Samedi 14 juillet 2018
Qui dit 14 juillet, dit Fête Nationale mais aussi Foulées Dammartinoises dans le très joli village de Dammartin-sur-Tigeaux en Seine-et-Marne. Une commune loin d'être toute plate. Ce n'est pas ma première participation à cette belle et difficile course. En 2010 et 2011, je me suis aligné sur le 10 kilomètres, puis en 2013, 2014 et 2015, je m'étais limité au 5 kilomètres. Après deux ans d'absence, j'y retourne avec en point de mire la course la plus longue. Mais vu la difficulté et aussi le travail à l'entraînement où j'essaye de jongler entre le retard accumulé par ma blessure au dos et aussi avec les soins de ce dos, je n'ai pas d'objectif particulier hormis ceux de prendre du plaisir et de faire de mon mieux.
Merci à mon club de Pontault AAC pour l'inscription. D'ailleurs, nous serons plusieurs Paacwomen et Pacmen à défendre nos belles couleurs rouges. L'occasion aussi de retrouver de nombreux amis d'autres clubs, et également l'inégalable speaker de la course, j'ai nommé Pascal Pioppi ! Il s'agit de la 22ème édition de cet événement organisé par le service animations de Dammartin-sur-Tigeaux. Au programme, il y en a pour tout le monde :
- 9h00 : 5 kilomètres.
- 10h00 : 10 kilomètres.
- 11h15 : 1,5 kilomètre.
- 11h30 : 400 et 800 mètres.
Lorsque j'arrive dans la commune de
Dammartin-sur-Tigeaux, je trouve qu'il fait déjà bien chaud. Le pire, c'est que la température ne va pas s'arrêter d'augmenter. Un très
grand parking nous est réservé sur le second terrain de football.
Deux bénévoles nous dirigent afin de ne pas nous stationner
n'importe comment. Je me rends ensuite dans l'enceinte de l'école
primaire de la commune où le ''village'' de la course y est dressé.
J'y retrouve Thierry, mon ancien Président de club lorsque j'étais
à Marne-et-Gondoire Athlétisme. Je vais porter le dossard numéro 113. Petit bonjour à
notre Pascal Pioppi national.
Retour vers ma voiture pour me
préparer. Les autres coureurs de mon club du PAAC sont également
arrivés. Nous sommes trois femmes (Myriam, Marie-Lise et Edwige) et
trois hommes (Bruno, Mick et moi) à défendre nos couleurs rouges.
Il y a aussi, en plus de Thierry, les copains de MEGA avec Nicolas et
Jojo, sans oublier notre joli couple Ketsia-Fred. Une fois à peu
près prêt, je débute mon échauffement en retournant vers l'école
car j'ai oublié de retirer notre tee-shirt cadeau au stand. J'en
profite pour faire un petit passage WC. Je me dirige ensuite vers la
première ligne droite de la course pour encourager mon ancienne
coach, Christine, qui participe au 5 kilomètres.
Puis, je reprends
mon échauffement avec Mick et Nicolas, qui va revenir dans notre
club dès le mois de septembre. 2,3 kilomètres avec un peu de
montée, me montrent que … je suis déjà fatigué et que surtout
les jambes sont très lourdes suite à mes sorties longues de la
semaine.
Il va être l'heure de prendre le
départ, alors direction le Château d'eau qui se trouve à
l'extérieur de la commune, sur la Rue Saint-Gobert. On profite de
l'ombre offerte par ce Château d'eau afin de ne pas attendre en
plein soleil. La température a encore bien augmenté. Le sifflet
nous fait nous approcher de l'arche de départ, mais nous devons
créer rapidement un espace pour laisser passer une marcheuse
nordique, qui a droit à une véritable ovation. Sympa pour elle.
Puis, le passage disparaît immédiatement. Tous les coureurs sont
aux ordres du starter. Le pistolet avec le canon dirigé vers le
ciel, paaaaaaaaaaaaaaaaaaan. C'est parti avec un début de course
facile. En effet, nous sommes sur la Rue Saint-Gobert, qui est un
très long-faux plat descendant. Lorsque nous arrivons au niveau des
premières maisons, j'aperçois Jacky (coach à MEGA), qui nous
encourage. Ensuite, nous bifurquons légèrement sur la gauche Grande
Rue où ça continue de descendre mais beaucoup plus légèrement. Je
tourne sur ma gauche Avenue de la Gare. Ça commence déjà à
monter. Je crois que j'aimais bien la partie précédente qui
descendait ! Mais ce n'est rien, car on prend une nouvelle fois
à gauche où ça monte encore plus fort. Mais je grimpe sans forcer
et lorsque je tourne à droite Rue du Parc, j'ai de l'ombre et du
plat. Ça ne dure qu'une cinquantaine de mètres, puisque nous
reprenons un virage relativement serré sur la droite pour descendre
l'Avenue de la Gare. Je finis par croiser ceux qui sont derrière
moi, et qui viennent de quitter la Grande Rue. C'est à cet endroit
là, que l'Avenue de la Gare devient la Route de Tigeaux toujours
descendante. Le piège à éviter est de se laisser aller en partant
trop vite. Je vais certes plus vite que sur le plat, mais je déroule.
Nous sommes à travers champs. Virage à droite Rue Jacob. Place à
la partie plate de la course. Un coureur vêtu de rouge m'a passé,
puis a creusé un petit écart mais que je stabilise ensuite. Alors
qu'on retrouve les maisons, je tourne à gauche Grande Rue où
Christine y est placée et m'encourage. Je passe d'ailleurs devant sa
maison qui se trouve sur la gauche, étant régionale de l'étape.
Nous retrouvons la Route de Tigeaux, un peu plus loin que tout à
l'heure, en tournant à droite en retrouvant à nouveau les
champs. Je me rapproche du coureur en rouge. Puis, encore un
changement de direction en prenant à droite Rue de Vendée. Pascal,
un copain du club de Val d'Europe Athlé, ne court pas aujourd'hui
mais nous encourage tout en faisant des photos.
Je suis revenu sur le
coureur en rouge et l'ai doublé. Me revoilà une énième fois dans
les rues bordées d'habitations avec un premier ravitaillement en
tournant sur la droite. Une bénévole tend deux gobelets, mais le
coureur devant moi les prend. Je me retrouve un peu con mais tant
pis. Nous sommes dans la Rue Jean de Bannot qui a tendance à bien
serpenter. La seconde féminine est revenue à ma hauteur. Je peux la
suivre un peu mais pas trop, ça va trop vite pour moi. En ce qui
concerne la première, il s'agit de l'inévitable Ketsia qui a déjà
une avance bien confortable sur sa poursuivante qui vient juste de me
doubler. Ça grimpe un peu, puis un peu de plat et d'ombre quand je
tourne à droite Rue des Carreaux. La chaussée n'est pas dans un
état remarquable, loin de là. Nous débouchons Grande Rue, où nous
tournons à gauche. Je croise ceux qui sont derrière moi et qui ont
environ un kilomètre de retard sur moi. Je reste peu de temps sur
cette Grande Rue, car, après un petit faux-plat montant, nous
tournons encore à gauche Rue du Pont de Coude. Du plat avant une
descente quand nous quittons encore les habitations. La chaussée est
coupée en deux puisqu'on va devoir faire un virage à 180 degrés pour
revenir sur nos pas. Je croise les copains Bruno, Fred, Arnaud, Jérôme,
Thierry, Nico, … On s'encourage mutuellement. A mon tour d'arriver
à ce fameux virage à 180 degrés. La relance n'est pas aisée. Je
croise aussitôt Mick qui est juste derrière moi. Puis, un peu plus
loin, je croise les trois filles de mon club avec Myriam devant
Marie-Lise et quelques mètres plus loin Edwige. Beau tir groupé !
Merci aux autres encouragements ! Mick est revenu à ma hauteur,
mais n'essaye pas de me lâcher. Au contraire. Il m'attend. Nous
tournons à gauche Rue du Marois. C'est encore un long faux-plat
montant. Que le parcours est usant !
Le coureur en rouge est
repassé devant moi. Plus je me rapproche du sommet, plus je perds
des mètres sur Mick. La rue tourne d'elle-même sur la droite avec
enfin du plat. Un peu plus loin, Mick s'arrête pour relacer ses
chaussures et surtout pour m'attendre. Mais, me voilà maintenant
dans la partie la plus difficile du parcours avec la grimpette la
plus raide de la Grande Rue. Des spectateurs nous encouragent en nous
disant que le ravitaillement n'est plus bien loin. Mais moi je veux
de la descente. Je monte petit à petit. Une fois à l'angle avec la
Rue Saint-Gobert, ça redevient plat. Nous continuons tout droit pour
faire un tour de la petite place, où je prends un gobelet sur ce
second ravitaillement, afin de revenir sur le prolongement de la
Grande Rue pour entamer le second tour. Je vais moins vite que lors de la première boucle. En fait, je suis cuit. Pourtant, nous sommes en
faux-plat descendant. Mick se retourne sans cesse pour m'attendre. Je
sens quelqu'un me taper dans le dos et m'encourager. C'est
Jean-Michel, un copain que je n'ai pas vu depuis bien longtemps. Un
plaisir de le revoir. Il me double et me lâche. Virage à gauche
Avenue de la Gare où ça remonte, et encore plus en tournant une
seconde fois sur la gauche. Là, je monte au ralenti. J'entends Mick
m'encourager alors qu'il a déjà tourné sur la droite. Je ne le
vois plus. Mais, une fois en haut, je tourne à mon tour sur la droite Rue du Parc et j'aperçois Mick pratiquement au ralenti pour
m'attendre. Nous descendons ensemble l'Avenue de la Gare et nous
croisons Marie-Lise qui se trouve dans la montée en direction de la
Rue du Parc. Un peu plus loin, nous encourageons Edwige qui se trouve
dans la descente de la Grande Rue. Nous retrouvons les champs sur la
Route de Tigeaux. Je déroule pour essayer de récupérer un peu. Au
km 6, nous tournons à droite pour la partie plate du circuit. Nous
sommes sur la Rue Jacob. Je vois que Mick est vraiment facile, ce qui
n'est pas du tout mon cas. Je lui dis de ne plus m'attendre, ça ne
va pas changer grand chose, même si moralement sa présence me
faisait du bien. Je le laisse donc partir. Il rattrape rapidement le
coureur en rouge. Virage à gauche Grande Rue, puis quelques
centaines de mètres plus loin à droite pour reprendre la Route de
Tigeaux. J'ai tendance à encore revenir sur le coureur en rouge.
Dans le virage à droite de la Rue de Vendée, je retrouve Pascal,
toujours en train de nous photographier et nous encourager.
Et au même
endroit que lors du premier tour, je repasse le coureur en rouge. En
tournant à gauche Rue Jean de Bannot, j'attrape un nouveau gobelet à
ce troisième ravito. Ensuite, je fais ce que je peux. J'ai beaucoup
trop chaud et les jambes beaucoup trop lourdes. Quand je débouche
sur la Grande Rue, j'entends les encouragements de Stéphane, puis
virage à gauche pour la rue coupée en deux. Je croise Mick qui a
pris pas mal d'avance sur moi, puis quand je gère mon virage à 180 degrés,
je commence à croiser les coureurs derrière moi. Un peu plus loin,
je croise Marie-Lise. Je pensais voir Myriam devant. Ça remonte et
maintenant je croise Edwige. Pas de Myriam ! Il y a un problème
c'est certain ! Je tourne sur la partie montante de la Rue du
Marois qui se trouvait sur ma gauche. En haut, ça tourne tout seul
sur la droite et c'est plat. Bruno, qui a terminé sa course, revient
sur ses pas pour retrouver sa chérie, Myriam. En arrivant à ma
hauteur, je lui dis que je ne l'ai pas vue sur ce second tour, ce qui
n'est pas normal. Je finis par déboucher sur la partie raide de la
Grande Rue. Je la monte au ralentis sans la moindre énergie. Le
coureur en rouge me redouble une nouvelle fois. En haut, Christine
nous pousse avec ses encouragements. Maintenant, il ne reste plus que
du plat sur la dernière ligne droite. Nous prenons la petite place
où j'attrape un gobelet même si j'ai quasiment terminé. Mais j'ai
tellement chaud ! Au lieu de faire le tour, on continue tout
droit par un petit chemin piéton bitumé qui longe l'école primaire
puis le joli parc vert de la commune. L'arche d'arrivée est placée
tout au bout. Je me retourne puis je termine tranquillement 56ème/172
en 45'52''.
Chrono catastrophique mais je ne
pouvais vraiment pas faire mieux aujourd'hui. Les jambes étaient aussi
lourdes que la température. Pascal, notre speaker favori, annonce
dans son micro que je viens de boucler ma 7453ème course ! Ce
n'est que ma 569ème de ma petite carrière de coureur-passionné !
Toujours en train d'exagérer le Pascal. Je retrouve tout le monde au
ravitaillement final. J'apprends que Myriam s'est arrêtée pour
vomir pendant la course mais personne n'a d'autres nouvelles. Une
course qui aura bien marqué les organismes. Dans la montée finale
de la course, un coureur qui était devant moi, avait été mis un
PLS en attendant les secours. Un autre coureur se trouve maintenant
dans le camion des secouristes en attendant l'arrivée des pompiers.
Dur, dur ! Bien plus tard, j'aperçois au bout, Myriam arriver
sur le début de la dernière ligne droite avec Bruno à ses côtés.
Elle va terminer comme elle le peut. Un grand bravo. Elle a su
montrer combien elle était forte dans la tête malgré ce très gros
coup de chaleur.
Je retourne à la voiture pour me
sécher et j'ai un sentiment étrange quand j'aperçois des gendarmes
sur le terrain de football où nous sommes stationnés. En fait, des
BATARDS (oui oui batards) ont profité de la course pour casser des
voitures et voler portables, argents, papiers, … Une petite dizaine
de voitures a été touchée. Pas la mienne ouf. La bénévole qui se
trouvait sur ce parking est toute désolée car elle n'a rien vu.
Mais ce n'est pas de sa faute si des pauvres connards, délaissés
par leurs parents (même si je ne sais pas s'ils sont mineurs, mais
expérience professionnelle oblige …) ont eu l'excellente idée
(bien que je ne suis pas certain qu'il soit possible d'avoir
tellement d'idées avec si peu de neurones) de s'attaquer à des
voitures isolées. Mais vu ce qu'ils risquent s'ils se font
chopper... Un petit rappel à la loi ? C'est pas bien, faut pas
recommencer … pour la vingtième fois. Enfin bref, ça me gave même
si je ne suis pas victime ce coup-ci. Je vois surtout les pauvres
coureurs qui retrouvent leur véhicule dans cet état, complètement
dépités.
Une fois changé, je retourne avec
Bruno, Myriam et Mick à l'école pour jeter un coup d’œil sur les
résultats déjà affichés.
Classement du 5 km :
6ème/63 en 18'43'' José ''Charly'' DE
FREITAS (Les Furets d'Eiffage) –1er Master 2.
13ème/63 en 21'28'' Christine WORTHAM
(MEGA) –1ère Master 2.
25ème/63 en 25'26'' Jacques STAUB (non
licencié) –2ème Master 3.
56ème/63 en 37'45'' Stéphanie
LEBLACHER (non licencié).
57ème/63 en 37'46'' Eric LEBLACHER (UA
Villenoy).
Classement du 10 km :
3ème/172 en 35'13'' Bruno PHILIPONA
(PAAC) –1er Master 2.
5ème/172 en 35'28'' Eric LEBLACHER (UA
Villenoy) –1er Master 1.
8ème/172 en 35'51'' Frédéric VIOLARD
(UA Villenoy) –3ème Master 1.
9ème/172 en 35'55'' Arnaud COISNON
(MEGA).
12ème/172 en 37'14'' Jérôme NOIZIER
(Sud Aisne Athlé).
13ème/172 en 37'31'' Thierry
PAPPALARDO (MEGA) –2ème Master 2.
15ème/172 en 37'49'' Nicolas PAINEAU
(MEGA) –3ème Master 2.
27ème/172 en 39'27'' Abdel SLIMANI (CA Plessis 94).
27ème/172 en 39'27'' Abdel SLIMANI (CA Plessis 94).
28ème/172 en 39'31'' Nicolas JAECK
(Val d'Europe Athlétisme).
32ème/172 en 39'53'' Joël PREVOST
(MEGA).
33ème/172 en 40'32'' Ketsia JACQUET
(ACP Meaux) –1ère Senior.
45ème/172 en 44'20'' Jean-Michel PEINE
(non licencié).
49ème/172 en 44'45'' Mickael GUILLOT
(PAAC).
56ème/172 en 45'52'' Jeff BACQUET
(PAAC).
65ème/172 en 46'38'' Marie-Lise WATTEL
(PAAC) –1ère Master 2.
68ème/172 en 47'19'' Thierry BOCHATON
(US Roissy-en-Brie).
77ème/172 en 49'00'' Edwige
BERGAMASCHI (PAAC) –2ème Master 2.
133ème/172 en 58'19'' Stéphane
SCHENKER (non licencié).
147ème/172 en 1h02'06'' Myriam JACOBS
(PAAC).
Puis c'est le moment des récompenses
du 10 kilomètres. Celles du 5 ayant été faites pendant notre
course.
Podium scratch femmes : 1er Ketsia
JACQUET (ACPM), 2ème Nathalie LAPPRAND (GANG), 3ème Marie-Lise
WATTEL (PAAC).
Podium scratch hommes : El Garaa
YASSINE (non licencié), 2ème Mohamed IBN ELHAG (ACPM), 3ème Bruno
PHILIPONA (PAAC).
Podium senior femmes : 1ère
Ketsia JACQUET (ACPM), 2ème Marine DAUTIN (non licenciée), 3ème
Estelle MALHERBE (Coulommiers Brie Athlé).
Podium master 1 hommes : 1er Eric
LEBLACHER (UA Villenoy), Adil ABACHAD (Pass Running FFA), 3ème
Frédéric VIOLARD (UA Villenoy).
Podium master 2 hommes : 1er Bruno
PHILIPONA (PAAC), Thierry PAPPALARDO (MEGA), 3ème Nicolas PAINEAU
(MEGA).
Podium master 2 femmes : 1ère
Marie-Lise WATTEL (PAAC), 2ème Edwige BERGAMASCHI (PAAC), 3ème
Corinne GERNATH (Esbly-Coupvray).
Podium équipe femmes : 1ère PAAC.
Podium équipe hommes : 1er MEGA.
C'est maintenant l'heure de quitter
Dammartin-sur-Tigeaux. Un grand merci à Thierry qui m'a invité à
passer boire un verre chez lui car ils organisent avec le club de
MEGA, le repas annuel traditionnel. La Garden Party du Président en
ce 14 Juillet ! Prochaine course la semaine prochaine lors du
Trail du Val de Marne. Une course en sous-bois, ce qui pourrait être
pas mal si la chaleur est encore présente. Mais d'ici là, un gros
rendez-vous attend la France sportive avec demain à 17 heures la
Finale de la Coupe du Monde de Football entre la France et la
Croatie !
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