Dimanche 28 mai 2017
Suite du week-end course à pied dans la Vienne à Poitiers. Après le 5 kilomètres d'hier soir (voir article précédent) et une nuit bien chaude avec une température qui n'a pas vraiment voulu baisser, le réveil sonne à 7 heures. Ce qui n'est pas très tôt pour une course qui va débuter à 8h45. C'est ça l'avantage d'être en location à proximité. Fred déjeune une bonne plâtrée de pâtes. Moi je me contente d'un gâteau sport facile à digérer pour la course. Je ne suis pas trop capable de manger des coquillettes à cette heure-ci. Nous prenons ensuite tous les quatre la voitures (Fred et moi, ainsi que Sabine et Lucas nos supporters). On tente de se garer le plus près possible de l'Hôtel de Ville où le départ de la course ainsi que des navettes transportant les accompagnateurs jusqu'à l'arrivée, sont situés. Un parking payant y est extrêmement bien placé et vu le prix ridicule (1,50 euros pour 9 heures), on s'y trouve une place sans problème. Ce prix n'est même pas à la hauteur d'une demi-heure en région parisienne !
Puis nous nous rapprochons de la Place de l'Hôtel de Ville où le départ du semi-marathon sera donné d'ici un quart d'heure environ. Il y a énormément de monde. On peut repérer un ''Lapin Crétin'', qui va accompagner le départ du semi-marathon puis celui du marathon. Nous flânons un peu sur le parvis et j'essaye de trouver d'autres coureurs de mon club de l'UA Chauny. En effet, mon club est venu en petite délégation pour participer au semi-marathon ainsi qu'au marathon.
Fred pense en apercevoir un à proximité des marches de l'Hôtel de Ville. Quand j'arrive à voir où il m'indique, je me rends compte qu'il a raison. Il s'agit de Jean-Claude en train de mitrailler le reste de la délégation Chaunoise. On doit faire le tour des sas pour les retrouver mais finalement on préfère les traverser, c'est plus pratique et surtout plus rapide avec tout ce monde.
J'arrive à leur hauteur et ça me fait vraiment plaisir de les revoir. Je n'ai plus remis les pieds à Chauny depuis début mars. Je leur dis bonjour, Jean-Claude est tellement content de me voir, qu'il m'embrasse. Je suis ravi de voir Frédérique et Cyrille, Aïcha, Dany et Lionel, Cécile et Sylvain, Isabelle, Joëlle,... j'en oublie certainement, mais vraiment content de vous revoir. Jean-Claude prend tous les Chaunois ensemble puis uniquement ceux qui vont se présenter au départ du marathon.
Nous assistons ensuite au départ du semi-marathon, puis la mission prioritaire qui suit est de trouver des WC. L'organisation a placé une dizaine de cabines sur la petite place à une centaine de mètres du départ, mais une énorme file d'attente s'est déjà formée. Et comme je me souviens qu'il y a également des toilettes au parking souterrain où nous nous sommes stationnés, alors on y va et on a raison de le faire, car l'attente est bien moindre et c'est propre.
Il nous reste ensuite un petit quart d'heure avant le départ. Je ne vais pas m'échauffer. Je pense que sur les 42,195 km qui nous attendent, on peut bien y inclure de l'échauffement, de la course et de la récup ! Trois en un !!!
Puis nous retournons sur la place de l'Hôtel de Ville et il est l'heure de nous glisser dans les sas. Fred rentre dans le 3h45, on discute puis je vais vers le 3h15 mais quelques secondes plus tard je me rends compte que c'est ridicule de partir dans ce sas même si à l'époque de l'inscription c'était mon objectif. Mais cette fichue blessure qui ne m'a permis de reprendre l'entraînement que depuis deux semaines, en a décidé autrement et je fais donc demi-tour. Je me mets avec Fred. On a l'air détendu mais Fred me dit qu'il a énormément de pression !
Un premier coup de pistolet retentit, c'est le départ du marathon handisport puis un second quelques instants après et c'est à notre tour. Nous sommes plutôt vers la fin de peloton alors nous marchons pour avancer tranquillement vers la ligne de départ à mesure que la masse de coureurs partent. Et ça y est nous franchissons cette ligne de départ.
Il fait chaud mais c'est franchement gérable à cette heure là. Les coureurs du semi étant partis trente minutes avant, n'auront pas la ''canicule'' même s'il commencera à faire chaud sur la fin. Nous allons tout droit sur la Rue Magenta. Il faut faire attention aux potelés métalliques qui se trouvent entre le trottoir et la chaussée. Les coureurs qui nous précédent font des signes pour avertir ceux de derrière. Nous tournons légèrement sur la gauche pour prendre la Rue d'Alsace-Lorraine. Ensuite il faut arriver à négocier un double virage gauche-droite, pas si évident avec ce gros peloton compact.
Nous sommes maintenant Rue de Blossac et nous entrons dans le Parc par l'entrée principale. Nous le traversons totalement par l'allée centrale, la seule qui est en dur. Ça me rappelle la belle course qu'on a faite hier soir Fred, Sabine et moi. Mais là je vais beaucoup moins vite qu'hier. J'arrive à mi-ligne droite là où se trouve la fontaine. Quelques instants plus tard j'arrive tout au bout.
Je tourne deux fois sur la gauche pour prendre une autre longue ligne droite parallèle à celle que je viens de prendre. Pour ceux qui ont lu l'article sur la course d'hier, c'est la ligne droite de la montée, sauf qu'aujourd'hui on la prend en sens inverse, dont on descend. Fred arrive au même endroit une minute vingt derrière moi.
Je me trouve donc maintenant dans la descente gravillonnée. Je la descends tranquillement. Quand je regarde sur ma droite et en bas, je vois les premiers de la course qui sont en contrebas sur la route et dans le sens inverse de nous. Même si la souplesse du terrain où je me trouve actuellement est fort sympathique, quand ça sera à mon tour d'être sur la route ça sera quand même mieux pour un meilleur appui. Je sors du Parc et un tout petit rond-point s'y trouve, On prend le plus possible à droite afin d'emprunter le Boulevard Sous-Blossac.
D'en haut j'avais l'impression que c'était soit plat, soit ça descendait, mais non, maintenant que j'y suis je me rends compte que ça fait des vagues. Je ne me préoccupe de personne autour de moi. Je cours à la sensation et j'ai mon rythme de croisière. Nous sommes bien bas par rapport aux hauts des remparts où se trouve le Parc de Blossac. Des spectateurs se sont placés tout en haut pour nous encourager dont mon fils Lucas.
Deux minutes plus tard, Fred passe au même endroit bien dans son tempo. Ce boulevard tourne de lui-même sur la droite et ça grimpe. C'est à cet endroit que nous nous étions stationnés hier pour pique-niquer et pour participer à la course du 5 kilomètres. En haut, nous tournons à gauche Avenue de la Libération. C'est une longue ligne droite toujours en forme de vague. Ça monte un peu puis ça descend un peu ...Un kilomètre et demi plus loin, nous prenons en face légèrement sur la droite Rue Blaise Pascal. Le km 4 est déjà franchi, ça se passe bien, je suis sur mon tempo.
Pendant un bon kilomètre nous continuons tout droit Rue des Joncs. A la fin il faut grimper et tourner complètement à droite afin de faire une boucle d'un kilomètre et revenir à cet endroit. Nous prenons ensuite à droite, et un peu plus loin après avoir coupé l'Avenue du 8 mai 1945, ça monte encore jusqu'à la Rue de la Matauderie qu'on prend en tournant à gauche. C'est encore une longue ligne droite qui finit par nous faire déboucher sur l'Avenue de la Libération au km 8. Nous reprenons donc cette avenue dans le sens inverse de tout à l'heure en direction du Parc de Blossac et du centre-ville. Je me débarrasse de la petite bouteille que j'avais avec moi au départ. Je la mets dans une poubelle d'un abribus. Je me rapproche du Parc et au lieu de tourner à droite pour le contourner comme on était venu dans le sens inverse tout à l'heure, nous continuons tout droite dans une étroite rue qui monte.
Je discute avec un coureur pendant quelques temps pendant cette montée de la Rue de la Tranchée. Il y a du monde encore ici pour nous encourager. Je me sens relativement facile dans ce genre de montée assez douce, ça passe vraiment bien. J'arrive au premier ravitaillement. Je prends mon gel prévu au passage du km 10, 100 mètres avant d'arriver au ravito et j'attrape à la volée un gobelet d'eau riche en glucide.
Nous continuons de monter et j'aperçois un peu plus haut la partie pavée quand nous nous approchons du centre-ville et du parking souterrain où nous sommes stationnés. Je me sens très bien et je suis vraiment bien relâché. Lucas et Sabine sont placés pratiquement devant ce parking. J'y passe... 14'30'' après les leaders de la course. Ils m'ont déjà mis tout ça en un peu plus de 10 kilomètres. Ils ne savent pas profiter des beaux paysages ces coureurs !!!
Quand j'arrive sur la Place de l'Hôtel de Ville, je tourne à gauche et je reviens un kilomètre plus loin de l'autre côté de la Place pour longer l'Hôtel de Ville sur la gauche. Pendant ce temps là, Fred arrive au point où se trouve nos accompagnateurs. Il passe 9'12'' après moi, bien entouré de plusieurs féminines. Je commence à comprendre sa stratégie de course ! Nous faisons ensuite des changements de direction sans cesse dans les rues bitumées ou pavées de Poitiers. J'aime beaucoup ce parcours même si ce n'est pas tout plat. Beaucoup de faux-plats montants ou descendants voire des vraies montées ou descentes.
Un peu plus loin, nous tournons à droite pour prendre la grand pont piéton qui enjambe le réseau ferroviaire. Il est assez long et a l'air récent. Un nouveau point d'eau y est présent car nous sommes au km 12,5. Une fois que j'en ai enfin terminé avec ce pont, nous tournons à gauche Rue de Maillochon. Elle descend dans un premier temps, puis un peu de plat et après le km 13, ça monte car nous devons retraverser le réseau ferré par la Rue Georges Guynemer. Une fois de l'autre côté, nous tournons à gauche Boulevard de Pont-Achar. Nous passons sous le tunnel qui évite un carrefour. Ça descend donc et pour en sortir ça remonte. Km 14 franchi. Nous continuons toujours tout droit jusqu'à un peu après le km 15 sur ce très large axe, avant de tourner à droite histoire de faire un aller-retour le long du Clain pendant 7 kilomètres.
L'aller se fait côté centre ville qui se trouve tout en haut, car nous sommes sur un des points les plus bas de la ville. C'est très large et la plupart du temps il y a un terre-plein central. Au bout d'un ou deux kilomètres, je croise les premiers qui sont déjà sur le retour. Quelle vitesse ! Un système de chronométrage est présent au km 16 pour les gens voulant nous suivre en direct sur internet, chose que mon frère fait avec moi depuis la Picardie, ou plutôt les Hauts-de France comme on dit maintenant. Au km 17, d'un coup, je ressens de la lassitude alors que je me sentais toujours aussi bien depuis le km 0. Je crois que je vais finir par trouver le temps long. Nous passons au-dessus du Clain en tournant à gauche et aussitôt de l'autre côté à droite sur la Promenade des Cours. Je suis au km 18. Il y a pratiquement un kilomètre à faire avant de faire demi-tour et de revenir sur nos pas jusqu'au km 15, qui sera donc le km 22.
Dans le même moment, Sabine et Lucas prennent une navette qui va les conduire directement à l'arrivée au Futuroscope. Je croise Sylvain de mon club de l'UA Chauny. Nous nous encourageons, puis je croise Aïcha à qui j'envoie mes encouragements et un peu plus loin encore mon pote Fred avec qui on se tape dans la main. Il a un peu plus de 15 minutes de retard sur moi à cet endroit. Bien plus loin, après le km 22, nous prenons la direction de la sortie de Poitiers sur la droite Rue de l'Intendant Le Nain. Et qu'est-ce que ça monte. Je dois me résoudre à marcher sur la fin de la montée pour essayer de ménager ma monture. Une fois en haut c'est reparti. Mais à partir de la commune de Bruxerolles ça devient très compliqué pour moi. Je suis en manque total d'entraînement. 15 jours après ma reprise c'était un pari fou de me présenter sur un marathon.
J'alterne marche et course et je me résous à abandonner à partir du km 26. J'envoie un sms à mon fils pour ne pas qu'il s'inquiète quand il ne me verra pas arriver ainsi qu'à mon frère qui me suivait sur internet. D'ailleurs mon frère m'appelle aussitôt pour connaître mon sentiment. Mais je ne suis pas déçu car on n'avait pas cessé de me dire que ce n'était pas raisonnable de faire un marathon deux semaines après guérison. Mais j'ai toujours dit que j'étais raisonnable sur ce coup-là car je savais que si j'étais dans le dur j'allais m'arrêter aussitôt pour ne pas me reblesser. Donc j'étais préparé à mon premier abandon, c'était même quasiment écrit d'avance. J'ai tenté, je n'ai pas réussi mais au moins je n'ai aucun regret car si je n'étais pas venu je me serais demandé si c'était possible ou pas. Là j'ai ma réponse. Même si je sais que c'est possible d'aller au bout mais dans quel état !
Quand je raccroche avec mon frère je ne sors pas tout de suite du parcours car il reste encore pas mal de kilomètre pour que je puisse me rendre à pied à l'arrivée en coupant. Je vais donc aller jusqu'au km 30 et c'est là que j'abandonne officiellement. Avant de quitter le tracé, j'attends Fred. On prend une photo ensemble et je l'encourage à tenir jusqu'au bout. Quand à moi il ne me reste que deux kilomètres pour arriver sur la ligne d'arrivée du Futuroscope. J'y vais en marchant et en arrivant je tombe sur Jérôme Christiany, un copain dont j'avais entendu son nom hier à la présentation des meneurs d'allure. On discute un petit bout de temps, il devait emmener les coureurs en 3 heures et il a réussi sa mission en 2h59'32''. Nickel et ça m'a fait plaisir de le revoir ainsi que sa compagne.
Je retrouve ensuite mon fils et Sabine. Je vois que Sabine est contre les barrières à guetter l'arrivée de son chérie mais je lui dis que ce n'est pas la peine. Nous en sommes à 4 heures de courses et vu la chaleur il en a encore pour 45-60 minutes. Mais je la rassure en lui disant qu'il va bien car je l'ai vu il y a peu de temps. Pour la rassurer vraiment je lui dis que je vais vers lui sur le parcours en sens inverse en marchant et que je l'appelle dès que je le croise.
Mais mine de rien je marche loin, car je le retrouve à 3 kilomètres de l'arrivée. Sur le coup je me demande si je vais pouvoir redémarrer car même si j'ai abandonné j'ai quand même couru longtemps. Je l'encourage à ne rien lâcher et il me dit qu'il ne peut pas trop parler. Alors c'est moi qui lui parle pour le rassurer en lui disant ce qui l'attend sur la fin de parcours et que ça sent bon la fin. Je cours sans problème à ses côtés et on commence à remonter des coureurs un à un. Je ne cesse d'envoyer des messages à Sabine pour la rassurer et lui dire où on en est. Un ravitaillement au km 40 où il s'arrête pour boire et il repart aussitôt. Une petite descente avec en bas un autre ravitaillement. Encore un arrêt raisonnable et il repart au panneau annonçant : ''dernier kilomètre''. Ça c'est excellent pour le moral. Une montée le conduit sur la dernière ligne droite. Il n'arrête pas de parler de la barre des 5 heures mais je sais qu'à la vitesse où on va on sera dessous.
A la sortie du dernier rond-point, il ne reste que 100 mètres. Je m'efface pour laisser Sabine terminer seule avec lui. Il la lâche de peur de ne pas passer sous les 5 heures mais il franchit la ligne d'arrivée 725ème en 4h59'48''. Il va pouvoir offrir sa belle médaille à sa maman décédée le jour de la Fête des Mères !
J'attends qu'ils sortent du sas des arrivants après leur ravitaillement. Beaucoup boire, c'est ce qu'il faut pour tous les arrivants. Il est fier d'avoir terminé même si c'est à des années lumières des chronos qu'il est capable de faire. Mais à 35 degrés c'est horrible. Les semi-marathoniens n'ont pas eu ce genre de difficulté même s'il faisait chaud également. Mais pas à ce point. Moi j'ai commencé à avoir chaud vers le km 15, donc il était aux alentours de 10 heures, ce qui faisait déjà 1h45 que les semi-marathoniens avaient débuté leur course.
Quand on s'éloigne de la zone d'arrivée pour s'asseoir sur la pelouse à l'ombre, j'entends plusieurs ''Jeff'' derrière moi. Ce sont les coureurs de l'UA Chauny qui se sont regroupés sous un arbre à l'ombre aussi, qui m'appellent. Ça me fait plaisir de discuter un petit bout de temps avec eux. Aïcha me dit que je ne suis pas le seul à avoir abandonné car elle en a fait de même au km 21. La chaleur aura fait beaucoup de dégâts, énormément d'abandons.
Un point sur les trois courses où des membres de l'UAC ont participé :
5 km
19ème/208 en 20'59'' Jeff BACQUET (UA Chauny) --2ème master 1.
194ème/208 en 48'17'' Sabine LEROY (non licenciée).
195ème/208 en 48'17'' Frédéric CAPELLE (non licencié).
Semi-Marathon
273ème/1541 en 1h43'11'' Laurent LELEU (UA Chauny).
436ème/1541 en 1h49'51'' Frédérique SOREL (UA Chauny).
438ème/1541 en 1h49'53'' Cyrille BUART (UA Chauny).
736ème/1541 en 1h59'15'' Charly VOLTIGEUR (UA Chauny).
774ème/1541 en 2h00'09'' Joëlle DEMOND (UA Chauny) --2ème master 3.
1076ème/1541 en 2h10'34'' Isabelle BOUTTEMY (UA Chauny).
1124ème/1541 en 2h12'45'' Lydie COUPET (UA Chauny).
1126ème/1541 en 2h12'49'' Dany DEGONVILLE (UA Chauny).
1233ème/1541 en 2h18'16'' Lionel LE DRIANT (UA Chauny).
1234ème/1541 en 2h18'17'' Cécile DELHAYE (UA Chauny).
Marathon
18ème/840 en 2h59'32'' Jérôme CHRISTIANY (Clain Athlétic Pictave).
461ème/840 en 4h19'16'' Cyril CLIN (UA Chauny).
487ème/840 en 4h22'08'' Sylvain DELHAYE (UA Chauny).
533ème/840 en 4h27'54'' Christophe GAUDEFRIN (UA Chauny).
725ème/840 en 4h59'48'' Frédéric CAPELLE (non licencié).
abandon au 30ème km Jeff BACQUET (UA Chauny).
abandon au 21ème km Aïcha JUS (UA Chauny).
Je quitte mes amis de Chauny en espérant les revoir bientôt. Un bon petit repos ensuite avec Fred, Sabine et Lucas à l'ombre puis nous prenons une navette qui va nous ramener au centre-ville de Poitiers. Nous récupérons la voiture au parking souterrain et une fois à la maison, on s'offre une bière bien fraîche qu'on a bien mérité.
Un excellent week-end entre amis. A refaire ??? Je connais la réponse !
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