Le Challenge Arnaud à Mitry-Mory (77)

Dimanche 10 décembre 2006


Pour ma dernière course de l'année 2006, j'ai décidé d'aller à Mitry afin de participer au "challenge Arnaud" qui compte 7,75 km dans le quartier de Mitry le Neuf. Il s'agit d'un parcours roulant avec une toute petite boucle et de deux grandes boucles.


Le temps est sec mais il fait très très froid. Je vais chercher mon dossard. J'ai le numéro 473. Je reconnais une partie du parcours pendant l'échauffement. Je devrais dire pendant le réchauffement. Il fait vraiment froid. Mais une fois le corps à température, c'est un bon temps pour la course à pied.


15h00. Coup de feu et départ de la course. Ça bouscule pas mal pour être placé du bon côté de la chaussée avant les virages sur la droite. On joue pas mal des coudes. J'arrive à m'agripper à un petit peloton qui tiens un rythme normalement plus élevé que le mien. Au premier passage sur la ligne d'arrivée après cette petite boucle, je tiens toujours le rythme et c'est parti pour les deux grandes boucles.


A l'issue de la première grande boucle, je laisse partir le groupe car je commence à fatiguer et j'ai peur d'exploser. Je gère bien ma fin de course et après le dernier virage serré sur la droite, je lance mon sprint final sur 200 mètres pour doubler 4-5 coureurs et franchir la ligne d'arrivée 39ème/263 en 30'17''. 15,35 km/h. Pas mal, je suis bien content de moi.


Un bon chocolat chaud offert par l'organisation nous attend à l'arrivée. En cadeau, nous avons également un très beau sac de sport ainsi qu'une médaille souvenir. Il n'y a plus qu'à attendre le mois de février pour remettre ça.

La Téléthonniène de Villecerf (77)

Dimanche 2 décembre 2006


Direction le sud de la Seine-et-Marne, juste après la forêt de Fontainebleau pour faire une petite course mi-route, mi-nature pour la bonne cause. En effet, cette course qui se nomme "La Téléthonniène" est organisée pour le Téléthon.


Nous ne sommes pas très nombreux au départ. Une quarantaine de coureurs seulement, mais quelques clubs de la région sont représentés. Le temps est sec et pas trop froid.


Le départ est donné et une petite boucle dans Villecerf nous fait repasser sur la ligne de départ. Je passe à cet endroit en deuxième position. Puis nous sortons de Villecerf par une longue ligne droite assez venteuse de face et on se retrouve sur chemins de terre. Cette longue ligne droite m'a fait du mal et j'ai perdu pas mal de places.


En me retrouvant dans la forêt, j'arrive à maintenir ma place et n'en perd plus d'autre, puis on entre à nouveau dans Villecerf sur route. Ça descend assez vite et je peux remonter un coureur avant de franchir la ligne d'arrivée 11ème/37 en 15'17''.


Une photo de famille regroupant tous les coureurs de la course est faite et sera publiée dans le journal départemental.

La Petite Sagittaire à La Queue-en-Brie (94)

Dimanche 19 novembre 2006


Aujourd'hui direction le château des Marmousets dans la forêt de Notre Dame. Le temps est à la pluie et il s'agit d'une course entièrement nature. Le retrait des dossards se fait dans l'enceinte même du château. Je récupère le mien. Le 1459.

Sur la ligne de départ, à l'arrière du château, des coureurs comme moi, ont de simples chaussures de running et d'autres avec des pointes. Dès le coup de départ, je comprends vite que ça allait être une course de galère. Dès que je pose un pied au sol, ça part en grosse glissade. La boue est très épaisse et très glissante. Des énormes flaques d'eau qui ressemblent plus à des mares, jonchent le parcours dans la forêt. Devant moi, je suis témoin de nombreuses chutes de coureurs dans les flaques ou la boue. Pour ma part j'ai failli tomber vraiment au sol une fois. J'ai juste eu le temps de mettre le poignet par terre.

Après ce gros passage qui dure plusieurs kilomètres et qui n'est pas facile à maîtriser, on arrive sur de larges chemins forestiers, qui comportent également des flaques d'eau, mais rien à voir avec les difficultés passées. C'est beaucoup plus roulant et j'ai vraiment l'impression d'aller plus vite.

On arrive enfin derrière le château où se trouve la ligne d'arrivée. Je suis 56ème/275 en 41'01''.

Ouf c'est terminé. C'était bien, mais qu'est-ce que ça glissait. A côté du château, il y a un tonneau en fer rempli d'eau. J'y trempe complètement les deux jambes avec les chaussures pour essayer d'ôter toute cette boue qui colle. Ma paire de chaussettes part directement à la poubelle.

24èmes Foulées Maurice Martone à Drancy (93)

Dimanche 12 novembre 2006


Un collégue de travail avec qui je cours de temps en temps m'a parlé de cette course qui se déroule dans sa ville de Drancy. Une course gratuite portant le nom de "Foulées Maurice Martone". Nous avons tous les deux décidé de nous inscrire.

Je porte le dossard 209. Lors de l'échauffement nous hésitons sur notre tenue. Mettre des manches ou pas. Le temps est beau mais assez frais.

10h00. Coup de feu et c'est parti. D'entrée j'essaye de passer sur le trottoir pour essayer de doubler des gens qui ne vont pas vite et qui se mettent dans les premières places sur la ligne de départ. Je m'accroche le haut du bras droit sur un arbre et j'arrache la manche. Ça commence bien.

Le parcours est plat, des lignes droites pas trop longues et j'arrive à maintenir mon rythme au fil des kilomètres. J'ai lâché mon collègue de travail depuis la ligne de départ et en me retournant je ne le voie pas au loin.


Vers le kilomètre 7, ça commence à faire dur aux jambes mais vers le kilomètre 8,5 c'est reparti de plus bel. La fin du parcours se fait à un meilleur rythme et on franchit la ligne d'arrivée avec avoir fait un tour de piste sur le stade Charles Sage. Je suis 94ème/442 en 41'30''. Record battu. Yannick finit 144ème. Jolie course.

10 km de Tremblay-en-France (93)

Dimanche 22 octobre 2006


Après 3 semaines à oublier (blessure bête au genou qui m'a empêché de le plier puis décès de mon père au Stade de France), j'ai décidé, même avec un manque d'entraînement, de m'inscrire au 10 km de Tremblay, afin de me changer les idées. Cette course est le support du championnat départemental du 10 km de Seine-Saint-Denis.


Pendant l'échauffement, je retrouve Bernard de l'ASPTT Nice et on poursuit l'échauffement ensemble. A 11 heures, on se rend sur le ligne de départ.


Ma femme et mon fils sont à proximité et c'est parti. De longues lignes droites nous font traverser la ville de Tremblay (surtout une de 2 kilomètres). Le parcours est quasiment plat et j'arrive à suivre le rythme des coureurs devant moi.


Au kilomètre 5, c'est le ravitaillement et c'est parti pour une seconde boucle identique et cette longue ligne droite de 2 kilomètres. Ensuite on remonte vers le stade où se trouve la ligne d'arrivée.


Une fois sur le stade on fait un tour de piste pour franchir la ligne d'arrivée. Je n'ai finalement pas trop souffert même si une fois la ligne d'arrivée franchie, j'avais du mal à récupérer mais j'ai amené mon dossard 507 136ème/330 en 42'42''. Bernard a fini 168ème en 44'36''.

Foulées de Saint-Thibault-des-Vignes (77)

Dimanche 1er octobre 2006


Quelques gouttes de pluie nous souhaitent la bienvenue lors de l'échauffement des foulées de Saint-Thibault-des-Vignes. La course se passe sur une partie de mes parcours d'entraînement car c'est juste à côté de Bussy-Saint-Georges où j'habite.


Je porte le dossard 156 et à 10h30 le départ est donné. Nous sommes un peu moins de 200 coureurs.


Le départ est donné sur le stade municipal. Nous faisons un tour de stade sur l'herbe et à chaque virage le long de la main courante, des petites bousculades nous obligent à être bien concentrés. Nous sortons du stade et prenons la route qui nous mène à Gouvernes. Juste à l'entrée de Gouvernes, nous tournons sur la droite où une petite côte nous attend. Je suis bien parti. Avant ce virage, je voyais encore de loin les premiers.


En haut de la côte, on tourne encore sur la droite et on se retrouve sur chemin en faisant un tour de l'étang de la Loy. Le terrain est un peu glissant voire boueux mais ça va tout de même. On ressort sur l'allée du château de Rentilly et on sent bien le faux plat montant qui nous mène vers le château. On redescend en sens inverse sur une allée parallèle en direction du stade municipal et c'est parti pour la seconde boucle de 5 kilomètres.


Les jambes commencent à être un peu lourdes, mais je m'accroche. C'est surtout la partie route avant l'arrivée à l'étang qui est dur mais dès qu'on se retrouve sur les chemins ça va beaucoup mieux. Je gère le faux plat de l'allée du château et je peux allonger mes foulées dans la descente afin d'arriver sur le stade où mon sprint me permet de gagner deux places.


Cette course très sympathique me permet de finir 39ème/186 en 42'51''. Très proche de mon record.

Foulées des Coudreaux à Chelles (77)

Dimanche 24 septembre 2006


Comme prévu, je me rends avec ma femme et mon fils à Chelles pour participer aux foulées des Coudreaux. Il s'agit de deux boucles sur route dans les rues de Chelles.


Je vais retirer mon dossard 84 au gymnase Cousin et en cadeau j'ai eu un pull bien sympathique. Ça change des nombreux tee-shirts que j'ai eu lors des autres courses. Je reconnais le parcours lors de mon échauffement.


A 10 heures, le départ est donné. C'est très rapide car la première ligne droite se fait sur un faux plat descendant, mais la raison revient rapidement car qui dit faux plat descendant, dit faux plat montant. Je gère bien ce passage puis on se retrouve dans le parc arboré de la ville de Chelles.


La première féminine me double et j'essaye de la suivre mais à la sortie du parc, je n'arrive pas à m'accrocher. Dès qu'on retrouve la route, une petite côte bien raide me ralentit puis on replonge vers la ligne de départ pour faire une seconde boucle.

Connaissant maintenant mieux le parcours, je fais plus attention à la petite descente et les montées se passent beaucoup mieux. Dès que je suis en haut de la dernière montée après le passage dans le parc, je peux nettement accélérer et je sprinte en voyant la ligne d'arrivée.


Je suis 108ème/370 en 42'19''. Record explosé.

Bernard, licencié à l'ASPTT Nice, que j'ai rencontré la semaine dernière a fini un peu plus loin en 47'05''.

10 km Forestier à Roissy-en-Brie (77)

Dimanche 17 septembre 2006



Parcours d'un style très proche de celui de la course de la semaine précédente à Cesson. Mais le temps n'est pas aussi beau, une petite pluie fine est présente sur la ligne de départ et le nombre de partants est beaucoup plus important. Près de 700. Il n'y a qu'une boucle de dix kilomètres. Ma femme, mon fils et également mes parents sont venus sur le parcours m'encourager.


A 10 heures, le départ est donné. Ça part rapidement, mais quelques centaines de mètres après le départ, un petit raidillon calme quelque peu mes ardeurs, mais dès que l'on se retrouve en haut, on bascule vers une petite descente puis c'est virage à droite et les chemins forestiers (d'où le nom de la course, le 10 km forestier). Les chemins sont assez larges et très plats. Mais les longues lignes droites ne sont pas trop ma tasse de thé et me cassent un peu le moral. Je vais à vitesse constante mais je sens que je vais un peu moins vite que la semaine d'avant. Je n'arrive pas trop à accélérer car je dois penser involontairement à la côte d'arrivée.


Au bout de la dernière ligne droite en forêt, nous retrouvons la route. C'est à cet endroit que ma famille se trouve et m'encourage. J'accélère et double deux coureurs puis je me trouve au pied de la côte finale. Je me fais rattraper par les deux coureurs que je venais de doubler mais je m'accroche à eux et après avoir basculé au sommet je peux réaccélérer dans la descente et je double d'autres coureurs avant la ligne d'arrivée. Je suis à l'arrivée 218ème/660 en 43'09''. Mon temps n'est pas le meilleur mais j'en suis tout de même content.


Les douches étant éloignées de la ligne d'arrivée, des navettes nous y conduisent. Je fais la connaissance d'un coureur V2 licencié à l'ASPTT Nice qui vient régulièrement sur la région parisienne et participe également souvent aux courses hors stade. On s'est donné rendez-vous la semaine prochaine à Chelles.

Foulées de la Forêt de Bréviande à Cesson (77)

Dimanche 10 septembre 2006


Un peu plus de monde que la course de la semaine précédente, pour ces foulées de la forêt de Bréviande à Cesson. Une course quasi-nature avec uniquement 800 mètres de route, le reste sur chemins. Ma femme et mon fils sont sur le parcours pour m'encourager.


Avec mon dossard 869 je m'élance au coup de pistolet à 10 heures. Je tente de partir dans le peloton de tête puis en arrivant sur les chemins je dois lever un peu le pied car je commençais déjà à être dans le rouge. J'ai réussi à conserver un rythme qui me convenait bien et je me faisais beaucoup moins doubler que pendant les autre courses. J'arrivais à m'accrocher plus longtemps aux autres coureurs.


Le ravitaillement au kilomètre 5 est apprécié car le temps est bien ensoleillé.


Les chemins sous les arbres sont vraiment agréables.

Après le ravitaillement trois longues lignes droites d'environ 1 kilomètre chacune paraissent interminables. Mais à leurs sorties on se retrouve à un kilomètre de l'arrivée dans un parc où des spectateurs nous encouragent, ce qui me donne des ailes et m'aide à accélérer sur le final et battre mon meilleur temps sur un 10 km.


Je finis 65ème/267 en 42'42''.

Les Foulées de Neuneu à Neufmoutiers-en-Brie (77)

Dimanche 3 septembre 2006


Fini mes problèmes d'entorse (au moins pour l'instant). Aujourd'hui je me rends à Neufmoutiers-en-Brie pour un 10 km mi-route, mi-chemin. La course se fait dans le cadre de la fête municipale et son nom est assez étrange "Les foulées de Neuneu". Original !

Nous sommes environ 150 au départ de cette course sous un temps frais avec quelques gouttes de pluie pas trop gênantes.

9h30. Coup de pistolet. Départ assez rapide malgré le vent contraire, mais qui ne nous gêne plus dès que l'on entre dans la forêt et que l'on se retrouve sur les chemins forestiers. Nous longeons la voie ferrée toujours sur les chemins forestiers puis nous retournons sur la droite où se trouve un ravitaillement en eau, que je n'ai pas trouvé très utile vu le temps.

C'est un temps qui me convient parfaitement, même si sans vent, cela aurait été encore mieux. Mais on ne peut pas tout avoir.

La suite de la course se poursuit sur chemins forestiers puis nous nous retrouvons sur les routes qui nous ramènent à Neufmoutiers. Dès que je me retrouve sur la route, j'ai réussi à accrocher des foulées de concurrents qui me conviennent bien et je suis capable de sprinter à la vue de la ligne d'arrivée.

Je suis au final 65ème/161 en 43'51''.

Course vraiment sympathique.

Bilan du mois d'août 2006


Nombre de kilomètres : 218,9

Nombre de jours : 16

Nombre de courses : 1

Nombre de podiums : 0

La Marinade à Sainte-Marie-la-Mer (66)

Lundi 14 août 2006


Nous sommes en vacances au mois d'août à Canet-en-Roussillon, près de Perpignan, dans les Pyrénées Orientales. J'ai vu qu'à Sainte-Marie-la-Mer, ville qui se trouve à quelques kilomètres de Canet, une course à pied était organisée pour la fête estivale de la ville. J'ai donc décidé de m'y inscrire. Le départ de la course se fait à 19 heures. Dans l'après-midi, je suis allé m'inscrire à la course nommée "La Marinade" où je porterais le dossard 151, puis j'ai profité de la plage. A ma surprise lorsque je suis allé à l'échauffement, un grand nombre de participants était présent sur la ligne de départ. Je ne pensais pas qu'il y aurait autant de monde en pleine période de vacances d'été. Je reconnais quelques maillots de clubs de Seine-et-Marne.


Le départ s'effectue sur la promenade en bord de mer par une petite boucle de moins d'1 km qui nous refait ensuite passer par la ligne de départ en sens inverse. Un très grand nombre de spectateurs nous encourage. Ça nous donne des ailes et nous fait oublier le vent de côté. Après cette longue promenade sur le bord de mer, nous bifurquons sur la droite sur du sable dur direction le port. Juste avant le port nous tournons à nouveau sur la droite et nous empruntons des chemins de sable, de terre, même bitumés, mais en pleine campagne. Vers le km 5, le parcours est en double sens et nous apercevons les premiers qui vont nous croiser après avoir fait une boucle d'un kilomètre. Je me sens pas mal du tout. Le vent qui était assez fort au bord de mer, n'est plus ressenti à cet endroit du parcours.


Nous faisons demi-tour et nous quittons la campagne pour gagner les petites rues de Sainte-Marie. Au km 7, je commence à ressentir la fatigue, mais j'arrive à conserver un rythme qui me plaît bien. Nous nous retrouvons à nouveau sur la promenade du bord de mer avec cette longue ligne droite et ce vent. J'accélère très sensiblement et je remonte plusieurs concurrents avant de franchir la ligne d'arrivée au sprint en finissant 140ème/575 en 42'51''.


Je suis bien content car j'explose mon meilleur temps sur un parcours qui mesure 100 mètres de plus qu'un 10 km traditionnel. Je rejoins ma femme et mon fils pour regarder et encourager les autres coureurs.