Trail du Soldat de la Marne (77)

Dimanche 13 octobre 2019


Nous voilà sur la troisième édition du Trail du Soldat de la Marne organisée au Pays de Meaux par l'excellent Eric Leblacher et son équipe de bénévoles surmotivés. Ce Trail est né en 2017 suite à la disparition du semi-marathon de Meaux. Pour le moment je n'ai loupé aucune de ses éditions. En 2017, j'ai fait le 25 km (87ème/779 en 2h05'38'') et en 2018 le 10 km (32ème/653 en 41'44''). Il nous fait traverser la jolie campagne meldoise loin d'être plate sur des chemins bucoliques. Je ne devais pas y participer car je n'ai pas rechaussé mes running depuis mon abandon lors du Trail du Haut-Koenigsbourg le 1er septembre. Presque un mois et demi sans le moindre petit footing et la blessure encore un peu présente (merci à mon kiné qui a la patience de me remettre sur pied), je vais quand même franchir le pas suite à un message reçu d'Eric Leblacher. Comment lui dire non ! (rires). Un grand merci à lui de nous accueillir Julie et moi. Donc même si je termine loin derrière, je suis bien content de faire à nouveau parti d'un peloton de coureurs avec un dossard sur la poitrine (passion, quand tu nous tiens !).


Le contexte historique est également très fort :
Extrait de la page Facebook du ''Trail du Soldat de la Marne''
Le trail du soldat de la Marne passera sur des lieux de mémoire et des lieux de combat durant la bataille de la Marne. La carte d'état major de l'époque permet de le constater, vous passerez à hauteur du site dit de "la côte 107" (participants du 20km et 30km)

EXTRAIT DU LIVRE "DE ORAN à ARRAS" d'un officier du 1 R.C.A.
7 septembre (3 heures) :
La division, à laquelle on a rattaché la brigade marocaine, est engagée depuis le matin.
Le général D... forme notre droite avec ses thabors ; à cheval sur la route de Meaux à Villers-Cotterets, ils attaquent la cote 107 au sud-ouest de VARREDDES, le général T... est au centre, à CHAMBRY, avec ses zouaves ; enfin, à gauche, le général Q..., avec ses tirailleurs et ses zouzous, tient BARCY.
A notre extrême droite, du côté de VARREDDES, le régiment de chasseurs d'Afrique surveille la vallée de la Marne et nous relie à l'armée anglaise.
Derrière chaque brigade un groupe d'artillerie appuie l'action de l'infanterie, qui attaque face au nord-est. « De la bataille qui est engagée dépend le salut du pays », a dit Joffre.
Il faut vaincre ou mourir. Aussi toutes les volontés sont tendues, braquées vers ce but suprême, la victoire ! Il faut, coûte que coûte, garder le terrain conquis et se faire tuer sur place plutôt que de reculer !
Récit glaçant ...
© FB Trail Soldat de la Marne


Il ne faut certes pas oublier ce contexte dramatique mais le plaisir d'arpenter la campagne meldoise sera de mise pour les très nombreux concurrents attendus sur les différentes courses qui leur sont proposées. Le programme est très fourni et complet. Pour les 7 à 77 ans ? Non non, pour les bouts de chou (3 ans) jusqu'aux ... (no limit) ! Voici le programme :
samedi 12 octobre :
Complexe sportif Georges Tauziet - Meaux
13h30 LE CHALLENGE DES COLLÈGES - Gratuit
4 épreuves garçons et filles par niveau d’étude – Distance 1600 m
14h30 LE CHALLENGE DES ÉCOLES  - Gratuit
16 épreuves garçons et filles par niveau d’étude – Distance de 500 m à 1600 m
17h15 LE CHALLENGE DES LYCÉES  - Gratuit
4 épreuves garçons et filles par niveau d’étude – Distance 1600 m
dimanche 13 octobre :
8h45 LE TRAIL SOLDAT DE LA MARNE MARCHE 20KM - 10€
Départ à hauteur du Monument Notre Dame de la Marne de Barcy
nés en 2004 et avant - pas de certificat médical
9h15 LE TRAIL SOLDAT DE LA MARNE 30KM - 25€
Départ Monument Américain au pied du Musée de la Grande Guerre (route de Varreddes)
nés en 1999 et avant
9h30 LE TRAIL SOLDAT DE LA MARNE 20KM - 20€
Départ à hauteur du Monument Notre Dame de la Marne de Barcy
nés en 2001 et avant
10h00 LE TRAIL SOLDAT DE LA MARNE 5KM - 10€
Départ Monument Américain au pied du Musée de la Grande Guerre (route de Varreddes)
nés en 2005 et avant
11h00 LE TRAIL SOLDAT DE LA MARNE 10KM - 13€
Départ à hauteur du Monument Notre Dame de la Marne de Barcy
nés en 2003 et avant
11h05 LE TRAIL SOLDAT DE LA MARNE MARCHE 10KM - 7€
Départ à hauteur du Monument Notre Dame de la Marne de Barcy
né en 2007 et avant - pas de certificat médical
Arrivée de l’ensemble des épreuves sur l'Esplanade du Monument Américain du Musée de la Grande Guerre. Julie et moi nous nous alignons sur le trail de 20 km qui est annoncé à 21,4 km.


Ça va me permettre de revoir de nombreux amis coureurs de la région que j'ai pu apercevoir vite fait alors que j'étais sur le bord du parcours du 10 km Forestier à Roissy-en-Brie. C'est donc ma troisième participation ici-même alors que ma chérie va découvrir cette belle organisation.





Samedi je vais au Stade Tauziet à Meaux pour y récupérer mon dossard et encourager mon fils Lucas qui défend les couleurs rouges de son lycée Coubertin sur l'épreuve des secondes et terminales, longue de 1600 mètres. Pas très facile de stationner dans ce coin de Meaux, mais pas étonnant vu le nombre impressionnant de personnes se trouvant dans l'enceinte sportive. Je commence par récupérer nos deux dossards (2093 pour moi et 2094 pour Julie). On nous offre un sac en toile de jute (ce qui est mieux que le traditionnel tee-shirt dont je ne sais plus quoi faire !), ainsi qu'une bière blanche brassée localement.


Je retrouve ensuite mon fils entouré de ses nombreux coéquipiers. Le lycée Coubertin est très certainement le plus représenté de tous. En attendant que sa course débute, je vais remercier Eric Leblacher, l'organisateur, pour sa gentille invitation avant de rejoindre mon ami David qui aujourd'hui est bénévole sur la course des enfants. Demain, il fera office de serre-file sur le 20 kilomètres. J'espère qu'il ne sera pas à mes côtés sinon ce sera synonyme de grosse galère pour moi. Même si c'est quand même un peu prévu !




C'est maintenant l'heure du départ de la course de Lucas. Deux tours et demi puis une partie ''nature'' la composent. Je me trouve au niveau de l'arche qui est située 200 mètres après la ligne de départ. Lorsque Lucas arrive à ma hauteur, il se trouve dans un petit peloton non loin des premiers et surtout avec une belle foulée. Mais dans le virage suivant ça coince un peu et il commence à se retourner. Quand il se met à faire ça ce n'est jamais très bon. Au deuxième passage près de moi, il est vraiment dans la difficulté mais un tour plus tard, juste avant de sortir de la piste pour la partie ''nature'', il a repris du poil de la bête sous le regard de sa copine. C'est dans la zone herbeuse qu'il accélère vivement. Sa course se terminera au sprint. Pas de classement sauf les 8 premiers, ce qui n'est pas son cas. Il se voit remettre une jolie médaille souvenir.





Voilà pour cette journée du samedi qui s'est très bien déroulée. Place donc au dimanche et là … je ne veux pas spoiler mais… ce ne sera pas pareil du tout !

En ce dimanche matin, nous quittons Pontault-Combault pour arriver non loin du Monument Américain à Meaux une bonne demi-heure plus tard. Nous pouvons nous stationner le long de la D405A qui est réservée aux participants des différentes courses. Comme j'ai récupéré nos dossards la veille, pas besoin de faire la queue, nous prenons la direction d'une des navettes qui va nous amener jusqu'à Barcy, lieu de départ de notre course. Un petit tour aux toilettes avant, et hop nous serons tranquilles pour le reste de la matinée.


Nous faisons le court voyage en bus en compagnie de Yonnel qui sera un des représentants de notre club du Pontault AAC sur ce 20 km. Une fois sur place nous trouvons le confort d'un départ en plein milieu des champs. Mais quand je parle de ''confort'' ce n'est pas pour me moquer. C'est la réalité : barnum pour s'abriter au cas où il se mettrait à pleuvoir (le ciel est tout bleu), et surtout stand ''p'tit déj » avec de quoi manger ainsi que du café… J'y retrouve quelques amis notamment David le serre-fil du jour. Je pars faire mon échauffement avec Julie mais quelques dizaines de mètres plus tard je dois m'arrêter. La douleur dans la jambe est trop vive pour continuer à trottiner. Je préfère donc marcher en espérant que ça passe un peu pour la course qui est légèrement décalée car les navettes continuent à arriver. Nous sommes à côté d'une place avec un monument aux morts où y est inscrit : ''TU N'IRAS PAS PLUS LOIN''. Super si ça m'est destiné !






C'est maintenant le moment de prendre place derrière l'arche de départ. Dans un premier temps je me place tout au fond avec David pendant que Julie se dirige vers le milieu du peloton. Mais je finis par me dire que si je suis avec David lors de la course et qu'à un moment je ne peux plus bouger, je n'aurais donc aucune avance sur lui pour espérer ne pas terminer dernier. Je me rapproche alors de ma chérie. Ce sont des ''poilus'' qui donnent le départ. Il me faut du temps pour commencer à trottiner car nous sommes très loin des premières positions. 





Je suis en compagnie de Julie, Yonnel et son fils. Nous sommes sur un chemin qui traverse les champs. Virage à gauche sur une partie plus herbeuse. La douleur est très vive. Ma mission : serrer les dents. Que ça va être long ! Je trouve qu'on se traîne vraiment alors je prends mon propre tempo qui n'est pas plus important que 12 km/h (je suis à fond). Nous tournons une nouvelle fois sur la gauche pour prendre la D97. C'est plus facile pour moi quand le sol est plat et surtout bitumé. Nous tournons une fois de plus à gauche pour ''fermer'' le triangle et repasser sous l'arche de départ. Plus loin, nous reprenons encore à gauche comme tout à l'heure mais lorsque nous arrivons sur la D97, nous la prenons sur notre droite cette fois-ci, peu de temps avant de retrouver du chemin de terre à gauche. Je remonte pas mal de coureurs même si je n'avance pas et que j'ai très mal. Nous contournons une grande zone militaire que nous laissons sur notre droite. Je rattrape Jean-Jacques de notre club. Nous échangeons quelques mots. Je poursuis ensuite avant de retrouver une fois de plus la D97 que nous traversons pour prendre un autre chemin de terre, plus large, qui longe la voie de chemin de fer. Une côte me fait nettement ralentir même si je reviens sur un collègue de travail. On échange quelques instants et lorsque ça ne monte plus je reprends mon tempo. Mais que c'est dur ! Nous prenons une sorte de grosse virgule sur la droite qui nous amène ensuite vers notre gauche où le chemin est légèrement descendant. Je croise les coureurs du 30 km dont l'inégalable Luca Papi. Un champion de chez champion ! Après le km 7, nous trouvons un peu de bitume en entrant dans Chambry. Nous n'y restons uniquement que le temps de traverser la D140, puisqu'on poursuit tout droit avec une montée dans les champs. Je me rapproche petit à petit de la joëlette partie quelques minutes avant nous. Plus loin, virage à gauche où le chemin est large mais défoncé avec de nombreuses flaques d'eau ou de boue. Je finis par doubler la joëlette et ses tireurs-pousseurs. Juste après il faut négocier une énorme flaque d'eau et une côte courte mais bien raide. Une fois en haut, virage à gauche pour un faux plat long de pratiquement deux kilomètres. C'est usant surtout quand moralement on ne pense qu'à la douleur. C'est seulement lorsqu'on arrive non loin des voies de chemin de fer que le plat revient. Peu après le km 10 je croise Damien, un copain du club de l'ACPM. Il est bénévole aujourd'hui alors qu'en temps normal il est excellent traileur. Virage à droite pour une petite descente en single dans les sous-bois. Une prise de tête a lieu devant moi entre un coureur et un marcheur. Je les calme rapidement mais il est vrai que cette année quelques marcheurs se sont montrés assez ''égoïstes'' en marchant de front et en ne laissant que très peu de place voire pas du tout, aux coureurs. C'est loin d'être la majorité mais il y en a. Le single remonte un peu juste avant de chopper une bosse raide et hyper boueuse où je dois me résoudre à marcher. Pas à cause de la douleur mais d'un manque total d'adhérence. J'ai des chaussures de route et aucune accroche. Un coureur me propose en rigolant de me pousser. Mais je risque de l'envoyer vers le bas dans ma chute. Je finis tout de même par arriver en haut où nous tournons à droite sur une zone ''cross'' avec des petites bosses qui rappellent les courses de fin et de début d'année avec les pointes. Puis nous tournons sur la droite pour revenir vers le pied de la bosse que j'avais du gravir en marchant. Au lieu de continuer tout droit vers les coureurs qui sont devant moi (mais derrière au classement), je tourne (comme je peux car en glissade complète) sur ma gauche pour entamer une longue descente en sous-bois sur ce single.


Et le ''drame'' s'est déroulé au km 11,5. Un coureur qui s'était arrêté pour une pause pipi est reparti comme un fou et m'a doublé sans prendre la moindre précaution. Au moment où j'allais poser le pied, il est venu me le faucher. Je me suis retrouvé lourdement au sol, m'ouvrant légèrement le coude droit et le bas de la jambe gauche. Il s'est quand même arrêté pour m'aider à me relever en me disant : ''Tu n'aurais pas du changer de trajectoire '' (BLAGUE !). Il s'est fait engueuler par le coureur qui était derrière moi et qui a vu que la faute lui incombait totalement. Mais je ne lui en veux pas et je lui dis de poursuivre son chemin. Une coureuse vient aux nouvelles et je reprends mon chemin … au ralenti. Je me rends compte que mon short en a pris un coup aussi. Jusqu'à présent j'avais réussi à rester concentré en serrant les dents pour faire relativement abstraction de la douleur mais maintenant c'est fini, j'en suis incapable. Heureusement que je suis encore dans la descente pour me relancer un peu. Une fois en bas, je quitte les sous-bois en poursuivant tout droit. Encore une gêne avec quelques marcheurs puis non loin de Varreddes, je négocie un double virage sur ma droite pour longer le canal. Même si le chemin est jonché d'ornière, il reste plat mais il me paraît interminable. Dès que je pose le pied gauche, je n'en peux plus. Mais je continue à serrer les dents pour ne pas marcher. Km 13 franchi et 400 mètres plus loin, j'arrive au premier ravitaillement de la course où j'attrape au vol un gobelet d'eau et quelques carrés de chocolat. Ce n'est pas que j'en ai besoin mais ça me réconforte. Passage au-dessus d'un petit pont avant de tourner à droite pour m'engouffrer dans la forêt mais surtout de débuter une raide et étroite grimpette. Il s'agit du km 13,6 et il est synonyme pour moi de FIN. J'arrête de courir, j'ai trop mal. Je monte tout en marchant (pas bien vite en plus). Il y a même des planches qui servent de marches et une corde pour nous aider à grimper. Une fois en haut, je marche plus vite et j'essaye de recourir un peu mais c'est un véritable enfer psychologique pour moi. 400 mètres de marche, 600 de course, … Je m'astreins à ce schéma du km 14,5 au 18. Après, j'aperçois le ravitaillement et comme le sol est plus régulier j'arrive à courir plus longtemps mais vraiment pas vite. J'arrive à ce fameux ravitaillement où j'attrape une compote sans m'arrêter. 





Je traverse ensuite la D405 pour arriver sur la montée du champs en direction de Crégy-les-Meaux. Une coureuse me demande si l'arrivée est encore loin. Je crois que non mais pour de vrai si. Je ne peux plus courir. Julie me rattrape dans cette côte. Ça fait du bien de voir sa chérie. J'essaye de rester dans sa foulée. J'y arrive avec énormément de difficulté. Un autre ravitaillement est déjà là, juste à l'entrée de Crégy-les-Meaux mais je m'en désintéresse totalement. Julie fait une petite pause, ce qui me permet de prendre une vingtaine de mètres d'avance, qu'elle va très rapidement combler dans la descente qui a suivi le virage serré à gauche après ce ravito. Le sol est couvert de grosses pierres. Même si ça descend, c'est trop pour moi. Je mets le clignotant et je marche. Je souhaite une bonne fin de course à ma chérie. Les premiers du 10 km me doublent avec Eric à bord de son VTT qui m'encourage et ouvre la voie. Nous longeons ensuite la D405. J'en suis déjà au km 21, avant de bifurquer sur la droite pour longer l'arrière des jardins des riverains. Même si c'est plat je ne peux pas recourir. Yonnel me double à son tour. Plus loin, virage à droite pour une descente pentue où je cours mais c'est de courte durée car on regrimpe aussitôt sur notre gauche rue Auguste Damoreau pendant quelques dizaines de mètres. Je finis par me remettre à marcher jusqu'à la descente suivante encore à droite qui nous conduit jusqu'au canal. Virage à gauche sur une partie herbeuse avant une vraie bosse où je traîne ma peine pour la franchir en marchant sous les encouragements de Christophe, un autre coureur de mon club du PAAC. Je finis par me retrouver sur la longue montée de la route de Varreddes où je suis doublé par Malicia qui est sur le 10 km. Je tente de me remettre à courir mais c'est de courte durée. C'est seulement quand je vois que la joëlette est juste derrière moi que j'arrive à me faire violence et grimper entièrement cette route. Une fois au sommet, je traverse la départementale pour prendre la direction du Monument Américain. Je finis par franchir la ligne d'arrivée 299ème/479 en 2h34'06''. 23,2 km à ma Tomtom. On met la jolie médaille souvenir autour de mon cou. Je ne m'arrête pas. Je vais m'écrouler au pied du fameux monument. Je suis allé bien plus qu'au delà de la douleur. J'ai autant mal dans la tête que physiquement. Galère ! Mais merci Eric pour ta magnifique course.





Julie va me chercher de quoi me restaurer. Je mets du temps pour récupérer avant d'aller marcher un peu vers le ravitaillement final où je croise Malicia, Ketsia, Fred et quelques coureurs de mon club. Julie va relever les résultats pendant que je prends la direction de la voiture avec difficulté pour me changer. Les résultats donnent ceci :
Trail de 10 km :
5ème en 44'21'' Fred VIOLARD (ACPM) –2ème M1
55ème en 53'44'' Maxence BRAYER (CBA)
61ème en 54'02'' Malicia MAGLIOZZI (ACPM) –3ème M1F
669 arrivants.
Trail de 23 km :
4ème en 1h36'02'' Bruno PHILIPONA (PAAC) –1er M2
8ème en 1h40'42'' Cyrille SEVESTRE (UAV)
11ème en 1h42'27'' Ketsia JACQUET (ACPM) –1ère femme
30ème en 1h50'11'' Christophe RICHARDOT (PAAC)
90ème en 2h04'58'' Jean-Claude HAMON (PAAC) –2ème M3
248ème en 2h26'52'' Julie FROUCHT (PAAC)
277ème en 2h30'27'' Yonnel WARIN (PAAC)
299ème en 2h34'06'' Jeff BACQUET (PAAC)
361ème en 2h41'25'' Jean-Jacques DIAZ (PAAC) –2ème M4
367ème en 2h42'43'' Jordan WARIN (PAAC)
478ème en 3h44'23'' David GUEUDET (US Torcy)
479 arrivants
Trail de 30 km :
18ème en 2h36'16'' Luca PAPI (Team Luca Papi)
99ème en 3h04'13'' Patrick TROCELLIER (PAAC)
...
245 arrivants




Le réconfort après l'effort étant indispensable, surtout en cas de douleur persistante, nous allons terminer cette matinée sportive par un bon repas à l'Indiana Café de Val d'Europe !

1 commentaire:

David GUEUDET a dit…

Salut Jeff ! J'avais vu ton résultat sans connaître le déroulement de ta course et je comprends mieux.. Quel dommage cet incident de course alors que tu avais fait un début d'épreuve très honorable. Mais tu finis quand même 1h20 devant nous, tu avais bien de la marge. Soignes toi bien et reviens en pleine forme sur les chemins quand tu pourras courir sans douleur. A bientôt !