Foulées Vertes de Villenoy (77)

Dimanche 23 juin 2019

Seconde édition de la nouvelle formule des Foulées de Villenoy qui sont devenues ''vertes'' depuis 2018. Une très belle organisation du club de l'UA Villenoy avec le soutien de la mairie a remis sur pied les anciennes Foulées de Villenoy auxquelles j'avais pris part en 2006 et 2007 sur 15 km puis 2009 sur 10 km. A l'époque il s'agissait d'une course faisant partie du challenge 77 sur route. Comme son nom l'indique dorénavant elle est inscrite au challenge 77 trail découverte même si ce n'est pas un trail mais plutôt une course nature. L'an passé j'avais eu la bonne idée de venir courir ce nouveau format car ça m'avait vraiment plu. Un départ sur le stade, une descente jusqu'au Canal de l'Ourcq, puis de nombreux kilomètres sur le chemin de halage avant de s'engouffrer sur les chemins des jardins communaux de Meaux et de la Promenade des Brassets, puis la partie plus compliquée en contrebas du Canal de l'Ourcq et enfin retour sur ce dernier pour les 4 derniers kilomètres dont la partie montante jusqu'au stade, composent ce beau tracé du 17 kilomètres.

Cette année un 10 km est également mis sur pied avec un départ commun au 17, mais les deux parcours finissent se séparent juste au 5ème kilomètre. Le départ de ces deux courses est prévu à 9h30 au stade municipal, rue de Lagny à Villenoy. Le speaker n'est autre que mon ami Pascal Pioppi. Ça va encore être un régal de l'entendre jouer avec les mots de la langue de Molière. Les inscriptions sont prises en charge par notre club du Pontault AAC. Nous sommes sept coureurs à venir défendre nos couleurs rouges du PAAC sur les terres villenoisiennes avec Guisette, Jean-Jacques, Cyril, Bruno, Jean-Claude, Paulo et moi-même. Ma chérie fait le déplacement pour nous encourager. Une belle matinée sportive et ensoleillée s'offre à nous !

Une fois le vélo de madame dans la voiture, nous prenons la direction de Villenoy distante d'une demi-heure de route. Il fait très beau. Pas un nuage à l'horizon, le ciel est d'un bleu azur et la chaleur commence déjà à se faire ressentir. Nous arrivons face au stade municipal rue de Lagny où nous trouvons facilement une place de stationnement. Quelques instants plus tard, Jean-Jacques et Cyril C. arrivent à leur tour. Nous nous rendons tous les quatre dans une des pièces de ce stade pour aller retirer les dossards et également payer toutes les inscriptions au nom du Pontault AAC. On me donne le dossard portant le numéro 56 et en sortant on nous offre un tee-shirt orange de la course. Un de plus ! Avant de retourner à la voiture pour me préparer, nous croisons l'ami Pascal Pioppi qui a couvert la veille les ''6 heures de Pontault''. Mais ça va il a réussi à maintenir sa voix en état et heureusement car aujourd'hui il remet ça en animant ces Foulées de Villenoy au micro. Toujours un régal de l'entendre.

Retour donc à la voiture pour me mettre en tenue. Pas besoin de se poser la question sur la manière de s'habiller avec ce temps. Le débardeur fera parfaitement l'affaire. Mais Julie avec son éternelle frilosité se demande si elle va prendre sa veste pour me suivre à vélo ! Pardon mon cœur, ce n'est pas beau de se moquer … mais elle embarque quand même sa veste au cas-où. C'est ensuite parti pour un échauffement tranquille sur le stade municipal en compagnie de Cyril F., un copain de mon ancien club de MEGA, que je suis bien content de retrouver. Cette petite mise en jambe me permet de voir que le genou gauche ne me gêne plus vraiment. Enfin pour le moment.

Mon club du Pontault AAC est maintenant au complet avec Bruno, Cyril C., Guisette, Jean-Claude, Jean-Jacques, Paulo et moi-même. Petites photos de groupe d'avant course avant de nous diriger tranquillement vers la ligne de départ située en bout de terrain de football le long de la main courante.

J'y retrouve pas mal de copains avec notamment Fred, Cyrille, Rémi sur le 17 km et Vincent, Cyril L. et Najette sur le 10. Cyril F. avec qui j'ai fait mon échauffement et qui fait la même distance que la mienne, à savoir la plus longue des deux, est à mes côtés sur la première ligne. J'aperçois Julie non loin de l'arche d'arrivée sous laquelle nous allons passer dans quelques instants. Pascal Pioppi donne les dernières consignes d'avant course.

Nous sommes quand même assez nombreux sur la ligne de départ puisque les deux courses s'élancent en même temps, ce qui crée un beau peloton. Monsieur le Maire va donner le coup d'envoi avec  à ses côtés Gaston Juste, président de l'UA Villenoy et organisateur de la course. Une personne dynamique et soucieuse du confort des coureurs lors des épreuves qu'il met sur pied.

C'est parti ! Nous prenons la direction de l'arche d'arrivée sous laquelle nous passons. Nous devons longer la main courante pour contourner entièrement le terrain de football. C'est relativement tranquille pour le moment car je me rends compte que je suis dans les 10 premiers après le premier virage à gauche sans aucune difficulté à suivre. Ça commence seulement à accélérer lorsque nous arrivons derrière le but, là où Vincent décide de prendre la tête. Il est sur le 10 km. Du coup, le peloton a tendance à s'étirer plus rapidement. Nouveau virage à gauche pour nous retrouver sur la longueur opposée du terrain de football. Puis au bout, au lieu de tourner à gauche pour aller vers le second but, nous bifurquons en biais afin de descendre dans l'herbe en direction d'un autre terrain. Cette descente se termine par un talus.

Nous tournons ensuite une nouvelle fois à gauche pour entamer une première montée. Pas longue mais elle nous réveille musculairement car proche du départ. Nous passons ensuite non loin de l'arche d'arrivée d'un côté et du ravitaillement final de l'autre tout en prenant la direction de la sortie du stade municipal que nous atteignons lorsqu'on arrive sur la rue de Lagny en tournant à droite. Il s'agit d'une descente qui nous conduit jusqu'au chemin de Halage. Ce n'est pas bien long car elle ne dure que 250 mètres mais ça permet à de nombreux coureurs d'accélérer vraiment. Je préfère gérer mon début de course à ma guise et ne pas m'emballer. Tant pis si je perds quelques places. Passage au-dessus du Canal de l'Ourcq puis virage à gauche afin de descendre sur ce fameux chemin de Halage qu'on ne va plus quitter jusqu'au km 8. Heureusement que le canal n'est pas totalement rectiligne sinon ça serait une ligne droite plus qu'interminable. Le sol est d'abord en terre couvert de gros cailloux. Il y aura quelques portions en bitume. Je continue à perdre quelques places avant de trouver mon rythme de croisière. Julie n'est pas à mes côtés pour le moment car elle m'a dit qu'elle allait suivre à vélo Jean-Jacques et Cyril pour le départ puis qu'elle viendrait me rejoindre. Ça va assez vite mais je sens que la forme n'est pas vraiment là. J'ai quand même le temps d'observer une famille de cygnes errant sur le plat Canal de l'Ourcq. Km 2, puis km 3. Deux coureurs du club de Roissy-en Brie me doublent et on échange quelques mots sympathiques. J'essaye de hausser un peu mon rythme pour les accrocher.

Au km 4, lorsque nous passons sous un pont et que je suis toujours accroché aux deux coureurs du club de Roissy, Julie revient à ma hauteur. Ça fait du bien d'entendre ma chérie qui me motive. Elle m'explique qu'elle a eu un peu de mal à remonter sur moi car le peloton était assez compact. C'était plus facile en revenant sur les premiers. Mais c'est dur pour moi aujourd'hui même si ça avance bien. Peu de jus, fatigué ! Je finis par me laisser décrocher en poursuivant à mon rythme. Un coureur du club de Champagne-sur-Seine me double en m'encourageant. Je ne baisse pas les bras et je reprends deux coureurs qui m'avaient doublé dès mon entrée sur le Canal de l'Ourcq. Je les passe à mon tour. Un peu plus loin, c'est au tour d'un coureur du club de l'ACPM de me doubler mais je ne cherche pas à l'accrocher car il est sur le 10 kilomètres. Passage au ravitaillement du km 5 où je prends à la volée un gobelet d'eau et c'est à cet endroit que les coureurs du 10 prennent un virage à 180 degrés sur la droite pour descendre en contrebas du chemin de Halage, direction le stade par un single accidenté que les coureurs du 17 prendront plus tard dans la course.

Je suis en 16ème position pour le moment. C'est un peu inespéré avec ce manque de jus dû peut-être à la chaleur, au manque de sommeil, aux différentes dernières courses, … je ne sais pas mais le point positif est que je n'ai pas mal au genou et je prends tout de même du plaisir à être sur cette belle course. Nous laissons sur notre droite un petit chemin bien raide qu'on devra grimper tout à l'heure. Un coureur du club de l'UA Villenoy est à mes côtés. Nous faisons un petit bout de chemin ensemble mais même si je vais à un rythme plus qu’honorable, je ne suis pas en mesure de l'accrocher bien longtemps. Peu avant le km 8, nous abandonnons le chemin de Halage pour nous engouffrer sur un petit chemin de terre bien étroit sur la droite. A l'origine, nous avions décidé avec Julie qu'elle fasse demi-tour à cet endroit pour qu'elle retourne sur ses pas et me retrouve plus loin dans la course, mais le bénévole lui dit qu'elle peut passer. Ça me va très bien. Après quelques virages, nous sommes sur le sentier de Bourreau. Il s'agit d'un chemin passant à travers les jardins communaux orné de gros cailloux. Il faut rester vigilant aussi bien avec ce qui se trouve au sol que plus haut car des branches basses ont tendance à lécher nos visages. Plus loin, nous négocions une sorte de ''S'' avec des virages droite, gauche, droite où nous retrouvons un peu de bitume sur le chemin de Bouleurs juste avant de tourner à droite chemin de la Justice qui est en très léger faux-plat montant à nouveau sur cailloux et terre. Mais ce n'est pas très facile quand on est un peu dans le dur.

En haut, virage à gauche où je profite du faux-plat descendant qui me permet de souffler un peu. Il fait de plus en plus chaud. Le soutien de Julie m'est très important. Passage sur un pont de bois piéton et j'arrive sur la promenade des Brassets. Un petit parc paysager bien sympa et bien entretenu où un coureur revient sur moi et me double. Je n'essaye que très peu de temps de lui emboîter le pas. Je suis donc en 18ème position. Virage à droite pour prendre la direction du Canal de l'Ourcq. Mais pour y arriver, il faut dompter ce long chemin de forêt défoncé et piégeux avec de nombreuses flaques, ornières, pierres, … Ça change de la promenade des Brassets précédente ! Je franchis le km 10, et au lieu de grimper pour retrouver le chemin de Halage, je tourne à gauche sur un single avec de nombreuses racines apparentes très bien balisées par l'organisation avec de la peinture flashy. Une cinquantaine de mètres plus loin, nous tournons à droite afin de grimper un véritable raidillon étroit mais court. Même en courant j'ai du mal à avancer alors je me dis que ma chérie risque d'avoir beaucoup de mal avec son vélo à cet endroit. Ça fait mal aux jambes mais j'arrive à ne pas arrêter de courir et je prends un peu de temps avant de relancer correctement sur le chemin de Halage. Quelques instants après, Julie revient à ma hauteur. Nous croisons des coureurs qui ont beaucoup de retard sur moi car pendant qu'ils prennent la direction du km 8, je suis en sens inverse en direction du stade. De nombreux cyclistes nous croisent ou nous doublent et même si ce chemin est relativement étroit, tout le monde se respecte parfaitement sans la moindre gêne. Le coureur du l'UA Villenoy qui m'a lâché au km 7 n'est pas si loin devant. Nous recevons les encouragements des promeneurs depuis le tout début de la course. Le chemin de Halage monte légèrement avant de redescendre immédiatement. J'arrive au ravitaillement qui est le même qu'à l'aller. Ce n'est autre qu'Eric Leblacher qui me tend un gobelet tout en m'encourageant. Il a toujours des mots gentils pour moi. Nous sommes au km 12. C'est à cet endroit que nos chemins se séparent pendant un kilomètre. En effet, après ce ravitaillement je descends pour prendre un single compliqué en contrebas du chemin de Halage pendant que Julie poursuit sur ce même chemin de Halage et m'attendra à la sortie du single à quatre kilomètres de l'arrivée. Je perds immédiatement deux places, je suis donc 20ème. Les zigzags en montant et descendant ne plaisent pas trop à mon genou qui me le fait rapidement comprendre. Je lève donc un peu le pied histoire de poursuivre sans trop de difficulté. A un moment nous courons sur un dévers important. Pas facile d'être avec le pied gauche bien plus bas que le droit.

Puis une longue montée progressive m'amène à un virage à droite qui me permet de déboucher sur le chemin de Halage où se trouve Julie. Bien content d'y être mais je me rends compte que je n'avance plus. Je lui dis que j'ai l'impression d'être collé au sol. D'ailleurs, un coureur de l'ACPM me double sans que je puisse changer mon tempo pour tenter de le suivre. Enfin si, je le suis de plus en plus loin, car il s'échappe définitivement. Heureusement que ma chérie trouve les mots qu'il faut pour éviter que je finisse vraiment en roue libre. Au moins, j'avance encore pas trop mal. Je croise Rémi Lalanne qui m'encourage. Un copain coureur que je n'ai pas vu depuis longtemps et qui est venu sur le bord du parcours pour nous soutenir. Km 15 passé puis le 16ème également. Quelques centaines de mètres plus loin je quitte le chemin de Halage en grimpant une petite pente qui me permet de tourner à droite sur la rue de Lagny. Une fois au-dessus du pont, ça redescend très légèrement avant la montée de 250 mètres en direction de l'entrée du stade municipal. Je ne me retourne pas mais Julie me dit qu'il y a un boulevard derrière moi. Une fois devant cette entrée, je tourne à gauche pour faire la boucle inverse du départ de la course. Je traverse donc une grande zone herbeuse avec le ravitaillement final sur ma gauche et l'arche d'arrivée sur ma droite. Julie s'arrête à cet endroit avec son vélo pour m'attendre à l'arrivée.

Je passe à côté de cette arche avant de descendre la petite grimpette du début. Une fois en bas il faut négocier le talus sur la droite suivi de la montée qui me ramène le long de la main courante du terrain de football. Mais je loupe le talus et je chute sans la moindre gravité sauf que je n'ai plus d'élan pour la montée suivante. Et comme je suis cuit et qu'il n'y a aucun risque qu'on revienne sur moi, j'ai tendance à terminer tranquillement. Me voilà sur la ligne droite opposée à l'arrivée. Virage à droite pour passer derrière le but. J'entends Pascal annoncer mon arrivée prochaine dans les haut-parleurs. ainsi que ma chérie qui me huuuurle d'accélèrer pour terminer sous les 1h18. Dernier virage à droite avec l'arche en point de mire que je finis par franchir 21ème/155 en 1h17'42''.

C'était compliqué surtout les quatre derniers kilomètres. La partie la plus complexe entre le km 12 et 13 a été bien négociée mais sa sortie a été difficile pour moi. Et maintenant il fait bien chaud même si un petit vent est le bienvenu.

Des copains sont arrivés bien avant moi. Cyrille a pris la seconde place devant Bruno troisième. Rémi prenant la 5ème place, deux positions devant Fred.

Ma chérie me rejoint et m'invite à aller boire prestement pour ne pas prendre un coup de chaleur. Je vais m'hydrater au ravitaillement final avant de la rejoindre et d'encourager les copains qui arrivent à leur tour. Jean-Claude termine deux minutes derrière moi et Cyril F. à un peu moins de trois minutes. Ce dernier n'avait plus couru de distances aussi longues depuis fort longtemps donc c'est un très beau chrono. Nos couleurs rouges du PAAC en terminent petit à petit avec dans l'ordre Cyril C., Paulo, Jean-Jacques et Guisette. Je retrouve Najette qui a gagné le 10 kilomètres au scratch féminin. Un grand bravo à elle et un grand merci à son chéri Jean-Jacques qui aura couvert toute l'épreuve avec ses jolies photos. Merci aussi à ma Julie qui en a pris pas mal sur le parcours également tout en me suivant à vélo !

Les résultats des deux courses sont rapidement affichés. Je vais donc y jeter un coup d’œil

Sur le 10 km :

1er en 37'17'' Vincent SOLVET (non licencié) –1er SEM

5ème en 40'56'' Cyril LACROIX (non licencié)

22ème en 49'32'' Najette REZEG (ACPM) –1ère femme et 1ère M1F

Il y a 98 arrivants sur le 10 km.

Sur le 17 km :

2ème en 1h02'55'' Cyrille SEVESTRE (UAV) –1er SEM

3ème en 1h04'00' Bruno PHILIPONA (PAAC) –1er M2

5ème en 1h04'46'' Rémi MIGLIORE (UAV) –2ème M2

7ème en 1h09'44'' Frédéric VIOLARD (ACPM) –2ème M1

21ème en 1h17'42'' Jeff BACQUET (PAAC) –7ème M1

31ème en 1h19'52'' Jean-Claude HARMON (PAAC) –1er M3

37ème en 1h20'37'' Cyril FAIVRE (non licencié)

73ème en 1h29'52'' Cyril COUPE (PAAC)

78ème en 1h31'00'' Paulo LEITE DA SILVA GOMES (PAAC)

85ème en 1h32'48'' Jean-Jacques DIAZ (PAAC) –1er M4

102ème en 1h38'17'' Guisette MAGRI (PAAC) –1ère M3F

Il y a 155 arrivants sur le 17 km.

Je pars ensuite faire une petite récupération sur le terrain de football en compagnie de Fred. Ça fait du bien de dérouler tranquillement et ça permet de papoter. Je regagne ensuite la voiture pour y récupérer mes affaires propres avant d'aller me doucher. J'ai le vestiaire et les douches rien que pour moi. C'est quand même bon de se sentir propre et frais !

Je retrouve ensuite ma chérie et l'ensemble des coureurs à côté du ravitaillement car le tirage au sort de la tombola a débuté depuis quelques minutes. Il est effectué par des enfants sous le contrôle de Pascal Pioppi. Julie avait conservé mon dossard au cas où la chance tournerait vers moi pendant la douche et me tend un bon de réduction de 15 euros pour 50 euros d'achat au magasin Intersport de Mareuil-les-Meaux ! Hé oui mon dossard a été tiré !

Nous ne nous attardons pas car nous sommes invités à un barbecue et je pense qu'on l'a bien mérité tous les deux ! Nos prochaines courses seront séparées pour une fois. En effet, Julie va courir avec son frère le Cross du Mont-Blanc le samedi 29 sur 23 kilomètres et moi je vais faire le 23 km également mais sur l'Oxytrail au Parc de Noisiel. Par contre, nous courrons à nouveau ensemble dès le 14 juillet sur le Trail des Passerelles de Monteynard en Isère pour une course où on va en prendre plein les yeux ! Un petit mot sur l'organisation : comme je l'ai dit de vive voix à Gaston Juste, tout était parfait. Du balisage, à l'accueil des coureurs, au parcours, à tout quoi, c'était parfait. Je lui donne donc rendez-vous l'année prochaine avec grand plaisir ! Et un grand merci à tous les bénévoles.