Dimanche 9 octobre 2016
Une très belle course nous attend ce week-end. En effet, la deuxième édition de la ''Very Chantilly'' a lieu ce dimanche. L'an dernier j'ai eu la bonne idée de m'inscrire à la première édition. Pour une première, c'était une totale réussite, aussi bien au niveau des différents parcours, que de l'organisation qui était au top. En 2015, nous étions un peu plus de 200 coureurs à l'arrivée de l'épreuve la plus longue (20 kilomètres). J'avais bouclé cette distance en 1h30'02''. Cette année, je serais très content de passer sous les 90 minutes. Mais ce n'est pas un parcours de tout repos car totalement en sous-bois avec du sable, de la terre, des racines, ... et du bitume seulement dans le dernier kilomètre ! Une course dessinée dans les allées de la Forêt de Chantilly. Une vraie rencontre entre la course à pied et la nature.
Cette année, je vais participer à nouveau à la plus longue des courses, donc sur le 20 kilomètres. Deux autres courses sont prévues. Une de 10 kilomètres et une dernière de 5 kilomètres. Mon fils Lucas va se présenter au départ du 5 kilomètres. Laura va l'accompagner. Il y a une chose également très sympa sur cette organisation. En effet, les coureurs du 20 kilomètres partent de l'Hippodrome de Chantilly à 10 heures, puis arrivent à mi-course à Senlis où les coureurs du 10 kilomètres attendent notre passage. Au kilomètres 15, c'est au tour des coureurs de la course du 5 kilomètres de nous attendre à Thiers-sur-Thèves pour prendre leur départ. Les arrivées s'effectuent à l'intérieur même du Parc Astérix. Le programme de la matinée :
- 20 kilomètres à 10 heures (départ de la navette du Parc Astérix à 8 heures 45).
- 10 kilomètres à 11 heures (départ de la navette du Parc Astérix à 9 heures 45).
- 5 kilomètres à 11 heures 30 (départ de la navette du Parc Astérix à 10 heures 15).
Le prix du dossard (25 euros quelque soit la course choisie) est accompagné d'un billet d'entrée dans le Parc Astérix. Donc après la course, une bonne après-midi dans les manèges nous attendent.
Hier, nous avons été dans les
alentours de Coquerel, dans la Somme, afin d'encourager les copains
qui ont participé au Championnat de France du 100 kilomètres. On a
pu voir les frères Dubreucq, Antoine et Ludovic, Jérôme Benteur,
Jean-Emmanuel Péou (de mon ancien club de Marne-et-Gondoire
Athlétisme), Patrick Lenain, Claude Vaillant et surtout Olivier
Lemaître Nous nous sommes placés à Coquerel car nous avions repéré
que quelques kilomètres plus loin, les coureurs allaient faire
demi-tour pour reprendre la direction d'Amiens. Avec Laura, nous
avons couru 2,5 kilomètres dans le sens inverse de la course pour
retrouver Olivier. Puis nous l'avons accompagné du km 53 au km 67.
Il aura bien assuré avec à la clé son record sur la distance en
10h21' !
Après une soirée passée chez mon
frère, nous quittons Abbeville à 6h45 pour prendre la direction du
Parc Astérix. La nuit fût de très courte durée (moins de 4
heures), mais l'envie de participer à ce 20 kilomètres est bien
présente. Laura devait uniquement accompagner Lucas sur son 5
kilomètres, mais finalement, elle va m'accompagner sur mon départ
du 20 kilomètres à Chantilly, faire les 15 premiers kilomètres de
la course car elle n'aura pas de dossard, puis attendre le départ de
Lucas pour l'accompagner sur ses 5 kilomètres. Une fois sur le
parking du Parc, nous allons vite fait sous le chapiteau afin de
retirer notre dossard. Je vais porter le numéro 373 et Lucas le …
1 !
Puis retour à la voiture pour nous
changer. Il fait vraiment très froid. C'est difficile de se mettre
en débardeur, mais je ne vais pas changer mes habitudes de toujours
porter le débardeur de mon club. Je ne vais pas être le seul
coureur de l'UA Chauny, car déjà il y a Laura même si elle n'a pas
de dossard, mais il y a également 12 autres coureurs du clubs (dont
8 sur le 20 et 4 sur le 10) qui sont aussi sur la course. Comme
prévu, nous prenons notre navette en direction de l'Hippodrome de
Chantilly. Elle devait partir à 8 heures 45, mais en réalité il
est 9 heures 10 quand le bus démarre. Nous laissons Lucas à la
voiture en attendant qu'il prenne sa navette plus tard pour son
kilomètres.
25 minutes plus tard, nous arrivons à
l'Hippodrome de Chantilly. Un petit déjeuner nous y attend. Je
prends une chouquette et un mini croissant car je ne me sens pas en
forme olympique. Laura prend également un petit déjeuner avec en
plus un café. Puis je pars faire le début de mon échauffement seul
avant que Laura me rejoigne pour le terminer en ma compagnie. Deux
petits kilomètres me suffiront. Puis il faut se placer derrière la
ligne de départ. A l'origine, il y avait une arche mais elle s'est
dégonflée pendant que l'échauffement collectif avait lieu. Le
pistolet qui va donner le départ est dans les mains d'Eric Woerth,
Maire de Chantilly et Secrétaire Général des Républicains. Nous
sommes sous les ordres du starter et le coup de pistolet retentit.
Nous commençons par une longue ligne
droite le long d'une des pistes de l'Hippodrome. Le sol est
caillouteux. J'étais placé en première ligne et en me plaçant le
mieux possible, je me retrouve en tête de course, … sans forcer.
Donc tout va bien pour le moment. Après plusieurs centaines de
mètres, je me retrouve en bout de ligne droite et je dois tourner
sur ma droite sur un chemin en mélange de terre et surtout de sable
en sous-bois. Un peu plus loin, ça tourne encore très légèrement
sur la droite. Le sable est beaucoup plus fin et mou. Je me place le
plus possible sur la droite de l'allée où c'est plus dur au sol.
Mais je m'enfonce et j'avance beaucoup moins vite. Je perds
rapidement 5 places. Nous faisons face à l'Hippodrome, alors nous
tournons à gauche sur l'herbe pour le longer. Nous avons quitté les
sous-bois. Je connais parfaitement ce passager, car nous passons ici
lorsque je participe régulièrement le 5 kilomètres de Chantilly.
Puis nous tournons en direction du Musée Vivant du Cheval. Quand je
finis par y arriver, je prends le chemin qui se trouve juste entre ce
musée et l'Hippodrome. Le sol est difficile car pavé. Je déteste
ce genre de revêtement ! Puis nous descendons l'herbe qui nous
amène devant l'entrée du magnifique Château de Chantilly.
Je
discute avec 3 coureurs qui étaient revenus sur moi. Nous sommes
maintenant devant ce Château. Nous nous engouffrons ensuite par la
gauche, dans la Forêt de Chantilly. Le chemin est étroit et j'y
croise des joggeurs et des vététistes. Une petite descente, puis une
belle petite remontée, histoire de bien se chauffer les jambes. J'en
suis au km 3 et je me retrouve maintenant seul à la 9ème place. Je
suis juste à l'extérieur de l'enceinte du Château de Chantilly.
Puis il faut tourner à droite et un peu plus loin je me trouve sur
une très large allée pour les chevaux avec du sable bien mou et
profond. C'est difficile et ça tire dans les tendons. Je me fraye un
chemin le plus à gauche possible pour trouver du plus dur, donc du
plus roulant. Je me rends compte que je reviens sur deux coureurs,
mais quand je suis sur eux, je vois qu'il ne s'agit que de joggeurs.
Au kilomètre 4,5, alors que je galère dans le sable mou, je me vois
rattraper et surtout déposer par un coureur. Il fait aussitôt un
trou sur moi. Tout à l'heure, ce large chemin en sable était en
faux-plat montant et maintenant c'est soit du plat, soit du faux-plat
descendant. Je me retourne pour voir que deux coureurs du club de
Chantilly sont à une petite cinquantaine de mètres derrière moi.
Après plusieurs kilomètres de sable, je quitte les sous-bois pour
un chemin d'herbe avec un passage en mono trace en terre.
Ça monte
un peu avant que ça devienne plat. Je me sens toujours bien et pour
le moment je ne ressens pas les 16 kilomètres courus hier avec Laura
et Olivier. Après le km 9, je tourne sur la droite pour trouver du
bitume. 500 mètres plus loin, se trouve un ravitaillement. Je prends
une petite bouteille d'eau, mais une simple gorgée me suffit. Puis,
je passe à côté du sas de départ de la course du 10 kilomètres.
J'entends de nombreux applaudissements quand je passe à cet endroit.
Je reçois également les conseils et les encouragements de Lionel Le
Driant, qui fait parti de mon club. Puis, les signaleurs bloquent un
carrefour à sens giratoire pour me permettre de traverser la route
et de repénétrer dans la Forêt de l'autre côté de la chaussée.
Une longue ligne droite sur ce chemin de terre et d'herbe. Mais c'est
plat. Au bout, il faut prendre très légèrement sur la droite avant
de tourner à gauche. Il y a quelques spectateurs par ici. Des
courageux, car nous sommes loin de tout ! Je longe maintenant
une pâture. C'est à ce moment là qu'après 10 kilomètres où
j'étais quasiment en contre-la-montre individuel, que les deux
coureurs du club de Chantilly me reprennent. Nous discutons tous les
trois et ils m'encouragent à rester avec eux. Ça fait du bien de
parler un peu car c'est vrai que je me sentais un peu seul depuis ce
km 3 ! Mais je ne peux pas rester très longtemps dans leur
foulée. Je tourne à gauche. Le sol est beaucoup plus difficile avec
du faux plat montant ou descendant mais surtout des passages dans le
sable, dans les ornières, …
Je commence à ne pas me sentir très
serein. Je perds rapidement quelques places. Dès que ça monte, j'ai
beaucoup plus de mal maintenant. Je crois que ma belle mécanique est
un peu grippée maintenant ! Le paysage a changé. Ça ressemble
plus à de la pinède avec du sable au sol. C'est beau mais quand ça
ne va pas bien, c'est encore plus difficile. Je crois que j'ai une
petite fringale car je sens que je n'ai plus de jus. Je passe au km
15 là où mon fils prendra son départ et donc là où Laura
s'arrêtera pour repartir avec lui. Je prends de l'eau et quand un
coureur me reprend, j'essaye de rehausser mon rythme, mais rien n'y
fait. J'ai faim, et plus de jambes ! Je passe au-dessus de
l'autoroute A1 afin de replonger en sous-bois par la droite. Un
signaleur nous prévient de faire attention aux pierres au sol, et
évidement, au lieu de prendre le plus à gauche possible pour les
éviter, moi je prends le plus à droite possible ! Je me
retrouve ensuite au pied du seul vrai ''mur'' de la course avec un
sol en sable. C'est raide, mais je fais en sorte de ne pas marcher.
Une fois en haut, je tourne à droite pour prendre une longue
descente avec un mélange de sable et de racines. Au lieu de repartir
vite dans cette relance, je suis plutôt très prudent car je manque
trop de lucidité pour aller vite. Le chemin serpente sur le sable
entre les arbres. Je traverse une petite route où un signaleur nous
annonce moins de 3 kilomètres avant la ligne d'arrivée. Je
m'engouffre aussitôt à nouveau en sous-bois. Il faut faire
attention aux deux petits ponts de bois à traverser. Ne surtout pas
glisser ! Un coureur reste dans ma foulée. Puis nous sortons
des sous-bois pour trouver du soleil. Nous sommes en bordure de
champs en direction d'une route. On finit par y arriver en la prenant
sur la droite. Un peu de bitume fait un peu de bien ! Mais c'est
de très courte durée, car une centaine de mètres plus loin, on
nous fait tourner sur la gauche sur un nouveau chemin de terre. Les
signaleurs nous encouragent et nous crient de nous accrocher pour
rester ensemble. Mais c'est pas possible pour moi. Le coureur me
passe, et même s'il a des mots gentils pour moi, je n'arrive pas à
rester dans sa foulée. Mais je limite tout de même les dégâts.
Nous sommes en forêt mais c'est dans l'enceinte du Parc Astérix. Au
bout de cette longue ligne droite, nous quittons le chemin pour
pénétrer sur une route du parking du Parc. Je fais maintenant jeu
égal avec le coureur qui m'a doublé à une vingtaine de mètres
derrière lui. Nous restons sur cette route pendant plusieurs
centaines de mètres, jusqu'au km 19, où nous tournons à gauche,
puis à droite sur de l'herbe. Nous tournons une nouvelle fois à
gauche en prenant un petit pont en bois qui nous fait pénétrer en
sous-bois.
Depuis le panneau du km 19, j'ai retrouvé des couleurs. La traversée de ce sous-bois, m'a permis de me rapprocher à quelques mètres de lui. Puis je suis à 600 mètres de l'arrivée. Je sors du sous-bois où je vois Jean-Claude qui m'encourage. Je vais en direction du chapiteau où je passe le coureur. Nous passons derrière ce chapiteau puis je suis en backstage. Je poursuis à ma vitesse. Je fais un petit trou. Puis je passe par une porte ouverte spécialement pour les coureurs. Quand je franchis cette porte, je me retrouve en plein dans le Parc Astérix au niveau de la Via Antiqua. Elle est coupée en deux par une rubalise. Une partie pour les visiteurs du parc, et une autre pour nous les coureurs. De nombreux visiteurs nous applaudissent. Je dois descendre cette Via Antiqua jusqu'à la sortie du Parc où je franchis la ligne d'arrivée 22ème/224 en 1h29'46''.
Depuis le panneau du km 19, j'ai retrouvé des couleurs. La traversée de ce sous-bois, m'a permis de me rapprocher à quelques mètres de lui. Puis je suis à 600 mètres de l'arrivée. Je sors du sous-bois où je vois Jean-Claude qui m'encourage. Je vais en direction du chapiteau où je passe le coureur. Nous passons derrière ce chapiteau puis je suis en backstage. Je poursuis à ma vitesse. Je fais un petit trou. Puis je passe par une porte ouverte spécialement pour les coureurs. Quand je franchis cette porte, je me retrouve en plein dans le Parc Astérix au niveau de la Via Antiqua. Elle est coupée en deux par une rubalise. Une partie pour les visiteurs du parc, et une autre pour nous les coureurs. De nombreux visiteurs nous applaudissent. Je dois descendre cette Via Antiqua jusqu'à la sortie du Parc où je franchis la ligne d'arrivée 22ème/224 en 1h29'46''.
Ouf, malgré mes cinq derniers
kilomètres difficiles, j'ai quand même réussi à atteindre mon
objectif qui était de passer sous les 90 minutes ! C'était
juste ! Une petite accolade avec le coureur qui en a également
terminé quelques secondes derrière moi. Je me vois remettre une
médaille souvenir de la course, puis je passe au ravitaillement et
je me dépêche de récupérer ma veste de survêtement que j'avais
déposé en consigne, car j'ai très froid. Je pense que la fringale
y est pour beaucoup ! Ensuite, je vais retrouver Jean-Claude qui
est toujours au même endroit, en attendant les arrivées de Laura et
Lucas. Quand Laura s'est arrêtée au km 15, elle était largement la
première féminine sur le 20 kilomètres. Elle a réussi à bien
canaliser Lucas, qui malgré une jolie chute va en terminer sur ce
trail de 5 kilomètres avec une 15ème place sur 134 arrivants et un
chrono de 25'05''. Et surtout une seconde place en catégorie minime
garçon ! Bravo Lucas ! Merci Laura !
On retourne au ravitaillement. J'en ai
vraiment besoin ! J'ai toujours froid mais je commence à
reprendre des couleurs. Nous allons ensuite dans le chapiteau où va
se dérouler la remise des récompenses et également où il va y
avoir le tirage au sort pour gagner des séjours dans les Hôtels de
luxe du coin.
Au niveau des classements des trois
courses, notamment avec les coureurs de mon nouveau club de l'UA
Chauny, ça donne ceci :
TRAIL DE 20 KILOMETRES :
22ème/224 en 1h29'46'' Jeff BACQUET
(UA Chauny).
62ème/224 en 1h38'27'' Christophe
GAUDEFRIN (UA Chauny).
88ème/224 en 1h44'19'' Serge BOULOC
(UA Chauny).
149ème/224 en 1h53'23'' Joëlle DEMOND
(UA Chauny), 1ère master 3 femme.
177ème/224 en 1h58'08'' David FERREIRA
DA COSTA (UA Chauny).
198ème/224 en 2h04'24'' Sylvain
DELHAYE (UA Chauny).
199ème/224 en 2h04'24'' Aïcha JUS (UA
Chauny).
215ème/224 en 2h15'45'' Dany
DEGONVILLE (UA Chauny).
216ème/224 en 2h15'46'' Cécile
DELHAYE (UA Chauny).
TRAIL DE 10 KILOMETRES :
97ème/217 en 58'55'' Lionel LE DRIANT
(UA Chauny), 3ème master 2 homme.
98ème/217 en 58'55'' Lydia PLACZEK (UA
Chauny).
151ème/217 en 1h05'24'' Claire ANTONY
(UA Chauny).
210ème/217 en 1h20'12'' Catherine
GAUDEFROY (UA Chauny), 1ère master 3 femme.
TRAIL DE 5 KILOMETRES :
3ème/134 en 20'54'' Jérôme DEFRASNE
(ASG Gauchy Athlétisme).
15ème/134 en 25'05'' Lucas BACQUET
(non licencié).
C'est maintenant le moment de la remise
des récompenses avec les podiums des trois courses. Seuls les trois
premiers hommes et trois premières femmes au scratch sont
récompensés. Puis, place au tirage au sort, mais malheureusement
cette année je n'ai pas la chance de l'an dernier ! Tant pis.
Nous nous dirigeons vers la voiture pour nous changer et nous
apprêter à passer l'après-midi dans le Parc pour profiter des
attractions. Mais je me rends compte que Lucas n'a pas eu le billet
d'entrée dans le sac de son dossard. Nous retournons au chapiteau
pour signaler ce problème mais je bute sur une bénévole avec qui
j'avoue, ne pas avoir été très tendre quand elle n'a cessé de me
dire qu'elle ne pouvait rien faire après avoir été voir sa
responsable, car elle était certaine que chaque sac avait été
agrémenté d'un billet et me dit que c'est moi qui l'ait perdu !
Je n'avais ouvert son sac qu'une fois dans la voiture et avant de me
plaindre j'ai regardé partout en vain. Finalement, la responsable
est venue nous voir et Lucas a pu avoir son billet. Merci à elle.
Malgré les jambes un peu lourdes et
surtout les deux tendons d'Achille bien raides à cause de ces
nombreux chemins en sable de mon trail, nous passons une très belle
après-midi parmi Astérix et les autres personnages créés par René
Goscinny et Albert Uderzo !
1 commentaire:
Bonjour Jeff,
Bravo pour ton chrono et ton blog, je visais moi aussi 1h30 mais le sable m'a fait éclater au 15ème, j'ai laissé partir mon frère (ironman cette année !) qui finit derrière toi.
Du coup cette fois tu me bats, on ne fera pas la belle à Saint-Just-en-chaussée cette année car je ne devrais pas y être mais ça sera pour une autre fois, peut-être aux 4 saisons à Amiens en 2017.
Encore une très belle course bien organisée et une belle journée au parc Astérix.
Il faudra nous donner ton secret pour récupérer autant de photos à chaque fois !
Bonne course à Cassis prochainement mais je pense que d'ici là tu feras encore 3/4 course.
Félicitations aussi à Lucas pour son super chrono.
David (semi Amiens)
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