Dimanche 22 octobre 2017
Je poursuis avec les courses relativement longues. Depuis quelques mois, j'ai laissé un peu de côté les 10 kilomètres pour des épreuves un peu plus endurantes. En fait, le semi-marathon a toujours été une distance qui me plaisait énormément mais comme j'aime porter un dossard week-end après week-end, c'est plus facile de récupérer rapidement après des distances courtes. Mais finalement ce n'est pas si difficile que ça d'enchaîner semi-marathons, marathon et même trails, et surtout je prends du réel plaisir. Lors des 8 derniers week-ends, j'aurais donc couru 4 semi-marathons, 1 marathon, 2 trails de 21 et 25 km, sans oublier 2 petites courses de 8 et 10 km. Sans oublier que je vais terminer mon mois d'octobre par ma course préférée : celle de Marseille-Cassis dont ça sera ma 10ème participation de suite.
Mais retour sur ce Semi-Marathon du Bois de Vincennes, qui en est cette année à sa 7ème édition, mais qui sera pour moi ma première participation. Un parcours dans la commune de Paris mais 100% dans le cadre verdoyant du Bois de Vincennes. J'ai déjà couru en compétition dans les allées de ce Bois avec notamment le 10 km de Vincennes ou encore le 15 km de Charenton-le-Pont. C'est avec plaisir que je vais fouler à nouveau ce lieu de dépaysement et de havre de paix pour les Parisiens. Le départ de la course est prévue à 10 heures. Les 5211 coureurs inscrits seront répartis dans les différents sas de niveau : -1h30, -1h45, -2h et +2h. Pour le confort des athlètes, des meneurs d'allures seront également là afin de régler les tempos avec les objectifs de 1h30, 1h45, 2h et 2h15. Mon objectif personnel sera préparatoire pour Marseille-Cassis qui est mon véritable objectif. Comme c'est la semaine prochaine, il ne faut pas que je me mette dans le rouge. Donc sortie longue très rythmée mais pas plus.
Je me suis rendu devant l'Esplanade du Château de Vincennes, juste à côté du Parc Floral de Paris, la veille de la course afin d'y récupérer mon dossard. Un village de la course sécurisé où il faut montrer patte blanche pour y pénétrer. Le ciel était menaçant et le sol bien mouillé car des pluies intermittentes ont accompagné ce samedi. Après un passage devant le long listing des inscrits, j'ai pu repérer mon numéro de dossard qui est le 237. C'est pratique d'y avoir été la veille, car il y a peu de coureurs, donc on n'attend pas. J'ai seulement patienté quelques petites minutes au stand de retrait des tee-shirts. En cadeau, j'en ai eu un beau noir de marque Puma.
Par contre, en regardant l'affichage du parcours, je me suis rendu compte qu'il n'était pas vraiment identique à celui se trouvant sur le site internet de la course. Connaissant un peu le Bois de Vincennes, j'essaye de me repérer un peu. Je pense que ça devrait être bien sympathique comme course .. avec ou sans pluie, on verra bien. Puis c'était direction le boulot. Je vais en faire de même une fois la course terminée !
Je me suis rendu devant l'Esplanade du Château de Vincennes, juste à côté du Parc Floral de Paris, la veille de la course afin d'y récupérer mon dossard. Un village de la course sécurisé où il faut montrer patte blanche pour y pénétrer. Le ciel était menaçant et le sol bien mouillé car des pluies intermittentes ont accompagné ce samedi. Après un passage devant le long listing des inscrits, j'ai pu repérer mon numéro de dossard qui est le 237. C'est pratique d'y avoir été la veille, car il y a peu de coureurs, donc on n'attend pas. J'ai seulement patienté quelques petites minutes au stand de retrait des tee-shirts. En cadeau, j'en ai eu un beau noir de marque Puma.
Par contre, en regardant l'affichage du parcours, je me suis rendu compte qu'il n'était pas vraiment identique à celui se trouvant sur le site internet de la course. Connaissant un peu le Bois de Vincennes, j'essaye de me repérer un peu. Je pense que ça devrait être bien sympathique comme course .. avec ou sans pluie, on verra bien. Puis c'était direction le boulot. Je vais en faire de même une fois la course terminée !
Toute la nuit, le vent a fortement
soufflé dans les arbres. Ce matin, en me levant, le vent n'a pas
vraiment donné l'impression de vouloir enfin se calmer et la
température est vraiment très fraîche. Nous nous étions habitués
au climat ''printanier'' de l'automne mais là, la différence est
vraiment importante. Nous arrivons sur le grand parking du Bois de
Vincennes, à proximité de la zone d'arrivée de la course et en
bordure du très beau Parc Floral de Paris. Comme j'ai retiré mon
dossard la veille, je n'ai pas besoin de sortir de la voiture tout de
suite. Donc on profite un peu de la chaleur avant de braver le froid.
Mais à un moment donné, il faut quand même se décider et se
mettre en tenue.
Lucas m'a accompagné aujourd'hui pour
jouer au reporter-photographe sur ce semi-marathon. Lorsque je sors
de la voiture, j'aperçois un copain, Serge, venir dans notre
direction. Je n'étais pas au courant qu'il participait à cette
course. En fait, il est venu s'inscrire hier car la course à
laquelle il devait participer avait été annulée. Ça fait bien
plaisir de la voir ! Nous partons faire notre petit échauffement
ensemble. Échauffement ou réchauffement, je ne sais pas trop. Nous
nous rendons jusqu'au Cours des Maréchaux qui est constitué de deux
voies séparées par un immense parterre herbeux. Les coureurs
portants les numéros pairs partiront de la voie la plus à gauche,
donc le long de l'enceinte du Château de Vincennes et ceux portant
les numéros impairs le plus à droite, donc le long du Fort de
Vincennes. Je poursuis seul mon échauffement avant de me glisser
dans mon sas sur l'allée de droite.
Le fait d'avoir fait un départ sur
deux allées est beaucoup mieux pour éviter de se marcher les uns
sur les autres. Mais ça nous amène un peu de chaleur de se
retrouver en groupe, le temps d'attendre le départ. C'est au son de
la musique de la sono que nous patientons quelques petites minutes.
Puis, le coup de feu s'accompagne de l'élancement de l'intégralité
des coureurs pour les 21,095 km du parcours dans le Bois de Vincennes.
Nous commençons par le secteur pavés du Cours des Maréchaux, juste
avant de tourner à droite Avenue de Nogent, où les deux flots de
coureurs se rejoignent. Cette avenue est très large et bien
roulante. Je pense que je suis parti un peu vite par rapport à ce
que je m'étais fixé. Le vent est malheureusement bien présent,
mais en courant, je n'ai pas si froid que ça. L'Avenue de Nogent
tourne légèrement sur la droite pour laisser tout droit l'Avenue de
Tremblay. Nous continuons donc sur cette même Avenue de Nogent qui
est maintenant une très longue ligne droite avec au milieu une
petite remontée. Mais au moins il n'y a plus les pavés du Cours des
Maréchaux. Un peu avant le km 2, nous passons cette petite remontée
juste au niveau de la Porte Jaune.
Je poursuis toujours tout droit en
direction de la commune de Nogent-sur-Marne et juste d'avant d'y
pénétrer, nous prenons un virage bien serré sur le droite au son
d'une fanfare. J'ai donc quitté une très large avenue pour me
retrouver sur un chemin du Bois de Vincennes, un mélange de ciment,
de terre et surtout recouvert de feuilles. Ce chemin se nomme la
Route de la Ménagerie. Puis, nous bifurquons sur la droite pour
prendre la Route Circulaire en direction de la Porte Jaune. Le chemin
est toujours du même genre mais c'est bien agréable. Lorsque
j'arrive au niveau de cette Porte Jaune, je prends la Route de la
Cascade suite à un virage serré sur la gauche.
Nous longeons
maintenant le Lac des Minimes. Il faut faire attention aux joggers
qui coupent les allées de la course, mais il faut être honnête,
ils font vraiment attention à ne pas nous gêner. Nous retombons sur
la Route Circulaire en restant le plus possible vers ce Lac des
Minimes. De temps en temps j'entends des ''Allez Pontault''. Comme
quoi le maillot du PAAC est connu ! Pour entamer une remontée
vers la Porte Jaune, je tourne encore sur la droite pour prendre la
Route du Grand Prieur. Sur ma droite j'ai toujours le sympathique Lac
des Minimes. Je passe maintenant au km 5. Quelques mètres plus loin,
a été placé le premier ravitaillement de la course. J'attrape à
la volée un gobelet d'eau et ensuite me voilà à nouveau à
proximité de la Porte Jaune où je tourne sur la gauche sous les
encouragements de nombreux spectateurs.
Me revoilà sur une autre
partie de la Route Circulaire. Je m'éloigne maintenant du Lac des
Minimes. Les jambes sont un peu lourdes tout de même. Un nouveau
changement de direction en tournant à droite Avenue des Minimes. Un
peu plus loin, nous traversons la très large Avenue de Tremblay
avant de poursuivre sur cette Avenue des Minimes, qui est tout sauf
une avenue. Il s'agit, comme depuis la plupart du parcours depuis le
km 2,5, d'un chemin dans le Bois de Vincennes. A la sortie d'une courbe
sur la gauche, j'aperçois au loin le Château de Vincennes et
surtout sur ma droite, je vois les coureurs de tête, qui reviennent
sur leurs pas mais sur l'autre chemin parallèle au notre. Au lieu de
quitter le Bois pour retrouver les pavés à proximité du Château,
nous prenons un virage à 180 degrés afin de prendre la seconde voie
de l'Avenue des Minimes qui est séparée de la première par une
bande d'arbres alignés.
Sur ma gauche, je longe l'enceinte du Fort de Vincennes. Une fois au bout de cette enceinte, il faut prendre un virage à angle droit sur la gauche. Je suis sur la Route des Sabotiers avec en point de mire l'Avenue de Nogent. Une fois que j'y arrive, je tourne à droite pour la prendre comme lors du premier kilomètre de la course, sauf que là je passe déjà au km 8. Il faut ensuite continuer légèrement sur la gauche où l'immense ligne droite de l'Avenue de Nogent nous attend avec la petite remontée au niveau de la Porte Jaune. C'est au km 9, juste après le passage devant la Porte Jaune, que je laisse partir le meneur d'allure des 1h30. Ça va trop vite pour moi. L'écart se fait très rapidement et une nuée de coureurs qui était collée derrière le meneur d'allure, me laisse sur place. J'arrive tout au bout de cette Avenue de Nogent juste avant l'entrée de la commune de Nogent-sur-Marne et comme tout à l'heure, il faut prendre sèchement un virage serré sur la droite pour pénétrer à nouveau dans les allées du Bois de Vincennes et tout d'abord par la Route de la Ménagerie. Passage au km 10, puis en arrivant face au Lac des Minimes, je continue sur le Chemin Circulaire quelques centaines de mètres en tournant à droite, puis sur le Chemin de la Cascade. Nous sommes toujours sur un chemin plus étroit sous les arbres. Le parcours est bien agréable mais il ne fait vraiment pas chaud avec ce fichu vent qui ne veut pas nous laisser courir tranquillement. Je vais tout droit jusqu'à ce que je retrouve le bitume de l'Avenue de la Belle Gabrielle. Au km 11, nous tournons à droite Route de la Ferme jusqu'à hauteur de l'Hippodrome de Vincennes où nous tournons à droite sur la large Route de la Pyramide qui est tout d'abord en faux plat montant. Il y a un peu de mieux pour moi, mais ce n'est pas la grande forme. J'avance bien que par intermittence. Le chaussée est maintenant plus facile car elle est en faux plat descendant. Je me rapproche petit à petit du carrefour où nous allons changer de direction, mais juste avant de tourner, je passe le km 13. Il y a pas mal de monde pour nous encourager dans ce virage.
Sur ma gauche, je longe l'enceinte du Fort de Vincennes. Une fois au bout de cette enceinte, il faut prendre un virage à angle droit sur la gauche. Je suis sur la Route des Sabotiers avec en point de mire l'Avenue de Nogent. Une fois que j'y arrive, je tourne à droite pour la prendre comme lors du premier kilomètre de la course, sauf que là je passe déjà au km 8. Il faut ensuite continuer légèrement sur la gauche où l'immense ligne droite de l'Avenue de Nogent nous attend avec la petite remontée au niveau de la Porte Jaune. C'est au km 9, juste après le passage devant la Porte Jaune, que je laisse partir le meneur d'allure des 1h30. Ça va trop vite pour moi. L'écart se fait très rapidement et une nuée de coureurs qui était collée derrière le meneur d'allure, me laisse sur place. J'arrive tout au bout de cette Avenue de Nogent juste avant l'entrée de la commune de Nogent-sur-Marne et comme tout à l'heure, il faut prendre sèchement un virage serré sur la droite pour pénétrer à nouveau dans les allées du Bois de Vincennes et tout d'abord par la Route de la Ménagerie. Passage au km 10, puis en arrivant face au Lac des Minimes, je continue sur le Chemin Circulaire quelques centaines de mètres en tournant à droite, puis sur le Chemin de la Cascade. Nous sommes toujours sur un chemin plus étroit sous les arbres. Le parcours est bien agréable mais il ne fait vraiment pas chaud avec ce fichu vent qui ne veut pas nous laisser courir tranquillement. Je vais tout droit jusqu'à ce que je retrouve le bitume de l'Avenue de la Belle Gabrielle. Au km 11, nous tournons à droite Route de la Ferme jusqu'à hauteur de l'Hippodrome de Vincennes où nous tournons à droite sur la large Route de la Pyramide qui est tout d'abord en faux plat montant. Il y a un peu de mieux pour moi, mais ce n'est pas la grande forme. J'avance bien que par intermittence. Le chaussée est maintenant plus facile car elle est en faux plat descendant. Je me rapproche petit à petit du carrefour où nous allons changer de direction, mais juste avant de tourner, je passe le km 13. Il y a pas mal de monde pour nous encourager dans ce virage.
Une nouvelle ligne droite s'offre à
moi avec la Route de Bourbon qui est assez longue. Cette route est
coupée en son milieu pour d'un côté les coureurs et de l'autre les
cyclistes. Au rond-point suivant je prends à gauche et une centaine
de mètres plus loin à droite Route du Pesage. C'est compliqué ici
avec une longue partie montante.
Mes petites jambes ont du mal car le vent est totalement de face et bien fort. D'ailleurs, je me retrouve en tête de groupe et les coureurs qui m'accompagnent ne tentent pas de me passer, ils restent bien sagement calés dans ma foulée. Malgré la difficulté je trouve un bon rythme. Une fois en haut, virage à droite pour la Route de la Tourelle. C'est plus facile, mais je ressens un peu de lassitude, même si en me retournant je me rends compte que j'ai creusé un écart sur tous les coureurs qui me suivaient. On retrouve des chemins un peu plus étroit et un peu plus dans les sous-bois. Je croise sur ma gauche des gendarmes à cheval. Sympa comme coin pour bosser ! Au km 16, je croise aussi Christophe, un copain qui fait son footing dans le Bois de Vincennes. Un petit bonjour vite fait et il faut tourner à gauche avec encore le vent très fort de face. Je traîne un peu ma peine là, mais il ne reste plus tant de kilomètres que ça. Heureusement, nous tournons à droite où nous sommes protégés du vent. Après quelques changements de direction, je retrouve une ligne droite, celle de la Route de l'Asile National où il y a beaucoup de joggers. Nous allons tout droit jusqu'à ce qu'on arrive à l'Avenue Daumesnil, où nous prenons peu de temps le trottoir car nous replongeons rapidement en sous-bois Route Brûlée. Il s'agit d'une longue longue longue courbe sur la droite et elle nous ramène sur la Route de la Tourelle. Au bout, nous tournons à gauche puis j'arrive au grand rond-point de l'Allée Royale dont nous faisons la moitié du tour. Une fois de l'autre côté, nous remontons l'Allée Royale en direction de la Garde Républicaine. Le sol est souple et en bon état.
Mon rythme est plus proche du footing que celui d'une course, mais bon, ça peut être pire. Passage au km 20. Je connais ce côté du parcours car nous y passons sur le 10 km France des Îles, même si nous remontons cette Allée Royale en sens inverse. Puis nous tournons à droite. Il y a de plus en plus de monde de chaque côté du chemin. Une centaine de mètres plus loin, nous tournons à gauche pour la dernière ligne droite de la course.
Il nous reste plus que 750 mètres de course à faire sur l'allée en terre de la Route Dauphiné. Le chemin est large mais peu à peu il est rétréci par la foule qui s'est massée pour voir les arrivées. Le passage avec les copeaux de bois ne permet pas d'avoir une excellente stabilité. Un dernier petit effort et je franchis l'arche d'arrivée 545ème/4534 en 1h33'31''.
Mes petites jambes ont du mal car le vent est totalement de face et bien fort. D'ailleurs, je me retrouve en tête de groupe et les coureurs qui m'accompagnent ne tentent pas de me passer, ils restent bien sagement calés dans ma foulée. Malgré la difficulté je trouve un bon rythme. Une fois en haut, virage à droite pour la Route de la Tourelle. C'est plus facile, mais je ressens un peu de lassitude, même si en me retournant je me rends compte que j'ai creusé un écart sur tous les coureurs qui me suivaient. On retrouve des chemins un peu plus étroit et un peu plus dans les sous-bois. Je croise sur ma gauche des gendarmes à cheval. Sympa comme coin pour bosser ! Au km 16, je croise aussi Christophe, un copain qui fait son footing dans le Bois de Vincennes. Un petit bonjour vite fait et il faut tourner à gauche avec encore le vent très fort de face. Je traîne un peu ma peine là, mais il ne reste plus tant de kilomètres que ça. Heureusement, nous tournons à droite où nous sommes protégés du vent. Après quelques changements de direction, je retrouve une ligne droite, celle de la Route de l'Asile National où il y a beaucoup de joggers. Nous allons tout droit jusqu'à ce qu'on arrive à l'Avenue Daumesnil, où nous prenons peu de temps le trottoir car nous replongeons rapidement en sous-bois Route Brûlée. Il s'agit d'une longue longue longue courbe sur la droite et elle nous ramène sur la Route de la Tourelle. Au bout, nous tournons à gauche puis j'arrive au grand rond-point de l'Allée Royale dont nous faisons la moitié du tour. Une fois de l'autre côté, nous remontons l'Allée Royale en direction de la Garde Républicaine. Le sol est souple et en bon état.
Mon rythme est plus proche du footing que celui d'une course, mais bon, ça peut être pire. Passage au km 20. Je connais ce côté du parcours car nous y passons sur le 10 km France des Îles, même si nous remontons cette Allée Royale en sens inverse. Puis nous tournons à droite. Il y a de plus en plus de monde de chaque côté du chemin. Une centaine de mètres plus loin, nous tournons à gauche pour la dernière ligne droite de la course.
Il nous reste plus que 750 mètres de course à faire sur l'allée en terre de la Route Dauphiné. Le chemin est large mais peu à peu il est rétréci par la foule qui s'est massée pour voir les arrivées. Le passage avec les copeaux de bois ne permet pas d'avoir une excellente stabilité. Un dernier petit effort et je franchis l'arche d'arrivée 545ème/4534 en 1h33'31''.
Le chrono n'est pas fameux mais avec
l'accumulation de toutes mes courses depuis début septembre ce n'est
pas si mal que ça. Le vent était bien violent, mais il était
pareil pour tout le monde. On nous offre une très jolie médaille
souvenir de ce 7ème Semi-Marathon du Bois de Vincennes. Puis je me
dirige au très grand stand du ravitaillement final où je prends
plusieurs gobelets d'eau.
Je ne tarde pas à changer le haut car
le froid vient glacer les épaules. Un petit tour à l'affichage des
classements et pendant que de nombreux coureurs arrivent, nous
quittons la zone d'arrivée pour nous rendre à la voiture et me
changer entièrement. Je n'attends pas Serge qui va finir
4454ème/4534 en 2h32'47'', car je dois maintenant me rendre au
travail. Hé oui, une longue journée s'est offerte à moi! Prochaine
course : dimanche prochain pour mon 10ème Marseille-Cassis de
suite !
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