relais 4 x 400m en 2003 et médaillé d'argent du 400m la même année, en sera également.





A 9 heures 30 le départ est donné. Ça chahute énormément. De grandes bousculades pour prendre un meilleur départ que le voisin. Moi je me mets sur le côté gauche de la très large chaussée offerte par le Boulevard Michelet. Je suis même isolé mais ça me va particulièrement bien. Il s'agit d'un très long faux plat de 2 kilomètres qui m'amène à l'Obélisque de Mazargues. Au bout de 2 kilomètres je suis déjà trempé de sueur. Il fait très chaud. On poursuit par l'Avenue De Lattre de Tassigny où ça continue à monter sur un faux plat. Après avoir passé le centre commercial, on monte beaucoup plus franchement avec un pont qui enjambe notre route qui nous sert de point de mire. Ce pont est noir de monde est quand les coureurs passent dessous, les encouragements fusent. Mais ce n'est pas que sur le pont que les encouragements fleurissent. C'est de chaque côté de la route depuis le départ de la course. C'est impressionnant !



On continue toujours à monter et au km 4,5, on tourne sur la gauche à Vaufrèges. La route s'élève de plus en plus. Devant on voit, ou plutôt on ne voit pas, le col de la Gineste qui est complètement dans des nuages très menaçants. Par contre on voit la route en lacets qui monte, qui monte, qui monnnnnnnnnte. Au ravitaillement après le km 5, je prends un gobelet en eau sucrée ainsi qu'une petite bouteille d'eau. Attention à ne pas sauter un ravitaillement et bien s'hydrater pour éviter les traditionnelles crampes sur cette course qui gâchent les performances. On continue tout droit puis peu après le km 6, on tourne sèchement sur la droite et là on quitte habitations, voire même civilisation pour trouver les pourcentages bien plus sévères de l'ascension du Col de la Gineste.


Le spectacle est toujours autant magnifique. Moi qui en suis à ma 6ème édition, je ne me lasserais jamais de ce paysage merveilleux. On monte rapidement. Pas en vitesse mais en altitude et tout en bas on voit le flot des coureurs qui n'en sont que dans les prémices de leur ascension. En bas ils luttent devant la difficulté. Et nous, bah c'est pareil ! Je n'ose pas regarder trop devant moi tellement ça paraît interminable. J'oublie la souffrance de la montée en regardant sur ma droite la route monter vers le ciel. Les lacets sont assez nombreux et à chaque fois qu'on n'est pas protégé, on se prend de plein face le vent de l'est. Ça n'aide pas tellement à monter ça ! On aurait pu s'en passer je pense. Mais il y a des pompoms girls qui sont là pour nous remonter le moral !



Les meneurs d'allure des 1h30 me doublent au km 8. Sur cette course il y a des meneurs d'allure pour les 1h30, 1h45, 2h00 et 2h15. Les pourcentages lors de la suite de cette ascension sont toujours autant difficiles mais je vais beaucoup mieux, pour preuve que je fais jeu égal avec le deuxième meneur d'allure des 1h30 à une centaine de mètre derrière lui jusqu'au sommet du Col de la Gineste où les gens se sont massés et sont surtout montés très tôt ce matin voire hier soir car la route était fermée à la circulation depuis 6h30. Puis je bascule dans la descente. Je suis passé au km 10 en 49'40''. Ce qui fait la montée de 10 km du Col de la Gineste en plus de 12 km/h. Ça me va parfaitement.




Le changement de rythme avec une descente rapide est assez traumatisant pour les muscles. Je décide de descendre vite mais pas irraisonnablement. J'essaye de couper un maximum les premiers virages puis la descente se calme car entre le km 11 et le km 12 on remonte légèrement. Rien à voir avec la Gineste ! Au km 13 on arrive sur le plateau de Carpiagne qui est un terrain d'entraînement militaire. Il y a une petite partie plate là même où le troisième ravitaillement, après celui du sommet de la Gineste, est placé. Comme aux deux ravitos précédents je prends mon gobelet en eau sucrée et une petite bouteille d'eau. On remonte un peu jusqu'au km 14 puis on entame la descente très technique car très rapide avec en toile de fond le Port de Cassis et l'hélicoptère de la Télévision qui nous survole.




Les kilomètres défilent à grande vitesse. Plus en descend, plus les spectateurs sont nombreux. Un peu avant le km 17, on arrive à un rond point qui marque la fin de la descente et l'entrée dans Cassis. Cette course n'a rien à envier des étapes de montagne du Tour de France au niveau spectateurs. Nous sommes tellement encouragés dans ce brouhaha incessant que j'en ai la chair de poule. Au km 17, j'entends venir d'un spectateur : ''Allez Mega, Allez Marne-et-Gondoire, Allez Lagny !''. Je me retourne vers lui mais je ne le connais pas et surtout je le remercie chaleureusement. Être aussi loin de son lieu d'entraînement et recevoir de tels encouragements !




Puis au Camping des Cigales, on tourne à droite et le changement de rythme est mortel. On est dans un léger faux plat montant mais que ça fait mal aux jambes ! Je ne force pas mais j'essaye de continuer sur un niveau correct et je suis content de revoir une descente se profiler. Mais c'est une succession de petits faux plats montants et descendants avant une descente bien raide qui s'achève sur un rond-point où on tourne à droite juste au pied de la fameuse Côte des Pompiers. C'est une côte courte mais raide et surtout qui fait des écarts importants si on ne s'en méfie pas. Je la monte à mon rythme et après 200 bons mètres, je bascule dans la descente et là c'est terminé pour les montées. Je suis dans le dernier kilomètre où je suis à plus de 16 km/h.


Puis une petite chicane nous fait arriver sur le petit Port de Cassis qui est noir de monde. Si les spectateurs reculent un peu des barrières, ils tomberaient dans le port. Ça hurle de partout. Faut le vivre pour le comprendre, ça prend aux tripes ! Le reste de la course c'est comme un tour d'honneur sur une piste d'athlétisme où on est ovationné par les gens agglutinés derrière les barrières sur plusieurs rangs des deux côtés de notre chemin. Il reste 400 mètres pour traverser le port entre les boutiques et les bateaux. Par contre un coureur est au sol et se fait évacuer par les pompiers sur un brancards. C'est malheureux d'abandonner cette course à une encablure de la ligne d'arrivée.



Dernier virage sur la droite, plus que 100 mètres et je franchis la ligne d'arrivée 1077ème/14486 en 1h33'17''.





Heureux d'en avoir terminé, fatigué de cette course qui n'est pas de tout repos, mais pas exténué. Je ne dirai pas que je suis prêt à prendre le chemin en sens inverse, mais … non en fait j'ai les jambes explosées. Je passe au ravitaillement final qui est situé sur la place Baragon. J'appelle Bernard au téléphone pour tenter de le retrouver puis il faut encore monter mais cette fois-ci en marchant, pour récupérer notre vestiaire sur le parking de la Madie juste après le Stade où les douches sont à notre disposition tous les ans.




Un petit tour sur la plage avec des centaines et des centaines de coureurs sur le sable et dans l'eau. Rien de tel que de l'eau froide pour revigorer ses jambes ! Il y a quelques vagues qui viennent s'écraser sur le sable et lécher les mollets des coureurs qui hésitaient à faire trempette.





Je retrouve Bernard qui est content de sa place de 5892ème en 1h54'47''. Par contre toujours pas de Ghizlane qui au téléphone nous annonce qu'elle est déçue de son chrono en 2h03'17''. Sébastien Nicolas, excellent coureur de l'US Toul et habitué à l'épreuve des 6 Jours du Toulois termine avec un magnifique chrono de 1h18'21'' à la 121ème place. Parmi les 12 premiers du classement général, figurent 6 Ethiopiens, 4 Kenyans, 1 Marocain et 1 Français, James Theuri qui prend la 9ème place. Mehdi Baala termine 277ème en 1h23'32'' et Marc Raquil 1976ème en 1h38'40''. Le vainqueur de l'épreuve, l'Ethiopien Mulle Wasihum, tout récent vainqueur de Paris-Versailles, réalise donc le doublé 2013 Paris-Versailles / Marseille-Cassis.


C'est un balai des ambulances des sapeurs pompiers qui n'arrêtent plus d'évacuer les coureurs en énormes difficultés. Il y a même une escorte de la gendarmerie pour un VSAV qui partent en direction de l'hôpital tambour battant. Puis dans ce pays où on passe son temps à monter, hé bien nous montons tout en haut du village encore à pieds, histoire de récupérer la voiture et regagner le camping de Ceyreste où j'ai loué un mobile-home. C'était ma dernière course en catégorie senior ! A l'année prochaine pour ma 7ème édition de Marseille-Cassis !!!

28ème Foulées Monterelaises (77)

Dimanche 27 octobre 2013

Pendant que j'étais en train de lutter sur le Col de la Gineste et de porter fièrement les couleurs de MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME, une grande partie de mon groupe d'entraînement de MEGA s'est rendue sur le très roulant parcours de Monterault-Fault-Yonne, qui est certainement le circuit le plus rapide de Seine-et-Marne. A noter le retour en compétition de notre excellent Nicolas Paineau, longtemps absent à cause de son opération du genou. Il va s'aligner sur le 5 km. D'ailleurs MEGA va avoir une équipe très forte sur le 5 km avec des coureurs d'un niveau très homogène et un Nicolas Guy qui ''vole'' en ce moment sur cette distance.

 Nicolas PAINEAU, Nicolas GUY, Franck MARIE

 Nicolas GUY, Franck MARIE

 Nicolas PAINEAU, Nicolas GUY, Franck MARIE

 Nicolas PAINEAU, Franck MARIE, Nicolas GUY

 Thierry PAPPALARDO, Germain JACQ, Nicolas CHOISY

 Les filles de MEGA : Sandrine CHIRON, Virginia FOURNERON, Marylin COLLY (de dos), Aurélie POPAT (malheureusement malade, mais tu reviendras plus forte !!!)
accompagnées de Germain JACQ, Thierry PAPPALARDO, Laurent FOSCHIANI

Germain qui n'était venu que pour encourager les membres de notre club, a troqué au dernier moment son appareil photo, lui qui devait immortaliser les efforts de ses camarades et se joint à nos trois représentants de Marne-et-Gondoire Athlétisme afin de jouer le classement par équipe, car ce classement sera établi sur les 4 premiers arrivants par club.

 
L'équipe de MEGA sur le 5 km au complet et prête à en découdre sur le bitume Monterelais : Nicolas GUY, Nicolas PAINEAU, Franck MARIE et donc Germain JACQ, sous les yeux de notre Président Thierry PAPPALARDO.

COURSE DU 5 KILOMETRES :

Un temps frais et venteux s'invite sur la course du 5 km. Mais nos 4 mousquetaires (Nico, Nico, Franck et Germain) sont prêts à en découdre. Un pour tous, tous pour MEGA !

 Nicolas GUY, Nicolas PAINEAU, Franck MARIE, Germain JACQ au départ

  Nicolas GUY, Nicolas PAINEAU, Franck MARIE, Germain JACQ au départ

A 9 heures 30 le départ est donné. Nicolas GUY part comme à son habitude rapidement alors que notre trois autres représentants, Franck MARIE, Germain JACQ et Nicolas PAINEAU partent groupés l'un derrière l'autre.




 Franck MARIE, Germain JACQ

Nicolas PAINEAU 

Nicolas GUY termine 5ème/135 en 17'19''. Tu confirmes ton excellent chrono de la semaine passée à Meaux. Surtout qu'ici tous les gps marquaient une distance de 5,1 km.

Franck MARIE termine 11ème/135 en 18'27''. Bravo pour ton podium en Vétéran 1. 3ème place !!!
Germain JACQ termine 12ème/135 en 18'28''. Alors que tu ne devais pas courir, tu as mené la vie dure à notre Ptit Franck pendant toute la course.

Nicolas PAINEAU termine 21ème/135 en 18'57''. Et voilà enfin une ligne d'arrivée de franchie et en plus dans un excellent chrono et avec un genou qui a parfaitement tenu.

L'équipe des 4 mousquetaires de MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME termine à une excellente 2ème place par équipe. Bravooooooooooo !!!!!!


 RETOUR AU GYMNASE ENTRE LES DEUX COURSES :






COURSE DU 10 KILOMETRES :

C'est l'apocalypse pour les coureurs du 10 kilomètres. Il fait froid, il y a du vent et surtout il tombe des trombes d'eau juste avant le départ. Le corps se refroidit rapidement et ce n'est pas vraiment les conditions idéales pour les muscles et les articulations, même si personnellement j'affectionne ce genre de condition. Je dois être un peu fou mais tous mes meilleurs chronos ont été réalisés comme ça !!!


Le départ est donné à 10 heures 30 et la pluie s'est calmée. On peut voir sur la photo du dessus le départ ultra-rapide de Marylin COLLY, ce qui a provoqué le flou de la photo !

 Thierry PAPPALARDO

 Nicolas CHOISY

 Ludovic PIERRONNET

Laurent FOSCHIANI 

François-Charles BLONDEL 

Marylin COLLY 

Sandrine CHIRON accompagnée de sa fille 


Thierry PAPPALARDO termine 146ème/1171 en 35'20'' (temps réel : 35'18''). Notre Président nous montre toujours le bon exemple en réalisant de très belles courses et de très bons chronos. A noter ta 12ème place en catégorie.

Virgilio RODRIGUES termine 258ème/1171 en 37'39'' (temps réel : 37'35''). Notre valeur sure qui termine juste devant Joël. Ca fait du bien que tu sois revenu au club après cette parenthèse d'un an.

Joël PREVOST termine 260ème/1171 en 37'43'' (temps réel : 37'37''). Avec plus d'une année blanche à cause de blessures, les excellents chronos recommencent à pleuvoir (comme le temps d'ailleurs).


Nicolas CHOISY termine 437ème/1171 en 40'55'' (temps réel : 40'45''). A 13 petites secondes de ton record personnel de l'an dernier ici-même.


Ludovic PIERRONNET termine 539ème/1171 en 43'13'' (temps réel : 42'50''). Le seul avec Aurélie qui a abandonné, à être déçu de son chrono. C'est vrai qu'il vaut beaucoup mieux mais ce temps pourri ne réussit pas à tout le monde. A ton retour de vacances tu seras remonté à bloc et ton record va exploser !

Laurent FOSCHIANI termine 574ème/1171 en 43'55'' (temps réel : 43'31''). Pas très loin de ton record. Ca va venir très vite !

François-Charles BLONDEL termine 622ème/1171 en 44'51'' (temps réel : 44'27''). Des chronos qui n'arrêtent pas de descendre, une barre des 45' qui tombe. RECORD PERSONNEL BATTU.

Virginia FOURNERON termine 734ème/1171 en 47'26'' (temps réel : 47'03''). Très proche de la barre des 47' surtout en voyant le temps réel. Celle des 45' n'est pas illusoire. C'est pour bientôt. RECORD PERSONNEL BATTU.


Marylin COLLY termine 864ème/1171 en 50'41'' (temps réel : 49'57''). Tu n'es plus loin du tout de la barre des 50 minutes. Ca sera pour la prochaine surtout que tu y es avec ton temps réel ! RECORD PERSONNEL BATTU

Sandrine CHIRON termine 927ème/1171 en 52'38'' (temps réel : 51'54''). Très belle course pour notre athlète multicarte (lancés, 1500m, ...). RECORD PERSONNEL BATTU

Ne manque à l'arrivée qu'Aurélie POPAT, qui malheureusement a du se résoudre à abandonner à l'issue de la première boucle, car malade depuis quelques temps et impossible à continuer. C'est la mort dans l'âme que tu t'es arrêtée mais tu reviendras plus forte très bientôt !

Que de records personnels battus et une magnifique seconde place par équipe sur le 5 kilomètres. Un excellent bilan pour MARNE-ET-GONDOIRE ATHLETISME.

Et un grand merci à Christine PAPPALARDO et Franck BORDERON, tous les deux blessés mais qui ont fait le déplacement pour encourager le groupe et prendre les photos !

Faites pas la tête Nicolas et Christine, on remet ça bientôt ! Promis !!!