Samedi 16 juillet 2016
Retour sur la distance du semi-marathon pour moi. je ne m'y suis plus essayé depuis mon catastrophique semi de Saint-Quentin au mois de mars de cette année. Mais depuis, les mois ont passé et la forme est revenue. Par contre c'est un peu dans l'inconnu que je vais me lancer sur ce semi-marathon d'Amiens. Je n'ai fait aucune préparation particulière sauf deux sorties cette semaine de 17 kilomètres chacune, qui se sont bien passées. Après mon 10 km encourageant la semaine passée en Normandie, je suis quand même rassuré et relativement confiant. Mon objectif avoué sera de courir la distance en moins d'1h35. Normalement c'est à ma portée mais le déroulement de ma course me donnera raison ou tort. On verra. Et surtout je ne veux pas me mettre la moindre pression car le semi-marathon est un format de course qui me plaît beaucoup, alors je veux surtout reprendre du plaisir sur 21,1 kilomètres.
J'ai choisi le semi-marathon d'Amiens, dont ça sera la première édition pour cette organisation, car c'est une ville que j'aime bien et le cadre du départ m'est tout à fait connu puisqu'il se fera au niveau du Parc du Grand Marais. C'est à cet endroit que je viens régulièrement participer au 5 ou au 10 km des 4 Saisons d'Amiens. Je ne connais pas vraiment le parcours de la course, mais j'ai pris contact avec l'organisateur de cette course, Jean-Pierre Dupontreue, qui me l'a expliqué et qui se fera sur une seule boucle avec un peu de dénivelé. Ma principale crainte, est l'éventuelle chaleur car le départ de la course est prévue à 17 heures. On verra bien, mais je suis content de retrouver le semi-marathon !
Je me suis couché bien tard hier soir
et la nuit fut de courte durée car j'ai soutenu Laura qui se
présentait à l'élection de Miss Villequier-Aumont, son village qui
se trouve à côté de Chauny. Ses parents étaient également venus
l'encourager. Une belle soirée avec une belle assistance et au final
Laura est élue 1ère Dauphine de Miss Villequier-Aumont. Mais pour
de vrai, elle méritait largement de gagner. Mais le jury en a décidé
autrement ! Donc pas de course pour elle aujourd'hui. Mais moi
je prends la direction d'Amiens pour participer à cette première
édition du Semi-Marathon d'Amiens. Il fait très chaud malgré un
vent assez fort. J'arrive au Parc du Grand Marais vers 15h10. Il me
reste beaucoup de temps avant le départ qui est donc prévu à 17
heures. Mais que la chaleur est accablante !
Je croise Antoine Dubreucq qui sera le
grand favori de l'épreuve. Saliha Rarbi sera elle aussi la grande
favorite chez les femmes. Je vais récupérer mon dossard au stand
qui est installé dans le Parc lui-même. Au début, on ne trouve pas
mon inscription mais finalement c'est bon. Je me vois attribuer le
numéro 194. Et une casquette au nom d'un sponsor ''Sportzone''nous
est offerte. Il fait trop chaud pour se changer et s'échauffer.
Alors j'en profite pour distribuer les flyers annonçant la course de
Berny-Rivière (02) qui aura lieu le dimanche 18 septembre 2016 en
après-midi. Ils m'avaient été confiés par l'organisateur de cette
course, Hubert Mailly, qui est un ami. Ensuite je vois arriver une
autre amie, Anne qui va courir ce semi-marathon malgré quelques
ennuis de santé depuis le Marathon de Paris. Elle sera accompagnée
par son ami David. Un échauffement de 2,3 kilomètres m'aura
largement suffit. Je suis déjà trempé de sueur. Je n'ai pas arrêté
de faire des passages à la voiture pour boire. Je fais la
connaissance de quelques coureurs qui sont venus me parler en bien de
mon blog, dont un qui se prénomme David.
Ça va être l'heure du départ alors
le speaker invite tous les participants à sortir du Parc du Grand
Marais afin de se placer derrière la ligne de départ qui est située
sur la chaussée de la Rue du Grand Marais. Nous sommes plus de 200
inscrits. Je dirais même 200 courageux car courir à 17 heures un
semi-marathon avec cette chaleur, faut en vouloir ! Une minute
de silence hyper respectée est observée en mémoire aux trop
nombreuses victimes du camion fou sur la Promenade des Anglais à
Nice. No comment. Plein d'émotion. Puis le départ des deux
handisports est donné. Quelques grosses secondes après, c'est un
second coup de pistolet qui se fait entendre et on part tous.
Le début de course est tout plat et
aussi ombragé. Nous prenons la direction du centre d'Amiens par la
Rue du Grand Marais. J'entends Laurence et son mari m'encourager. Ils
ne courent pas aujourd'hui mais sont venus nous soutenir. Je ne pars
pas trop vite et me cale derrière un coureur du Val de Somme que je
connais. Ça avance bien et je me sens bien. Nous passons sous un
pont puis nous arrivons à un rond-point. Il faut continuer tout
droit et la rue devient la Rue Gutenberg. Je ne suis pas très loin
de Saliha qui est comme prévu en tête chez les filles. De loin, de
très loin même, j'aperçois Antoine qui est parti comme une fusée.
Il est en tête loin devant le second. En continuant toujours tout
droit, nous poursuivons sur la Rue Saint-Maurice. Il y a quelques
spectateurs et curieux sur les trottoirs qui nous encouragent. Je
suis passé devant le coureur du Val de Somme et ne perd rien sur
Saliha. Le vent est pour le moment de dos, ça aide. Puis le coureur
que j'ai doublé se met à accélérer mais je préfère poursuivre à
ma vitesse. Le kilomètre 2 est franchi. Un peu plus loin, nous
tournons à droite Rue de la Falaise qui nous amène tout au bout
face à la Somme. J'y arrive et nous devons tourner sur notre droite
afin d'emprunter le Chemin de Halage. Je suis seul depuis le km 2.
Pour le moment le Chemin de Halage est bitumé, mais rapidement ça
devient caillouteux quand on grimpe un peu. Puis une fois en haut,
nous redescendons et quand ça redevient plat, le bitume refait son
apparition. Mais le vent de face commence déjà à m'user un peu. Le
seul avantage c'est qu'il fait l'effet de descendre légèrement la
température Plus nous avançons et plus je reconnais le parcours des
courses des 4 Saisons. J'ai perdu quelques places. Passage sous le
pont, toujours le long de la Somme. Il reste moins d'un moins d'un
kilomètre pour arriver au bout. Je finis par y arriver et c'est le
passage du km 5. Nous avons tourné à droite Avenue des Cygnes sur
la large piste cyclable. Je commence à penser à la grosse côte qui
nous attend très bientôt. J'arrive au bout de l'Avenue des Cygnes
et j'entends Laurence encore m'encourager. Un premier ravitaillement
y est placé. Je prends une petite bouteille d'eau mais elle est
tiède. Un petit soucis d'organisation ça car soit les bouteilles
ont été placées sur la table beaucoup trop tôt, soit elles ont
été entreposées dans un endroit trop chaud. Nous tournons à
gauche. Je suis au pied de la longue et raide côte. Au début c'est
assez doux, puis quelques mètres de plat et c'est ensuite parti pour
le raide, bien raide. Dans cette montée je double le premier
handisport qui galère avec son fauteuil. David, le coureur avec qui
j'ai fait connaissance avant la course, me double et m'encourage. Il
me dépose sur place. Aucune possibilité d’accélérer pour moi.
Je continue toujours de monter et je suis bien heureux d'arriver au
rond-point.
Mais je ne suis pas vraiment encore en haut, car il faut
tourner à gauche sur la Départementale 191 et ça monte encore.
Mais ça va un peu mieux et quand on arrive au niveau d'un groupe de
bâtiments, c'est maintenant du faux-plat descendant. Mais que le
vent de face est fort ! Un coureur s'est placé juste derrière
moi. Il est accompagné de deux cyclistes qui le suivent. Je croise
Jean-Pierre Battez, qui officie en qualité de photographe. Le
coureur est toujours calé derrière moi. Nous passons au-dessus de
l'Autoroute A 16 et ça redescend encore jusqu'au km 8, quand nous
entrons dans la commune d'Argoeuves. C'est à cet endroit, que le
coureur qui me suivait, passe devant moi, mais je ne peux pas lui
prendre sa foulée.
Ça descend plus franchement, le premier handisport revient sur moi et une fois en bas, ça remonte bien. Je le repasse. J'ai vraiment trop chaud. J'ai maintenant de très mauvaises sensations. La suite de la course risque d'être longue pour moi. Une fois en haut et sorti d'Argoeuves, nous nous retrouvons en pleine campagne avec un léger faux-plat descendant. Je fais un chassé-croisé avec l'handisport car dès que ça remonte un peu je passe devant, et quand ça descend, c'est lui qui me repasse. Puis il me largue. J'entre dans Saint-Sauveur juste après le km 9. Un second ravitaillement y est placé. Je redouble l'handisport qui s'est arrêté pour se désaltérer Je prends un gobelet d'eau. L'eau est plus fraîche ici. Un peu plus loin, le panneau du km 10 est placé juste au niveau de celui indiquant la sortie de la commune de Saint-Sauveur. Me revoilà en pleine campagne. Je croise Antoine Dubreucq qui en est déjà sur le retour. Il est bien rouge car il doit être comme tous les autres et souffrir de la chaleur, mais qu'est ce qu'il va vite ! Plus loin la chaussée descend un peu plus franchement en direction de la Chaussée-Tirancourt. Je continue à croiser les coureurs qui sont bien placés. Je finis par croiser David qui m'encourage une fois de plus. C'est enfin à mon tour d'arriver à l'endroit où je dois prendre un virage à 180 degrés pour revenir sur mes pas. Mais malheureusement, j'espérais qu'il y ait de l'eau à ce changement de direction mais ce n'est pas le cas. Et aussi, je pensais qu'avec le vent qui est maintenant de dos, ça irait mieux, mais ce n'est pas le cas non plus car la remontée m'est assez difficile. Je croise David, l'ami d'Anne et peu de temps après c'est au tour d'Anne de me croiser. Elle est pour le moment sur le podium chez les femmes. Je finis par arriver sur du moins montant mais honnêtement je souffre de la chaleur et je n'arrive pas à prendre du plaisir. Il y a des jours sans et aussi des gens qui supportent moins la chaleur que d'autres. C'est mon cas. Un peu avant de retrouver Saint-Sauveur, je reprends le coureur qui était accompagné des deux cyclistes tout à l'heure. Il est toujours avec eux, mais il marche. La chaleur commence à avoir raison de lui. Ce n'est pas le seul. Ça marche un peu partout ! Une fois à sa hauteur je l'encourage à repartir avec moi. Il me suit jusqu'à notre entrée dans Saint-Sauveur. Puis relâche. Je poursuis donc seul, puis j'arrive au ravitaillement du km 15. Pour une fois je m'arrête à ce ravitaillement pour boire un peu. Habituellement j'attrape un gobelet à la volée et je bois en courant mais là j'ai préféré m'arrêter vraiment. Puis quand je veux reprendre, je me rends compte que pratiquement tous les coureurs qui m'entourent repartent … en marchant. Par faiblesse j'en fait autant. Je suis lessivé. Anne et David me reprennent. Je repars avec eux en me plaçant juste devant. Mais ça ne dure qu'un kilomètre, car David se fait lâcher, puis quelques secondes plus tard, c'est à mon tour de laisser partir Anne. Et dès que David me double, je me remets à marcher. J'en n'en peux plus. Je déteste marcher en course mais je n'en peux plus. J'ai soif ! Je me relance, mais quand ça remonte un peu fort pour retrouver Argoeuves, je me remets à marcher. Mais comme ça descend ensuite quand j'entre dans cette commune, alors je repars. J'arrive tout en bas et maintenant ça va monter assez longtemps. Un signaleur m'encourage mais quelques mètres plus loin, dans les pourcentages les plus prononcés, je remarche !!! Ça me saoule de marcher !
David a une bonne centaine de mètres d'avance sur moi. Je passe au-dessus de l'Autoroute A 16, puis je retombe sur Jean-Pierre Battez qui prend toujours les photos. Nous échangeons quelques mots et je continue ma montée. Mais je vais mieux. Je ne sais pas si c'est parce qu'il ne reste que trois kilomètres mais ça va mieux. Quelques coureurs sont juste derrière moi. Je préfère rester devant. Nous continuons à monter jusqu'au groupe de bâtiments puis nous descendons très légèrement jusqu'au rond-point qui se trouvait en début de course pratiquement en haut de la grosse montée. Mais au lieu de tourner à droite pour prendre cette côte en descente, nous traversons complètement ce rond-point pour pénétrer dans Amiens. C'est beaucoup plus facile car c'est du faux-plat descendant. Je me rapproche de David et je fais sa jonction quelques mètres après être dans les rues d'Amiens. Je retrouve encore Laurence et son mari qui m'encouragent.
Ça descend plus franchement, le premier handisport revient sur moi et une fois en bas, ça remonte bien. Je le repasse. J'ai vraiment trop chaud. J'ai maintenant de très mauvaises sensations. La suite de la course risque d'être longue pour moi. Une fois en haut et sorti d'Argoeuves, nous nous retrouvons en pleine campagne avec un léger faux-plat descendant. Je fais un chassé-croisé avec l'handisport car dès que ça remonte un peu je passe devant, et quand ça descend, c'est lui qui me repasse. Puis il me largue. J'entre dans Saint-Sauveur juste après le km 9. Un second ravitaillement y est placé. Je redouble l'handisport qui s'est arrêté pour se désaltérer Je prends un gobelet d'eau. L'eau est plus fraîche ici. Un peu plus loin, le panneau du km 10 est placé juste au niveau de celui indiquant la sortie de la commune de Saint-Sauveur. Me revoilà en pleine campagne. Je croise Antoine Dubreucq qui en est déjà sur le retour. Il est bien rouge car il doit être comme tous les autres et souffrir de la chaleur, mais qu'est ce qu'il va vite ! Plus loin la chaussée descend un peu plus franchement en direction de la Chaussée-Tirancourt. Je continue à croiser les coureurs qui sont bien placés. Je finis par croiser David qui m'encourage une fois de plus. C'est enfin à mon tour d'arriver à l'endroit où je dois prendre un virage à 180 degrés pour revenir sur mes pas. Mais malheureusement, j'espérais qu'il y ait de l'eau à ce changement de direction mais ce n'est pas le cas. Et aussi, je pensais qu'avec le vent qui est maintenant de dos, ça irait mieux, mais ce n'est pas le cas non plus car la remontée m'est assez difficile. Je croise David, l'ami d'Anne et peu de temps après c'est au tour d'Anne de me croiser. Elle est pour le moment sur le podium chez les femmes. Je finis par arriver sur du moins montant mais honnêtement je souffre de la chaleur et je n'arrive pas à prendre du plaisir. Il y a des jours sans et aussi des gens qui supportent moins la chaleur que d'autres. C'est mon cas. Un peu avant de retrouver Saint-Sauveur, je reprends le coureur qui était accompagné des deux cyclistes tout à l'heure. Il est toujours avec eux, mais il marche. La chaleur commence à avoir raison de lui. Ce n'est pas le seul. Ça marche un peu partout ! Une fois à sa hauteur je l'encourage à repartir avec moi. Il me suit jusqu'à notre entrée dans Saint-Sauveur. Puis relâche. Je poursuis donc seul, puis j'arrive au ravitaillement du km 15. Pour une fois je m'arrête à ce ravitaillement pour boire un peu. Habituellement j'attrape un gobelet à la volée et je bois en courant mais là j'ai préféré m'arrêter vraiment. Puis quand je veux reprendre, je me rends compte que pratiquement tous les coureurs qui m'entourent repartent … en marchant. Par faiblesse j'en fait autant. Je suis lessivé. Anne et David me reprennent. Je repars avec eux en me plaçant juste devant. Mais ça ne dure qu'un kilomètre, car David se fait lâcher, puis quelques secondes plus tard, c'est à mon tour de laisser partir Anne. Et dès que David me double, je me remets à marcher. J'en n'en peux plus. Je déteste marcher en course mais je n'en peux plus. J'ai soif ! Je me relance, mais quand ça remonte un peu fort pour retrouver Argoeuves, je me remets à marcher. Mais comme ça descend ensuite quand j'entre dans cette commune, alors je repars. J'arrive tout en bas et maintenant ça va monter assez longtemps. Un signaleur m'encourage mais quelques mètres plus loin, dans les pourcentages les plus prononcés, je remarche !!! Ça me saoule de marcher !
David a une bonne centaine de mètres d'avance sur moi. Je passe au-dessus de l'Autoroute A 16, puis je retombe sur Jean-Pierre Battez qui prend toujours les photos. Nous échangeons quelques mots et je continue ma montée. Mais je vais mieux. Je ne sais pas si c'est parce qu'il ne reste que trois kilomètres mais ça va mieux. Quelques coureurs sont juste derrière moi. Je préfère rester devant. Nous continuons à monter jusqu'au groupe de bâtiments puis nous descendons très légèrement jusqu'au rond-point qui se trouvait en début de course pratiquement en haut de la grosse montée. Mais au lieu de tourner à droite pour prendre cette côte en descente, nous traversons complètement ce rond-point pour pénétrer dans Amiens. C'est beaucoup plus facile car c'est du faux-plat descendant. Je me rapproche de David et je fais sa jonction quelques mètres après être dans les rues d'Amiens. Je retrouve encore Laurence et son mari qui m'encouragent.
Puis ça descend plus
franchement. J'aperçois au sol, au km 20, un téléphone portable au
sol, puis quelques mètres plus loin, la batterie et encore quelques
mètres plus loin la coque. Un coureur a du le perdre. Je m'arrête
pour ramasser tout ça. David est revenu sur moi. Nous échangeons
quelques mots et je reprends ma course. Nous finissons par arriver au
rond-point de la Rue Gutenberg. Virage à droite pour passer sous le
pont afin d'atteindre la Rue du Grand Marais. Là ça sent vraiment
bon la fin. J'ai retrouvé des jambes et un rythme beaucoup plus
respectable. Un coureur part en sprint mais je me désintéresse de
lui. De toute façon, je fais un chrono tellement nul que gagner ou
perdre une dizaine de secondes ne m'intéresse plus. Je prends la
seconde entrée sur la gauche afin de pénétrer dans le Parc du
Grand Marais suivi aussitôt d'un virage à droite pour les 100
derniers mètres. Je termine au ralenti en franchissant la ligne
d'arrivée 58ème/178 en 1h44'54''.
Bon c'est relativement … nul. Mais
j'ai eu vraiment trop chaud. David termine une dizaine de secondes
derrière moi. Je retrouve Anne qui doit filer au contrôle
anti-dopage Quelle chance ! On nous tend des bouteilles d'eau,
mais elle est chaude. C'est très désagréable. Heureusement que les
filles de la société RedBull sont présentes et nous offre des
canettes de RedBull, vraiment bien fraîches. Petit passage au
ravitaillement final pour reprendre une autre bouteille d'eau.
Qu'est-ce que j'aurais eu chaud ! Je repartirais de cette course
avec au moins un souvenir : un beau coup de soleil sur tout le
visage.
David, le coureur que j'ai connu avant
la course, vient me retrouver. Il aura fait un très beau chrono avec
un peu plus de 1h31'. Il a dans sa main une bière qu'il m'offre.
Très gentil ! Et très frais !!! Puis, je vais voir si mon
dossard a été tiré au sort pour le gain d'un lot. J'ai gagné un
tee-shirt. Ensuite, afin de faire patienter les coureurs pour les
podiums, une jeune fille prénommée Léa, vient chanter quelques
chansons sur l'estrade, dont une d’Édith Piaf et Zaz. Franchement
elle chante super bien ! Hubert Mailly est venu donner un coup
de main au chronométrage et vient me faire un coucou.
C'est maintenant le moment de la remise
des récompenses. Avec les victoires d'Antoine Dubreucq chez les
hommes et de Saliha Rarbi chez les femmes. Deux beaux champions !
Anne monte également sur le podium en prenant la seconde place en
catégorie Master 2 féminin. Ce qui est bête, c'est qu'ils ne
récompensent que les deux premiers de chaque catégorie et seulement
la première au scratch. Je vais ensuite voir les résultats qui sont
maintenant affichés. Et ça donne ça :
1er/178 en 1h12'14'' Antoine DUBREUCQ
(Val de Somme) –1er senior homme.
14ème/178 en 1h29'29'' Saliha RARBI
(Val de Somme) –1ère femme et 1ère senior femme.
18ème/178 en 1h31'09'' David CHEVALIER
(non licencié).
48ème/178 en 1h41'28'' Anne BONARD (US
Camon) –3ème femme et 2ème master 1 femme.
58ème/178 en 1h44'54'' Jeff BACQUET
(Marne et Gondoire Athlétisme).
59ème/178 en 1h45'05'' David REGNARD
(Amiens UC).
Je retrouve ensuite Hubert qui essaye
de régler les petits problèmes de classement. Le second handisport
en termine seulement. Il poussait son fils dans un fauteuil roulant.
Deux vrais courageux !Voilà la première édition de ce
semi-marathon d'Amiens qui se termine. Avec quelques petits points à
régler. Mais ce n'était que la première. Demain matin je vais
certainement remettre ça sur un trail court à Montigny-Lengrain
dans l'Aisne.
Merci aux différents photographes.
Sophie Branche :
Jean-Pierre Battez :
1 commentaire:
Bonjour Jeff,
Voici quelques courses dont nous avons parlé cet après-midi :
- Course des 2 châteaux Pierrefonds-Compiègne 17km fin septembre, plat, en forêt, très roulant, dimanche matin.
http://vgachs.free.fr/
- La Transquar à Beauvais, semi début octobre (tu seras à Paris mais ça sera pour une autre fois), très bonne ambiance, beaucoup de monde pour encourager et quelques groupes de musique (j'ai encore des frissons en entendant les tambours de Sam bagage), dimanche matin.
http://latransquar.beauvais.fr/
- Les foulées de la rue à Beauvais, 10km (2 tours) début juin, samedi soir, très roulant, plat, super ambiance, concert, feu d'artifice, bière, tartiflette (oui en juin ça passe tout seul !)
http://www.lesfouleesdelaruebeauvais.fr/index.php
- Courir la Jules Verne (Amiens fin mai), le trail des beaux monts (Compiègne début septembre), le trail de Beauvais (début mai), la course des roses (Songeons Gerberoy mi-mai), la P'tite Vadrouille (Agnetz Clermont mi-mars), etc.
Voir http://www.chtiquicourt.fr/ pour la liste complète.
A bientôt sur d'autres courses, au plus tard dans le tonnerre de Zeus, c'était un plaisir de te rencontrer.
David
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