La Sénartaise (77)

Jeudi 1er mai 2008



A défaut de faire le marathon de Sénart qui fait également office de championnat de France de la distance, à cause de ma cheville et de mon manque de préparation, je tenais tout de même à me rendre sur place pour faire la "Sénartaise". Le départ et l'arrivée sont les mêmes que le marathon, mais évidemment, on ne passe pas par toutes les villes de la communauté de communes de Sénart.



A 9 heures, nous encourageons tous les coureurs du marathon, puis à 9h30, c'est au tour de la "Sénartaise" de démarrer. Avec mon dossard 241 je prends un bon départ. Malgré le monde, j'arrive à passer au premier kilomètre en 4'03'' (départ inclus). On est donc sorti de la ville de Tigery puis on prend la direction de Lieusaint. On emprunte des routes au milieu des champs. J'arrive à m'accrocher à des groupes qui ont un rythme qui me convient parfaitement. Ensuite je suis un coureur qui m'a doublé et qui va assez vite, voire un petit peu trop pour moi. Mais j'arrive à m'accrocher.


Arrivé à Lieusaint, je reste accroché à lui et on se rend à la Forêt de Sénart. Au km 5 je passe en 21'12''. C'est à cet endroit là que je décide de faire mon effort et de passer ce coureur. Pendant quelques mètres je reste juste devant lui, puis j'arrive à le décrocher et à remonter d'autres coureurs.


A la sortie de la Forêt, on se retrouve dans les rues de Combs-la-Ville. Je conserve un rythme très stable à plus ou moins 5 secondes au kilomètre. Je suis bien content d'arriver à rester très constant. Au km 10, je passe en 43'07''. Je suis toujours très satisfait. Après, une très longue descente nous attend. Je me fais doubler par un coureur car j'ai du mal à gérer la descente assez raide à cause de ma cheville douloureuse. Cette descente nous amène aux portes du stade Alain Mimoun où l'arrivée est donnée. Je m'accroche et lors du tour de piste final, je peux sprinter longtemps et je remonte le coureur qui m'avait doublé dans la descente, juste avant de franchir la ligne d'arrivée. Je finis 67ème/481 en 47'34''.

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