Ultra Forestier (77)

Samedi 15 juin 2025


Deux semaines après une longue course (Adidas Stockholm Marathon), une semaine après un trail court (Trail du Pays de l'Ourcq), place aujourd'hui à une distance très longue avec la seconde édition de l'Ultra Forestier, organisé par le très sympathique club de l'USRA (Roissy-en-Brie). Mais kézako ? Il suffit de reprendre les quelques mots de présentation sur le site officiel de l'organisation pour que tout soit clair : 
"L’Ultra Forestier, c’est une boucle balisée, plate et de 6,85 km à 90 % en forêt, à parcourir en moins d’une heure. Départ de l’épreuve le samedi 14 juin 2025 à 8h sur la piste du Stade Paul Bessuard à Roissy.
Chaque heure, un nouveau départ avec les coureurs qui ont terminé la boucle précédente dans les temps. 
L’épreuve s’arrête au bout de 15 heures, quelque soit le nombre de participants restants ! Ils seront considérés vainqueurs ex-aequo.
Outre le dépassement de soi, c’est aussi l’ambiance festive de l’événement que vous pourrez apprécier : barbecue, musique et bière devraient être au programme !"
L'an dernier, j'avais eu l'opportunité et la chance de participer à la première édition qui s'était déroulée sous une météo dantesque avec une pluie non stop et surtout un terrain engorgé d'eau suite aux intempéries qui n'avaient cessé durant des mois. Ma performance m'avait permis de boucler 8 tours, soit 54,8 km. L'objectif de cette année est de faire à minima la même marque, mais surtout de battre ce record.


Ce matin, direction donc le Stade Paul Bessuard à Roissy-en-Brie. Une demi-heure de route est nécessaire. Je trouve facilement de la place sur le parking. C'est avec mon sac de sport, ma chaise pliante de camping et ma glacière que je quitte la voiture avant de me diriger à l'entrée de l'enceinte sportive où je retire mon dossard, le numéro 100. Un petit déjeuner est proposé à tous les coureurs. Ce sera pain au chocolat et café pour moi ! Puis je m'installe dans un premier temps au pied de la tribune avec Mimi, une copine du club du Bussy Running. Je retrouve les copains de mon ancien club du PAAC avec notamment Soraya et Laurent, mais aussi d'autres, dont une partie de l'organisation de la course. Je finis par m'installer avec le PAAC sous leur tente directement sur la pelouse du stade où il y a moins de passage et c'est beaucoup plus pratique. Un tableau Velleda, comportant les prénoms des 213 coureurs inscrits, figure sous le long barnum du riche ravitaillement. La subtilité de ce tableau est que chaque concurrent arrêtant ''les frais'' devra lui-même effacer son prénom. La double peine : arrêter sa course et s'effacer soi-même ! L'ambiance monte très rapidement grâce notamment à la musique et l'entente cordiale entre tous. Nous approchons rapidement des 8 heures, du coup, nous nous dirigeons vers la ligne de départ tracée juste au niveau de notre ''campement'' ! Tout débute par un briefing rappelant les règles et ce qui nous attend. Pour le moment le soleil est plutôt caché, mais il fait déjà très lourd, le taux d'humiditié est très important.










08h00 - départ 1ère boucle

A 8 heures pile, la corne de brume retentit. Nous empruntons la piste d'athlétisme avant de la quitter et de descendre la pelouse en quittant le stade pour rejoindre l'allée qui longe l'enceinte sportive afin de rejoindre le centre équestre de Roissy-en-Brie qu'on contourne en tournant à gauche.



En effet, cette année le parcours est identique à celui de l'année passée mais en sens inverse. Nous tournons une vingtaine de mètres plus loin à droite pour nous engouffrer en sous-bois dans la Forêt Régionale de Ferrières. Le sol est couvert d'un sable fin mou. Mais comme nous courons plutôt lentement car la course va être très longue (enfin tout le monde l'espère), ça passe très bien. Au km 1, nous tournons à gauche sur la route du Beau Soleil pour une ligne droite de tout juste un kilomètre. Les 700 premiers mètres sont très roulants mais les derniers sont plus glissants (rien de bien méchant tout de même). Une fois au bout, juste à l'arrière d'une zone pavillonnaire de Roissy qu'on aperçoit à travers les feuillages, nous tournons à droite une première fois avant de tourner encore à droite 400 mètres plus loin pour rejoindre la plus longue ligne droite du parcours : le chemin Richou long de 1,6 km dont le début avec des ornières et de légères parties glissantes. La longue procession de coureurs progresse tranquillement en discutant dans la bonne humeur en plein cœur de la forêt. Lorsque nous arrivons à la barrière, pile au km 4, nous quittons cette belle allée pour tourner à droite sur un chemin en single. Mieux vaut rester à la queue leu leu pour éviter de se faire une cheville dans les hautes herbes. Nous sortons de ce single juste au moment où nous coupons la route Madame et en poursuivant tout droit sur la large allée de Roissy. Km 5, virage à gauche pour prendre un autre tronçon de la route du Beau Soleil (et dans l'autre sens) pendant 300 mètres avant de négocier un virage très serré sur la droite afin de rejoindre l'allée de Fontainebleau (à découvert) qui nous conduit 800 mètres plus loin au niveau du centre équestre. Il ne nous reste plus qu'à longer toute l'enceinte sportive par le même chemin qu'au départ de la boucle mais en sens inverse puis de négocier la légère butte permettant d'accéder à la piste d'athlétisme. Nous couvrons un peu moins des 3/4 de cette dernière avant de franchir l'arche d'arrivée synonyme de fin de première boucle. Passage au ravitaillement surtout pour me désaltérer car il fait très lourd et humide. Chaque coureur a un gobelet portant son numéro de dossard et rangé numériquement sur la longue table du ravitaillement.





A l'issue de la boucle 1 - 6,85 km - 197 partants - 197 ''survivants''

09h00 - départ 2ème boucle

Un peu avant le départ de cette seconde boucle, la pluie fait son apparition. A 9 heures, nous nous élançons. Je pars tranquillement avec Soraya et Laurent.



Le fait de parler durant l'intégralité de ce deuxième tour, fait que le temps est passé hyper vite. Pour le moment je me sens très bien. La pluie, qui était légère, a cessé. Elle a fait place au soleil qui a profité du retrait des nuages. Il va faire bien chaud aujourd'hui ! Je passe au ravitaillement pour boire et grignoter quelques abricots secs et carrés de chocolat noir.

A l'issue de la boucle 2 - 13,7 km - 197 partants - 195 ''survivants''

10h00 - départ 3ème boucle


Après mon troisième départ, je décide de courir seul. En effet, même si on court plutôt lentement, je pense qu'il est plus raisonnable (c'est mon point de vue) de le faire chacun par rapport à ses propres sensations. Alors je suis mon propre train-train tranquillement. Depuis le début de la course, on croise un couple assis sur des chaises de camping qui ne cesse de changer d'emplacement sur le parcours dans le but de tous nous encourager. C'est sympa d'entendre son prénom un peu partout dans la forêt. Du coup, des échanges commencent à se créer entre eux et les coureurs. Par contre, je confirme que le soleil, même si on est largement en sous-bois, commence à se faire grandement sentir. Et il n'est qu'à peine plus de 10 heures du matin ! Sympa de retrouver Frédérique puis un peu plus loin sur le parcours Kévin (tous deux des copains du PAAC qui ne courent pas aujourd'hui) nous encourageant.


Mine de rien, ça fait passer le temps de voir des têtes connues. J'en termine avec cette 3ème boucle. Puis j'effectue mon passage habituel au ravitaillement avant de rejoindre notre ''campement'' où comme à la fin de chaque boucle, je troque mon débardeur détrempé contre un tee-shirt afin de tenter de le faire un peu sécher au soleil avant le prochain départ. Julie est arrivée sur le site pour nous soutenir. Elle nous rejoint à la tente.


A l'issue de la boucle 3 - 20,55 km - 197 partants - 192 ''survivants''

11h00 - départ 4ème boucle

Quatrième départ ! Bah mine de rien, on commence légèrement à ressentir la fatigue poindre surtout au niveau des jambes. Le fait de s'arrêter de nombreuses minutes avant de repartir est certainement la principale cause. Par contre en quittant le stade, nous laissons derrière nous les bonnes odeurs des saucisses commençant à cuire sur le barbecue de l'USRA !










Vite, il faut rapidement faire la boucle pour les retrouver ! Comme lors du tour précédent, je le cours plus ou moins seul. Mais ça se passe vraiment nickel. J'adore ce format de course qui sort tellement de l'ordinaire. Je termine tranquillement ce 4ème tour sur la très belle piste d'athlétisme.





Finalement, je prends une petite salade au ravito, les saucisses seront à l'issue du tour suivant. Je retrouve mes collègues de boulot qui sont venus m'encourager. On a le temps de discuter avant que je reparte. Le ciel est vraiment bien bleu maintenant et le soleil chauffe quand même fort.



A l'issue de la boucle 4 - 27,4 km - 197 partants - 181 ''survivants''

12h00 - départ 5ème boucle

J'ai fait la moitié de la distance de l'an passé. Il est vrai que la fatigue est maintenant présente, mais rien d'insurmontable. J'ai encore de quoi faire quelques tours. L'objectif initial est toujours en vue et je serais vraiment déçu de ne pas l'atteindre. Peu après qu'on soit entrés en sous-bois, nous retrouvons comme lors de tous les tours précédents, nos ''amis'' avec leurs chaises de camping qui continuent à changer d'endroit pour nous encourager. A force, ils n'ont plus besoin de lire nos prénoms sur nos dossards pour nous encourager. On les entend nous prénommer alors que nous sommes encore à plus de 100 mètres d'eux ! C'est vraiment sympa de leur part. J'adore l'atmosphère qui règne sur cette course. Pas de prise de tête, pas de mauvaise foi, que du sport, du dépassement de soi et de la bonne ambiance.



Sur le parcours, ça nous arrive aussi de croiser des cavaliers montés sur leurs chevaux. Allez, place aux saucisses cuites au barbecue !

A l'issue de la boucle 5 - 34,25 km - 197 partants - 171 ''survivants''

13h00 - départ 6ème boucle

Alors c'était tentant ces petites saucisses appétissantes, mais je sens qu'en courant ça ne va pas forcément faire bon ménage. Dès les premiers mètres je sens que ça fait des ''bulles'' dans le ventre. Mais finalement ça passe vite et cette sixième boucle s'effectue comme toutes les autres, c'est-à-dire plutôt aisément. L'avantage de courir plutôt lentement, c'est qu'on a le temps d'être à l'écoute de son corps. Résultat : à part quelques tiraillements dans les articulations seulement juste après le départ, aucun signe de la moindre micro blessure. On a quand même beaucoup de chance que la météo soit totalement différente de l'année dernière, même si quelques degrés de moins n'auraient pas forcément fait de mal ! Nous croisons quelques promeneurs et même des joggeurs qui nous encouragent. Je rallie une fois de plus le Stade Paul Bessuard.







Je profite du jet d'eau tendu en direction des coureurs quelques mètres avant l'arche d'arrivée pour me rafraîchir puis j'en finis avec cette sixième boucle. Ravitaillement avec un peu de tout, puis je rejoins les copains du PAAC, qui ont perdu deux unités respectivement après le tour 4 (Damien) et le tour 5 (Alexandre). Il reste encore Soraya, Laurent et Romain.

A l'issue de la boucle 6 - 41,1 km - 197 partants - 156 ''survivants''

14h00 - départ 7ème boucle

Je crois que la chaleur commence véritablement à faire son effet, car il y a de plus en plus de coureurs qui mettent un terme à leur aventure du jour. Papotage, grignotage, ''reposage'' et c'est reparti pour un nouveau tour ! Je me répète mais j'adore vraiment cette course ! On rejoint rapidement les sous-bois et le petit tronçon couvert de sable mou. C'est quand même plutôt facile après. Là où je trouve que c'est long, c'est lorsqu'on doit faire tout le chemin Richou qui est sacrément interminable. Mais dès qu'on arrive au km 5, je me retrouve sur une partie du parcours que j'affectionne jusqu'à ce qu'on rejoigne le stade. Après le jet d'eau, puis le passage sous l'arche d'arrivée, je retrouve le ravito et mes collègues qui sont revenus m'encourager. Plus qu'un tour pour égaler ma marque de l'an dernier !

A l'issue de la boucle 7 - 47,95 km - 197 partants - 125 ''survivants''

15h00 - départ 8ème boucle

Allez, c'est la boucle supplémentaire pour égaliser mon record. Julie est partie voir sa famille pour couper un peu la journée. C'est certes fatigant de courir depuis des heures mais au moins le temps passe très vite, ce qui n'est pas forcément le cas des accompagnateurs. Les deux premiers kilomètres se passent parfaitement bien, mais après j'ai l'impression de subir un coup de pompe, un coup de chaud, je ne sais pas trop. Soraya et Laurent me doublent et créent immédiatement un écart. J'hésite à marcher un peu mais pour le moment je préfère trottiner. Lorsque j'arrive au km 4, j'ai repris un peu de vigueur et mon tempo s'en fait tout de suite ressentir. Bon, à priori ce n'était qu'une petite alerte car j'arrive à revenir petit à petit sur mes amis du PAAC. Je termine le tour une vingtaine de secondes derrière eux. J'ai volontairement largement ralenti au passage du jet d'eau pour complétement me rafraîchir. Record égalé, maintenant, il ne me suffit que d'un tour supplémentaire pour le battre !

A l'issue de la boucle 8 - 54,8 km - 197 partants - 91 ''survivants''

16h00 - départ 9ème boucle

Déjà 8 heures que la course a débuté. C'est plutôt lentement que je pars (en ayant pris une petite gourde avec moi). La fatigue est vraiment présente maintenant. Heureusement que par moment sur le parcours, des encouragements fusent pour redonner un peu d'énergie. Entre coureurs, nous nous soutenons également. Durant toute cette boucle je sens mes limites se rapprocher. J'espère seulement que ça va passer mais c'est fou, dès que les bonnes sensations disparaissent, des calculs s'entrechoquent dans la tête pour tenter de voir si on est dans les temps pour terminer la boucle et la valider. J'aurais eu du mal à terminer cette boucle, mais c'est bon, elle est comptabilisée ! Après le réconfort du ravitaillement place à quelques minutes allongé sur la pelouse.



A l'issue de la boucle 9 - 61,65 km - 197 partants - 63 ''survivants''

17h00 - départ 10ème boucle

Le tour précédent était compliqué mais j'avais encore de la marge à la fin, du coup, c'est reparti pour une dixième boucle.


Les deux premiers kilomètres se passent plutôt bien mais lentement, puis je commence à marcher un peu. Je suis rejoint par des coureurs de Terre de Running qui me font comprendre qu'ils marchent les tronçons les plus durs et courent les autres. Je décide de tenter de suivre leur tempo. Bah mine de rien, c'est plutôt efficace car même si les parties ''marche'' s'effectuent à vitesse soutenue, ça permet quand même de récupérer un peu. Et je ne suis plus seul donc je galère moins. Il n'y a que dans les deux derniers kilomètres que je les laisse partir, sachant que je suis bien en terme de temps et surtout je suis cuit ! Allez, encore un petit effort et ma 10ème boucle est validée. Je rejoins Soraya et Laurent, les deux ''survivants'' du PAAC depuis que Romain a décidé de jeter l'éponge à l'issue du 7ème tour validé.


Je profite un peu de mon fauteuil tandis que Laurent se rafraichit la nuque quelques minutes avant de repartir. Pour le moment, ma décision est de m'arrêter là, mais...

A l'issue de la boucle 10 - 68,5 km - 197 partants - 52 ''survivants''

18h00 - départ 11ème boucle

... Mais le départ est donné alors que je suis encore sur mon fauteuil. Les voir partir me fait tilt. Je recharge rapidement ma gourde en eau, la glisse dans ma ceinture sous mon débardeur et je repars quelques secondes après tout le monde. Au moment où je quitte la piste pour descendre la petite butte, j'aperçois Laurent allongé au sol. Mais un copain s'occupe de lui et fait venir les pompiers. Un coup de chaud ! Je retrouve les coureurs de Terre de Running et je décide de calquer ma course sur la leur. On croise encore et toujours notre couple de suiveurs qui ne cessent d'encourager l'ensemble des coureurs même si le peloton s'est très nettement réduit depuis le début. Je suis à la lettre la tactique mise en place par le petit groupe (de 4 coureurs) qui m'entoure et même si mon corps est de plus en plus épuisé, je sais que j'ai encore une petite marge pour rejoindre la zone d'arrivée dans les temps. Julie me retrouve sur le parcours, peu avant qu'on rejoigne le centre équestre.






Je ressens la sensation du devoir accompli lorsque je foule la piste d'athlétisme. Je me dis que je vais enfin pouvoir me reposer et profiter de la fin de course en spectateur.






Je retrouve Laurent qui a repris des couleurs. Heureusement, ça va beaucoup mieux pour lui. Il n'y a plus que Soraya en piste ! Je montre à Julie mon GPS pour lui faire remarquer que ce chiffre de 75 km je n'aurais jamais cru le voir s'afficher !



A l'issue de la boucle 11 - 75,35 km - 197 partants - 37 ''survivants''

19h00 - départ 12ème boucle

C'est encore pire que lors de la boucle précédente. Là j'étais vraiment affalé sur mon fauteuil lorsque le départ de la 12ème boucle a été donné. Mais n'arrêtant pas d'entendre : ''allez Jeff un dernier'', du coup, je prends machinalement deux pâtes de fruits que je glisse dans ma ceinture pendant que Laurent me rempli ma gourde et je commence à courir avec Julie à mes côtés pendant... 10 mètres avant que je me stoppe net, les quadriceps se bloquant. Les nouveaux ''copains'' Terre de Running m'encourageant à leur tour, je retente de courir et ça passe. Du coup, je sais que je suis parti dans une belle galère et que quoi qu'il arrive je stoppe tout à l'issue de ce tour. Mais tant qu'à faire je vais tout mettre en oeuvre pour le valider. Je suis épuisé, mais je suis la tactique de mes compagnons de course. Ce qui me permet d'avancer en restant dans le chrono visé. C'est un mélange de galère, de fatigue, de joie qui m'accompagne durant toute cette boucle. A la fin, je perds un peu le contact mais peu importe, l'essentiel est là, je valide mon 12ème et dernier tour ! Merci Terre de Running ! Place à la pizza du ravito !


A l'issue de la boucle 12 - 82,2 km - 197 partants - 31 ''survivants''

Nous sommes 8 coureurs a avoir terminé dans les temps le 12ème tour et à ne pas reprendre le départ. Ce qui fait que je termine cet ''Ultra Forestier'' 24ème/197 avec 82,2 km au compteur et en prenant la deuxième place en catégorie M3M. Il faut maintenant aller effacer mon prénom sur la tableau Vellada qui s'est sacrément vidé. Je reçois une ''médaille-décapsuleur'' et une gourde aux couleurs de cette course.






Puis place à la douche avant de profiter de la suite de la soirée avec les sandwiches offerts par le PAAC sans oublier tout ce que les organisateurs viennent nous donner pour manger, autour de la bière de l'amitié !





Soraya est la seule ''survivante'' de notre petit groupe. Elle va jusqu'au bout avec les 100 kilomètres franchis ! Bravo Soso !!!







Cette seconde édition de l'Ultra Forestier a démontré la qualité de ses organisateurs, bénévoles... C'était parfait. Je ne peux que recommander (pas trop non plus car les dossards sont limités et je ne veux pas qu'on prenne ma place) et vivement l'année prochaine pour le 3ème Ultra Forestier. Chiche, pour les 100 km franchis !