Dimanche 20 janvier 2019
Un début d'année bien plus chargé pour moi que l'an passé. En effet, ce dimanche je vais participer à mon premier 10 kilomètres de 2019 avec celui de Paris 14, après avoir couru un semi-marathon hivernal à Cernay et les Départementaux de cross la semaine dernière. La course de ce week-end n'est pas une inconnue pour moi. C'est la sixième fois que je me rends ici-même après les éditions 2011, 2013, 2014, 2015 et 2016, avec un nombre impressionnant de coureurs sur un circuit à couvrir deux fois dont un passage au pied de la Tour Montparnasse et ses hôtels au standing hyper élevé.
Plusieurs milliers de coureurs vont battre le bitume du 14ème arrondissement en faisant attention à deux petites difficultés avec le passage pavé au pied de la Tour Montparnasse et la légère montée qui longe le cimetière. Le froid sera présent pour nous accompagner durant ces 10 kilomètres. Les trois degrés ne devraient pas être dépassés. Nous devrions être deux coureurs de mon club du PAAC car Nico y est également inscrit. Je vais bien profiter de cette dernière course du mois de janvier car, contrairement à mon habitude, la semaine prochaine je vais faire un dimanche de relâche. Hé oui, ça m'arrive quand même de ne pas courir de temps en temps même si c'est bien rare !
Ce matin, je me lève à 6h40, histoire de prendre mon temps pour me préparer. Mais comme mon sac de sport était prêt à emporter dès hier soir, je n'ai pas grand chose à faire, si ce n'est m'occuper de moi. Nous quittons la maison à 7h15 pour une arrivée dans le 14ème arrondissement une heure plus tard. J'avais prévu de me stationner en parking souterrain car c'est une sacrée compétition de décrocher une place gratuite dans la rue. Mais au dernier moment, je décide de tenter ma chance. Après quelques détours où je ne trouve pas mon bonheur, j'essaye sans trop d'espoir, la rue qui se trouve juste derrière l'Hôtel de Ville et un coup de c** phénoménal car je trouve une place de stationnement à 50 mètres du village de la course ! Je vais jeter un coup d’œil sur le très long listing des coureurs inscrits afin de voir que je vais porter le dossard numéro 1745.
Ce matin, je me lève à 6h40, histoire de prendre mon temps pour me préparer. Mais comme mon sac de sport était prêt à emporter dès hier soir, je n'ai pas grand chose à faire, si ce n'est m'occuper de moi. Nous quittons la maison à 7h15 pour une arrivée dans le 14ème arrondissement une heure plus tard. J'avais prévu de me stationner en parking souterrain car c'est une sacrée compétition de décrocher une place gratuite dans la rue. Mais au dernier moment, je décide de tenter ma chance. Après quelques détours où je ne trouve pas mon bonheur, j'essaye sans trop d'espoir, la rue qui se trouve juste derrière l'Hôtel de Ville et un coup de c** phénoménal car je trouve une place de stationnement à 50 mètres du village de la course ! Je vais jeter un coup d’œil sur le très long listing des coureurs inscrits afin de voir que je vais porter le dossard numéro 1745.
Un fois mon dossard récupéré, je
vais faire un coucou à Harry Bignon, speaker de la course qui jongle
entre la course de Paris 14 et celles du Raid 28 qui ont débuté
hier et celles qui se termineront après Paris 14. Je retrouve
Bernard dans les vestiaires de la piscine située en sous-terrain du
square de l'Hôtel de Ville. Il fait bien bon dans cet endroit et
c'est vraiment parfait pour se préparer. Surtout que des casiers
peuvent accueillir nos effets personnels durant la course et qu'après
on peut bénéficier de la douche chaude. Bien content de revoir
Bernard qui ne m'a prévenu qu'hier de sa présence sur cette course.
Petite pause WC, où il est agréable de ne pas faire une queue de
fou.
Puis, nous partons tous les deux faire
notre échauffement dans les rues entourant le cœur de
l'arrondissement. Il fait froid mais c'est bien supportable car le
vent est quasiment nul. Vers la fin de cette mise en jambe, j'entends
Antoine m'interpeller. Il m'avait dit qu'il serait présent sur cette
course, mais je ne l'avais pas vu encore. C'est la même chose pour
Nico, de mon club du PAAC, que je n'ai pas encore pu voir. On papote
un peu, petite photo, puis je termine tranquillement de trottiner
avant de repasser aux WC à la piscine où il n'y avait personne.
C'est le moment de me glisser dans le
sas derrière l'arche de départ implantée entre les deux parties du
square Rue Mouton-Duvernet. Il y a énormément de coureurs et encore
plus de spectateurs dans ce secteur. Près de 2500 coureurs sont
annoncés. Le départ qui était prévu à 9h30 est un peu retardé
en attendant que le circuit soit totalement sécurisé. Ça permet
aux coureurs de discuter entre eux tout en essayant de ne pas se
refroidir.
Il est 9h39 quand le pistolet du
starter retentit. Nous partons tout droit Rue Mouton-Duvernet. Les
coureurs autour de moi partent comme des flèches. Pas facile de
rester raisonnable mais je pense y arriver. J'écoute ce qu'on m'a
dit, à savoir gérer les deux premiers kilomètres puis voir pour la
suite. Je tourne à gauche pour prendre la Rue des Plantes tout en
coupant l'Avenue du Maine. Il va falloir rester vigilant, notamment
dans les virages, car le sol est détrempé. Cette rue est assez
large, ce qui laisse le temps à tout le monde de se régler en
trouvant son propre rythme. Bien plus loin, nous tournons à droite
Rue de l'Abbé Carton. Une fois le km 1 franchi, la seconde partie de
cette rue est en léger faux-plat descendant. Au bout, nous tournons
à gauche Rue des Suisses et aussitôt à droite Rue Pauly. On y
reste très peu de temps car nous tournons à droite Rue Raymond
Losserand. Une très longue ligne droite commerçante en faux-plat
montant. C'est franchement bien long et donc la plus longue des
lignes droites de la course.
Je finis enfin par quitter cette longue
rue en tournant à gauche Rue Lebouis, puis aussitôt encore à
gauche Rue de l'Ouest, immédiatement à droite Rue Jules Guesde
avant de terminer à gauche Rue Jean Zay. Terminés ces changements
incessants de direction. Nous arrivons au rond-point de la Place de
Catalogne où nous tournons à droite pour prendre la première
sortie Rue du Commandant René Mouchotte.
La descente permet de prendre un peu de vitesse et surtout de souffler un peu. Je me retrouve avec des jambes bien lourdes alors que le km 3 vient seulement d'être franchi. Sur ma droite je laisse le Pullman, un hôtel de luxe hors de prix. Une fois en bas, nous tournons à gauche pour nous retrouver au pied de la Tour Maine-Montparnasse que nous contournons par la droite en prenant la Rue du Maine qui est pavée avant de descendre sur d'autres pavés de la Rue Jolivet. Je débouche sur le Boulevard Edgar Quinet en tournant à droite. Les 100 premiers mètres sont montants puis ça redevient rapidement roulant. Nous longeons sur notre droite l'immense cimetière du Montparnasse. Une fois au bout de ce lieu de recueillement, nous tournons à droite Rue Emile Richard toujours en le longeant. Nous sommes en léger faux-plat montant. Le cimetière laisse place aux petits immeubles quand la Rue Emile Richard devient la Rue Gassandi toujours en faux-plat montant. Antoine, qui accompagne un de ses copains, revient à ma hauteur. Je lui emboîte le pas, ce qui me relance un peu. A proximité de la mairie, nous tournons à gauche Rue Charles Divry qui est montante avant de tourner presque immédiatement sur la droite Rue Pierre Castagnou, qui longe le parvis de l'Hôtel de Ville. J'entends Harry indiquer mon passage dans le micro. Virage à droite Rue Mouton-Duvernet où se trouve le ravitaillement que j'ignore.
La descente permet de prendre un peu de vitesse et surtout de souffler un peu. Je me retrouve avec des jambes bien lourdes alors que le km 3 vient seulement d'être franchi. Sur ma droite je laisse le Pullman, un hôtel de luxe hors de prix. Une fois en bas, nous tournons à gauche pour nous retrouver au pied de la Tour Maine-Montparnasse que nous contournons par la droite en prenant la Rue du Maine qui est pavée avant de descendre sur d'autres pavés de la Rue Jolivet. Je débouche sur le Boulevard Edgar Quinet en tournant à droite. Les 100 premiers mètres sont montants puis ça redevient rapidement roulant. Nous longeons sur notre droite l'immense cimetière du Montparnasse. Une fois au bout de ce lieu de recueillement, nous tournons à droite Rue Emile Richard toujours en le longeant. Nous sommes en léger faux-plat montant. Le cimetière laisse place aux petits immeubles quand la Rue Emile Richard devient la Rue Gassandi toujours en faux-plat montant. Antoine, qui accompagne un de ses copains, revient à ma hauteur. Je lui emboîte le pas, ce qui me relance un peu. A proximité de la mairie, nous tournons à gauche Rue Charles Divry qui est montante avant de tourner presque immédiatement sur la droite Rue Pierre Castagnou, qui longe le parvis de l'Hôtel de Ville. J'entends Harry indiquer mon passage dans le micro. Virage à droite Rue Mouton-Duvernet où se trouve le ravitaillement que j'ignore.
C'est parti pour la seconde boucle en
tournant à gauche Rue des Plantes. Je discute un peu avec Antoine,
puis je le laisse partir. Ça va trop vite pour moi surtout en ce
moment. Je vais moins vite, mais ce n'est pas pour ça que je suis
ridicule car ça avance relativement bien. La sortie du virage à
droite Rue de l'Abbé Carton aurait pu être un piège pour moi, car
certains coureurs ont coupé derrière la rubalise sur le trottoir,
et lorsqu'une féminine tente de retrouver la chaussée, je manque de
justesse de la percuter, ce qui me coupe mon tempo, mais plus de peur
que de mal. Après le faux-plat descendant, virage à gauche Rue des
Suisses, puis à droite Rue Pauly et pour finir à droite afin
d'emprunter la très longue ligne droite de la Rue Raymond Losserand
en faux-plat montant. J'évite de regarder trop loin, sinon je pense
que ça avancerait moins vite.
Une fois tout au bout, j'arrive sur les
nombreux changements de direction en tournant à gauche Rue Lebouis,
puis à gauche Rue de l'Ouest, à droite Rue Jules Guesde et pour
finir à gauche Rue Jean Zay. Il y a de nombreux touristes lorsque
nous arrivons sur la Place de Catalogne que nous quittons aussitôt
afin de prendre la Rue du Commandant René Mouchotte. Je profite de
cette descente pour faire souffler les jambes lourdes. Les sensations
ne sont pas formidables mais je pense que ça avance quand même pas
trop mal. Passage autour de la Tour Maine-Montparnasse avec sa partie
pavée glissante.
J'ai haussé mon tempo en me retrouvant dans la partie montante du Boulevard Edgar Quinet. Ça devient ensuite plat, puis nous tournons à droite avec le cimetière à mes côtés pour remonter la ligne droite qui va nous transporter à proximité de la mairie. Pas facile avec ce long faux-plat montant mais je reste blotti dans le rythme d'un coureur.
J'ai haussé mon tempo en me retrouvant dans la partie montante du Boulevard Edgar Quinet. Ça devient ensuite plat, puis nous tournons à droite avec le cimetière à mes côtés pour remonter la ligne droite qui va nous transporter à proximité de la mairie. Pas facile avec ce long faux-plat montant mais je reste blotti dans le rythme d'un coureur.
Virage à gauche en montant, puis à
droite Rue Pierre Castagnou avec un passage juste derrière le
ravitaillement final. Contrairement au premier tour où nous
tournions à droite, là nous poursuivons tout droit jusqu'au bout.
Puis virage à gauche Rue Brézin avant de tourner une ultime fois à
gauche Rue Saillard avec l'arche d'arrivée en point de mire.
J'accélère bien, ce qui me permet de gagner quelques places, puis
je franchis cette arche d'arrivée 397ème/2100 en 42'36'' (42'30''
au temps réel).
Il faut suivre un certain cheminement
avec un sachet contenant un tee-shirt et quelques confiseries qui
nous est offert, puis on passe dans un goulet où on nous offre une
très belle médaille commémorative de la course. Je ne perds pas de
temps pour surtout ne pas me refroidir, en prenant la direction du
ravitaillement final, surtout tout au bout, car la très bonne soupe
chaude aux légumes nous y attend.
C'est le seul ravito que je prends tous
les ans lorsque je viens ici. Je retrouve Nico qui aura fait une
belle course, lui qui était déçu de sa prestation la semaine
passée lors des Championnats Départementaux de Seine-et-Marne à
Chessy. Aujourd'hui, il aura bouclé son 10 kilomètres en 36''32''
(36'30'' en temps réel). Je retrouve également Antoine que je
remercie de m'avoir relancé sur la fin de la première boucle.
Toujours un plaisir de le revoir.
Un peu plus tard, Bernard arrive dans
le secteur de la zone d'arrivée. Il ne lui reste plus qu'à courir
autour du square se trouvant en face de l'Hôtel de Ville. Il va
terminer en 53'23'' (51'33'' en temps réel). Il voulait faire moins
de 52 minutes, mission parfaitement remplie.
Un coureur, Hamid, vient me voir en
m'expliquant qu'il aime beaucoup ce que je fais avec mon blog et
qu'il serait ravi de pouvoir poser avec moi. Ce genre de geste fait
vraiment plaisir. Il aura fait un chrono d'un peu plus de 46 minutes.
On se reverra certainement une prochaine fois. On ne perd pas trop de temps pour
retourner dans les vestiaires de la piscine car le froid a tendance à
m'attaquer surtout avec la sueur. La douche est très bonne et
agréable. Je devrais revoir Bernard sur le 10 km de Malakoff qui
aura lieu dans deux semaines en après-midi et surtout un samedi. Au
classement ça donne ceci :
42ème/2100 en 35'50'' (35'48'') Rémi
MIGLIORE (UA Villenoy) –2ème M2.
67ème/2100 en 36'32'' (36'30'')
Nicolas JAECK (PAAC).
316ème/2100 en 41'18'' (40'37'')
Antoine SCUVEE (Livry-Gargan Athlé).
397ème/2100 en 42'36'' (42'30'') Jeff
BACQUET (PAAC).
654ème/2100 en 46'39'' (45'35'')
Rachid HAMDI (non licencié).
1203ème/2100 en 53'23'' (51'33'')
Bernard LEFEVRE (ASPTT Nice).
Les récompenses sont données mais je
ne m'attarde pas trop car il faut retrouver la Seine-et-Marne. Merci
pour les encouragements et les conseils reçus !
2 commentaires:
salut
merci encore pour tous les resumés des courses que tu fais vraiment ça nous permet a nous amateurs et fans de courses de savoir a quoi s attendre lorsque l on s inscrits a une course
merci zncore une fois et je te douhaite a toi et ta team d aller toujours plus loin
Rachid HAMDI
Bravo pour ta course.
Sympa ton résumé.
Par contre la rue des Plantes n'était pas "assez large" pour absorber une telle masse de coureurs. Ca allait peut-être pour le sas préférentiel, mais derrière c'était bouchon, zig-zag, trottoir et parfois bousculade. Pour 2400 participants, une avenue beaucoup plus large s'imposerait.
Franck L.
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